Aigle Azur a assuré ce vol à vide avec un Airbus A319, sa toute dernière acquisition. Cet appareil neuf est équipé de moteurs CFM 56 et configuré bi-classes.
L'Airbus a décollé ce dimanche 18 avril à 19h00 de l'aéroport d'Orly pour se diriger vers celui de Mulhouse puis redescendre vers Lyon avant de regagner Orly, pour un temps de vol d’une heure et quart.
Le dirigeant - responsable de la compagnie Aigle Azur, M. François Hersen, a pris place à bord de l'appareil en plus du chef pilote et d'un co-pilote : « Nous avons fait en sorte de vérifier les pires conditions, à des niveaux où l'on pensait qu'il pouvait y avoir des concentrations de poussières », explique M. Hersen. Mais « nous n’avons rien remarqué de visible et le vol s'est déroulé parfaitement. ».
« Aigle Azur participe ainsi à une série de vols de contrôle pour évaluer les risques liés à la dissémination de cendres volcaniques dans le ciel européen » déclare Meziane Idjerouidene, directeur général de la Compagnie aérienne. Et d'ajouter que « l’ensemble des données techniques collectées à l'issue de ce vol d'intérêt général sont partagées avec la communauté scientifique et aéronautique européenne, la DGAC, ainsi que les équipes d'Airbus et d'Aigle Azur".
L'Airbus a décollé ce dimanche 18 avril à 19h00 de l'aéroport d'Orly pour se diriger vers celui de Mulhouse puis redescendre vers Lyon avant de regagner Orly, pour un temps de vol d’une heure et quart.
Le dirigeant - responsable de la compagnie Aigle Azur, M. François Hersen, a pris place à bord de l'appareil en plus du chef pilote et d'un co-pilote : « Nous avons fait en sorte de vérifier les pires conditions, à des niveaux où l'on pensait qu'il pouvait y avoir des concentrations de poussières », explique M. Hersen. Mais « nous n’avons rien remarqué de visible et le vol s'est déroulé parfaitement. ».
« Aigle Azur participe ainsi à une série de vols de contrôle pour évaluer les risques liés à la dissémination de cendres volcaniques dans le ciel européen » déclare Meziane Idjerouidene, directeur général de la Compagnie aérienne. Et d'ajouter que « l’ensemble des données techniques collectées à l'issue de ce vol d'intérêt général sont partagées avec la communauté scientifique et aéronautique européenne, la DGAC, ainsi que les équipes d'Airbus et d'Aigle Azur".
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