Le 21 novembre prochain, la SNCF lancera « Clic TGV », un tout nouveau service réservé aux passagers voyageant sur la ligne Paris-Bordeaux-Pau. S’appuyant sur la technologie d’accès à Internet sans fil Wi-Fi, « Clic TGV » permettra aux passagers munis d’un ordinateur portable équipé d’une carte Wi-Fi de surfer sur un portail de services.
Au programme : dépêches d’actualité, prévisions météorologiques, renseignements touristiques, jeux vidéos ou diffusion de films et de dessins animés pour les enfants. Il sera également possible d’accéder à ses e-mails, via sa messagerie personnelle.
« Nous voulons en fait permettre à nos clients de valoriser leur temps de voyage », affirme Mireille Faugère, directrice Grandes Lignes de la SNCF. En pratique, la SNCF a équipé 15 de ses rames, avec serveur, modems et antenne GPS/GPRS, pour un montant de 100 000 euros par rame.
Il faudra toutefois être placé dans les deux voitures de première et dans la voiture de seconde reliée pour pouvoir se connecter au portail. La connexion sera également possible depuis la voiture bar.
Un accès limité pour l'instant
Pas question toutefois d’accéder complètement à Internet et de surfer sur les sites web de son choix : « Clic TGV » reste pour l’instant bridé pour des questions techniques et de coûts. Cette opération constitue en effet pour l’heure une première expérimentation.
L’accès au portail sera entièrement gratuit pour les clients disposant déjà d’un portable-Wi-Fi. Les clients ne disposant pas du matériel nécessaire pourront le louer auprès du stand Cinétrain, en gare de Paris-Montparnasse, Bordeaux Saint-Jean et Pau. Le prix de la location est fixé à 8 euros.Le test sera mené jusqu’à la fin mars 2004.
La SNCF verra alors la suite à donner à cette expérience. En cas de succès, « Clic TGV » deviendra un service commercial payant : les passagers pourront se connecter au portail contre un paiement à la minute.
Puis, si la demande est au rendez-vous, la SNCF n’exclue pas d’étendre l’expérience à d’autres lignes en France. L’accès complet à Internet pourrait également être envisagé. Mais le calendrier de ce déploiement est encore loin d’être fixé.
« Nous devons d’abord attendre les résultats de cette première expérience », insiste Mireille Faugère.
Didier FORRAY à Paris - 20 octobre 2003
didier@forray.net
Au programme : dépêches d’actualité, prévisions météorologiques, renseignements touristiques, jeux vidéos ou diffusion de films et de dessins animés pour les enfants. Il sera également possible d’accéder à ses e-mails, via sa messagerie personnelle.
« Nous voulons en fait permettre à nos clients de valoriser leur temps de voyage », affirme Mireille Faugère, directrice Grandes Lignes de la SNCF. En pratique, la SNCF a équipé 15 de ses rames, avec serveur, modems et antenne GPS/GPRS, pour un montant de 100 000 euros par rame.
Il faudra toutefois être placé dans les deux voitures de première et dans la voiture de seconde reliée pour pouvoir se connecter au portail. La connexion sera également possible depuis la voiture bar.
Un accès limité pour l'instant
Pas question toutefois d’accéder complètement à Internet et de surfer sur les sites web de son choix : « Clic TGV » reste pour l’instant bridé pour des questions techniques et de coûts. Cette opération constitue en effet pour l’heure une première expérimentation.
L’accès au portail sera entièrement gratuit pour les clients disposant déjà d’un portable-Wi-Fi. Les clients ne disposant pas du matériel nécessaire pourront le louer auprès du stand Cinétrain, en gare de Paris-Montparnasse, Bordeaux Saint-Jean et Pau. Le prix de la location est fixé à 8 euros.Le test sera mené jusqu’à la fin mars 2004.
La SNCF verra alors la suite à donner à cette expérience. En cas de succès, « Clic TGV » deviendra un service commercial payant : les passagers pourront se connecter au portail contre un paiement à la minute.
Puis, si la demande est au rendez-vous, la SNCF n’exclue pas d’étendre l’expérience à d’autres lignes en France. L’accès complet à Internet pourrait également être envisagé. Mais le calendrier de ce déploiement est encore loin d’être fixé.
« Nous devons d’abord attendre les résultats de cette première expérience », insiste Mireille Faugère.
Didier FORRAY à Paris - 20 octobre 2003
didier@forray.net