"Je suis un fervent défenseur des régions. Aujourd'hui une page se tourne et le Snav Méditerranée montre l'exemple. Un exemple qui sera, sans doute, suivi de près par d'autres. "
Si la réunification de ces trois entités reste, pour l'instant, un exemple unique, le président du Syndicat ne désespère pas de voir les choses évoluer même si chacune d'entre elles reste libre de mener sa barque comme elle veut.
"L'union fait la force, a-t-il souligné avec force, ce qui n'est pas toujours le cas dans notre métier. Il est de plus en plus difficile de trouver les bonnes volontés de gens qui trouvent du temps pour donner aux autres. Être administrateur c'est parfois donner sans recevoir..."
Revenant sur le départ de Thomas Cook, il a rappelé que "Tout le mode au Snav a le droit de s'exprimer et Thomas Cook celui de quitter le Syndicat, sauf lorsque ce départ et la création d'une nouvelle entité telle que l'Udiv n'ont qu'une finalité : diviser. La division est stupide, idiote et inefficace."
Si la réunification de ces trois entités reste, pour l'instant, un exemple unique, le président du Syndicat ne désespère pas de voir les choses évoluer même si chacune d'entre elles reste libre de mener sa barque comme elle veut.
"L'union fait la force, a-t-il souligné avec force, ce qui n'est pas toujours le cas dans notre métier. Il est de plus en plus difficile de trouver les bonnes volontés de gens qui trouvent du temps pour donner aux autres. Être administrateur c'est parfois donner sans recevoir..."
Revenant sur le départ de Thomas Cook, il a rappelé que "Tout le mode au Snav a le droit de s'exprimer et Thomas Cook celui de quitter le Syndicat, sauf lorsque ce départ et la création d'une nouvelle entité telle que l'Udiv n'ont qu'une finalité : diviser. La division est stupide, idiote et inefficace."
Il a également rappelé à propos de la polémique lancée cette semaine par Frank Voragen, candidat à la présidence du Snav, à propos de la situation financière du Snav : " Le Snav n'est pas en faillite et on ne va pas dans le mur, parce qu'il n'y a pas de mur financier au Snav. "
Il reconnaît que le Syndicat essuiera des pertes cette année mais "Le Snav se porte vachement bien car il a des réserves, ce qui n'était pas le cas lorsque je suis arrivé à la présidence il y a 6 ans de cela.
Cela ne justifie donc pas la vente d'un immeuble qui vaut entre 3 et 4 millions d'euros."
Il reconnaît que le Syndicat essuiera des pertes cette année mais "Le Snav se porte vachement bien car il a des réserves, ce qui n'était pas le cas lorsque je suis arrivé à la présidence il y a 6 ans de cela.
Cela ne justifie donc pas la vente d'un immeuble qui vaut entre 3 et 4 millions d'euros."