Les 400 euros de dédommagement proposés ne suffisent pas aux passagers qui sont restés bloqués 48 heures à Marrakech - Photo DR
Dans les jours qui viennent, plusieurs passagers du vol d'easyJet EZY9160 du 12 août 2013 entre Marrakech et Bâle-Mulhouse devraient déposer une requête au civil afin d'obtenir une indemnisation pour les préjudices que leur aurait causés la compagnie, selon les Dernières Nouvelles d'Alsace.
L'avion avait décollé de la plateforme marocaine comme prévu en début de soirée. Mais quelques dizaines de minutes plus tard, le commandant de bord avait été contraint de faire demi-tour en raison d'un incident technique.
Après un atterrissage d'urgence à Marrakech-Menara, les voyageurs ont dû rester enfermés dans l'appareil pendant un long moment. "Ils ont attendu que l'aéroport soit vide pour nous faire débarquer", explique une passagère strasbourgeoise citée par le quotidien régional.
Bloqués sur place, les voyageurs ont été hébergés dans des hôtels locaux. Mais, selon certains témoignages, les conditions de logement étaient déplorables.
Tous pensaient pouvoir repartir le lendemain. Malheureusement, un nouveau problème les en a empêchés. "L'équipage ne parlait pas français et on n'a reçu aucune information", raconte Sabrina, une autre passagère citée par le journal.
Ils ont alors dû passer une nouvelle nuit à l'hôtel. Le vol a finalement pu décoller le 14 août 2013 dans la matinée.
A leur arrivée à destination, les voyageurs ont reçu une proposition de compensation financière à hauteur de 400 euros par personne par le transporteur à bas-coûts. Une somme considérée comme ridicule par bon nombre d’entre eux.
L'avion avait décollé de la plateforme marocaine comme prévu en début de soirée. Mais quelques dizaines de minutes plus tard, le commandant de bord avait été contraint de faire demi-tour en raison d'un incident technique.
Après un atterrissage d'urgence à Marrakech-Menara, les voyageurs ont dû rester enfermés dans l'appareil pendant un long moment. "Ils ont attendu que l'aéroport soit vide pour nous faire débarquer", explique une passagère strasbourgeoise citée par le quotidien régional.
Bloqués sur place, les voyageurs ont été hébergés dans des hôtels locaux. Mais, selon certains témoignages, les conditions de logement étaient déplorables.
Tous pensaient pouvoir repartir le lendemain. Malheureusement, un nouveau problème les en a empêchés. "L'équipage ne parlait pas français et on n'a reçu aucune information", raconte Sabrina, une autre passagère citée par le journal.
Ils ont alors dû passer une nouvelle nuit à l'hôtel. Le vol a finalement pu décoller le 14 août 2013 dans la matinée.
A leur arrivée à destination, les voyageurs ont reçu une proposition de compensation financière à hauteur de 400 euros par personne par le transporteur à bas-coûts. Une somme considérée comme ridicule par bon nombre d’entre eux.
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