Heureusement, nous sommes en fin de semaine, il fait beau et l'OMT, qui a fini par se passer des services de Frédéric Pierret, n'en continue pas moins à enfoncer des portes ouvertes…
Mais qu'importe, finalement, ça fait vivre un tas de gens, on y apprend que le tourisme "a été identifié par la moitié des PMA (Pays les Moins Avancés, flatteur) de la planète comme un instrument prioritaire pour lutter contre la pauvreté (sic)".
Bon, ben en France, ça nous concerne pas tout ça. Tous les touristes sont les bienvenus, les riches surtout.
D'ailleurs, pour eux, on en fait des choses… On en arrive même, pour préserver leur quiétude béate à fermer des plages publiques.
Et si, c'est très sérieux. Notre confrère Le Monde le rappelle très justement et ça me fait hurler… de tant de stupidité.
Mais qu'importe, finalement, ça fait vivre un tas de gens, on y apprend que le tourisme "a été identifié par la moitié des PMA (Pays les Moins Avancés, flatteur) de la planète comme un instrument prioritaire pour lutter contre la pauvreté (sic)".
Bon, ben en France, ça nous concerne pas tout ça. Tous les touristes sont les bienvenus, les riches surtout.
D'ailleurs, pour eux, on en fait des choses… On en arrive même, pour préserver leur quiétude béate à fermer des plages publiques.
Et si, c'est très sérieux. Notre confrère Le Monde le rappelle très justement et ça me fait hurler… de tant de stupidité.
Figurez-vous que la famille royale saoudienne possède, du côté de Vallauris, une sorte de petit pied-à-terre, de quelques hectares quand même, donnant directement sur la plage… publique.
Et fort évidemment, leurs royautés sérénissimes ne veulent pas trop se mêler au bas peuple, lequel en ces périodes estivales, vient étaler ces corps quasi nus sur la plage. C'est vrai qu'en Séoudie Arabie, on ne plaisante pas avec le maillot de bain.
Donc, ni une, ni deux, la royale famille a entrepris des travaux afin de clôturer la plage durant le séjour de leurs royales sérénissités.
Le sous-préfet a cependant demandé d'arrêter les travaux, le temps de "terminer les discussions" avec les Saoudiens, mais reconnait quand même que "la plage publique devra être totalement interdite au public le temps du séjour de la famille royale".
Certes, c'est pas une grande plage… Mais en cette période du 14 juillet, haute période de notre lutte pour les droits de l'Homme, de la liberté, de l'égalité, octroyer une plage publique à un roi, c'est pas franchement glop.
Mais entre pétrole, géopolitique et petit peuple, un président audacieux n'hésite surtout pas !
Et fort évidemment, leurs royautés sérénissimes ne veulent pas trop se mêler au bas peuple, lequel en ces périodes estivales, vient étaler ces corps quasi nus sur la plage. C'est vrai qu'en Séoudie Arabie, on ne plaisante pas avec le maillot de bain.
Donc, ni une, ni deux, la royale famille a entrepris des travaux afin de clôturer la plage durant le séjour de leurs royales sérénissités.
Le sous-préfet a cependant demandé d'arrêter les travaux, le temps de "terminer les discussions" avec les Saoudiens, mais reconnait quand même que "la plage publique devra être totalement interdite au public le temps du séjour de la famille royale".
Certes, c'est pas une grande plage… Mais en cette période du 14 juillet, haute période de notre lutte pour les droits de l'Homme, de la liberté, de l'égalité, octroyer une plage publique à un roi, c'est pas franchement glop.
Mais entre pétrole, géopolitique et petit peuple, un président audacieux n'hésite surtout pas !
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D'ailleurs on vend bien des Airbus au Qatar contre des droits de trafic, au risque de couler la compagnie nationale.
Heureusement, en Saoudie Arabique, y'a aussi des grands cœurs, tels ce prince Al-Walid Ben Talal qui devrait, à sa mort, laisser quelque 32 milliards de dollars… pour les pauvres !
"J'espère que ce don aidera à construire un monde meilleur de tolérance, d'acceptation, d'égalité et d'opportunité pour tous", exprimait le prince d'épice.
Lequel, par souci sans doute de grande rigueur, versera ces fonds à sa propre fondation. Laquelle sera sans doute chargée de répartir ? Qui sait…
Mais c'est quand même hyper sympa tout ça. D'autant que le Al-Whalid veut donner tous ces milliards afin "d'aider à jeter des ponts entre les cultures, développer les communautés, promouvoir les droits des femmes, aider les jeunes, fournir des secours en cas de catastrophes naturelles et créer un monde plus tolérant".
En attendant, faudrait peut-être voir la famille royale et lui demander aussi de vivre dans un monde plus tolérant.
Et à notre président audacieux de veiller au droit des vacances des citoyens !
Heureusement, en Saoudie Arabique, y'a aussi des grands cœurs, tels ce prince Al-Walid Ben Talal qui devrait, à sa mort, laisser quelque 32 milliards de dollars… pour les pauvres !
"J'espère que ce don aidera à construire un monde meilleur de tolérance, d'acceptation, d'égalité et d'opportunité pour tous", exprimait le prince d'épice.
Lequel, par souci sans doute de grande rigueur, versera ces fonds à sa propre fondation. Laquelle sera sans doute chargée de répartir ? Qui sait…
Mais c'est quand même hyper sympa tout ça. D'autant que le Al-Whalid veut donner tous ces milliards afin "d'aider à jeter des ponts entre les cultures, développer les communautés, promouvoir les droits des femmes, aider les jeunes, fournir des secours en cas de catastrophes naturelles et créer un monde plus tolérant".
En attendant, faudrait peut-être voir la famille royale et lui demander aussi de vivre dans un monde plus tolérant.
Et à notre président audacieux de veiller au droit des vacances des citoyens !