Le tour-opérateur lancera dans les prochaines semaines une plateforme de réservation en ligne pour que les agents de voyages accèdent à ses offres © DR Windward Islands
Après avoir été un site de location de bateaux, puis une agence de voyages, la société cannoise Windward Islands Yatching se tourne maintenant vers le tour-operating.
« L’idée est de proposer aux clients des agences de voyages des produits packagés autour du bateau, avec ou sans équipage », résume Emmanuel Pertuisot, fondateur et président.
« Le nautisme se développe, néanmoins, vendre du bateau reste encore beaucoup plus compliqué que de vendre un vol ou un hôtel. Nous voulons simplifier tout ça et donner l’opportunité aux agents de voyages de proposer spontanément des bateaux à leurs clients », explique-t-il.
Pour ce faire, le tour-opérateur lancera dans les prochaines semaines une plateforme de réservation en ligne pour que les agents de voyages accèdent à ses offres.
« Aujourd’hui, aucun prescripteur ne permet vraiment de monter soi-même son voyage en bateau de A à Z. Tout les loueurs ont des supers bateaux, nous avons les idées en plus. Nous proposons des bateaux de toutes gammes, avec ou sans équipages, des programmes de navigation que nous avons créé et développé pendant 20 ans ».
« L’idée est de proposer aux clients des agences de voyages des produits packagés autour du bateau, avec ou sans équipage », résume Emmanuel Pertuisot, fondateur et président.
« Le nautisme se développe, néanmoins, vendre du bateau reste encore beaucoup plus compliqué que de vendre un vol ou un hôtel. Nous voulons simplifier tout ça et donner l’opportunité aux agents de voyages de proposer spontanément des bateaux à leurs clients », explique-t-il.
Pour ce faire, le tour-opérateur lancera dans les prochaines semaines une plateforme de réservation en ligne pour que les agents de voyages accèdent à ses offres.
« Aujourd’hui, aucun prescripteur ne permet vraiment de monter soi-même son voyage en bateau de A à Z. Tout les loueurs ont des supers bateaux, nous avons les idées en plus. Nous proposons des bateaux de toutes gammes, avec ou sans équipages, des programmes de navigation que nous avons créé et développé pendant 20 ans ».
Loueur, agence de voyages… puis tour-opérateur
Sur une quarantaine de destinations, les offres de Windward Islands Yatching impliquent plusieurs milliers de navires, allant d’un simple monocoque en Corse à 3 000 euros par semaine, jusqu’au yacht de grand luxe à 300 000 euros par semaine…
1 000 dossiers sont traités chaque année, pour un panier moyen se situant autour des 4 000 euros. « 60% de nos clients sont des particuliers qui partent dans les îles en famille ou entre amis, le reste étant de l’incentive », précise le président.
Car le jeune tour-opérateur est en fait déjà bien connu du marché. Son histoire commence en 1998, lorsque Emmanuel Pertuisot, alors jeune capitaine de bateau dans les Caraïbes et ancien de Nouvelles frontières décide de lancer, avec Daniel Docler, son associé, le premier site français de location de navires dans les Caraïbes, caribean-adventure.com.
« Nos premiers clients ont été des sociétés et de l’incentive, mais nous avons également vu se développer un marché B2C qui a compté jusqu’à 80% de notre chiffre d’affaires », raconte le fondateur.
La société tourne pendant quelques années à plein régime, possède sa propre flotte de bateaux, se développe en tant que franchise commerciale à l’étranger et ouvre des bureaux partout dans le monde.
1 000 dossiers sont traités chaque année, pour un panier moyen se situant autour des 4 000 euros. « 60% de nos clients sont des particuliers qui partent dans les îles en famille ou entre amis, le reste étant de l’incentive », précise le président.
Car le jeune tour-opérateur est en fait déjà bien connu du marché. Son histoire commence en 1998, lorsque Emmanuel Pertuisot, alors jeune capitaine de bateau dans les Caraïbes et ancien de Nouvelles frontières décide de lancer, avec Daniel Docler, son associé, le premier site français de location de navires dans les Caraïbes, caribean-adventure.com.
« Nos premiers clients ont été des sociétés et de l’incentive, mais nous avons également vu se développer un marché B2C qui a compté jusqu’à 80% de notre chiffre d’affaires », raconte le fondateur.
La société tourne pendant quelques années à plein régime, possède sa propre flotte de bateaux, se développe en tant que franchise commerciale à l’étranger et ouvre des bureaux partout dans le monde.
Démystifier le nautisme
« Mais au début des années 2010, nous avons fait face à la concurrence drastique des petites start-up qui sont arrivés sur notre secteur.
Si aucune n’est vraiment rentable, notre vivier de clientèle s’est amenuisé petit à petit », explique le créateur. « Nous avons senti la nécessité de nous orienter vers le tourisme au sens plus large et de devenir une vraie agence de voyages ».
Après avoir racheté une ancienne agence de voyages à Cannes, Emmanuel Pertuisot reprend ainsi un fonds de commerce de Vacances Transat, en 2015. « Nous avons alors appris un métier complètement différent : celui d’agent de voyages », raconte-t-il.
Maintenant, en tant que tour-opérateur, le but de Windward Islands est de « démystifier le nautisme » et de devenir « l’interlocuteur réflexe » en la matière pour les agences de voyages.
Pour se développer, le TO cible des agences orientées sur le sur-mesure et le haut de gamme telles que Péplum ou Privilège, plutôt que des référencements dans de grands réseaux.
Si aucune n’est vraiment rentable, notre vivier de clientèle s’est amenuisé petit à petit », explique le créateur. « Nous avons senti la nécessité de nous orienter vers le tourisme au sens plus large et de devenir une vraie agence de voyages ».
Après avoir racheté une ancienne agence de voyages à Cannes, Emmanuel Pertuisot reprend ainsi un fonds de commerce de Vacances Transat, en 2015. « Nous avons alors appris un métier complètement différent : celui d’agent de voyages », raconte-t-il.
Maintenant, en tant que tour-opérateur, le but de Windward Islands est de « démystifier le nautisme » et de devenir « l’interlocuteur réflexe » en la matière pour les agences de voyages.
Pour se développer, le TO cible des agences orientées sur le sur-mesure et le haut de gamme telles que Péplum ou Privilège, plutôt que des référencements dans de grands réseaux.