© SNPL
Après avoir accueilli 15,8 millions de passagers en 2018 (+7,1%), Transavia affichera cette année encore une progression réjouissante.
« L’été a été superbe », lance Nathalie Stubler, P-DG de la filiale low-cost d’Air France-KLM, depuis le stand de l’IFTM Top Résa qui a ouvert ses portes mardi 1er octobre à Paris.
Sur la période de janvier à août 2019, Transavia affiche une croissance de 10% au global, avec un nombre de passagers transportés et un taux de remplissage en hausse. Seul la ponctualité devrait s’affaisser.
« L’été a été superbe », lance Nathalie Stubler, P-DG de la filiale low-cost d’Air France-KLM, depuis le stand de l’IFTM Top Résa qui a ouvert ses portes mardi 1er octobre à Paris.
Sur la période de janvier à août 2019, Transavia affiche une croissance de 10% au global, avec un nombre de passagers transportés et un taux de remplissage en hausse. Seul la ponctualité devrait s’affaisser.
Aigle Azur, Orly, Nantes
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Grand sujet d’actualité pour les dirigeants en ce début de salon et cette période agitée pour le secteur : b[la fin d’Aigle Azur et donc la guerre à venir pour s’emparer des précieux slots laissés vacants]b.
« Le process est lancé sur Orly. Nous sommes très agiles et comptons nous adapter à la situation », assure Nicolas Hénin, directeur général adjoint commercial et marketing. Un bouleversement du programme de développement en province serait-il à prévoir ?
« Pas du tout », répond la direction. « Nantes reste une priorité, d’ailleurs le trafic y a augmenté de 50% sur l’année écoulée, avec des taux de remplissage qui se maintiennent et une pression sur les prix qui tend à se stabiliser. C’est un marché toujours extrêmement intéressant pour nous », se réjouit Nathalie Stubler, précisant que Transavia voulait s’y établir « sur la durée ».
« Le process est lancé sur Orly. Nous sommes très agiles et comptons nous adapter à la situation », assure Nicolas Hénin, directeur général adjoint commercial et marketing. Un bouleversement du programme de développement en province serait-il à prévoir ?
« Pas du tout », répond la direction. « Nantes reste une priorité, d’ailleurs le trafic y a augmenté de 50% sur l’année écoulée, avec des taux de remplissage qui se maintiennent et une pression sur les prix qui tend à se stabiliser. C’est un marché toujours extrêmement intéressant pour nous », se réjouit Nathalie Stubler, précisant que Transavia voulait s’y établir « sur la durée ».
40 avions en 2020, puis plus de limite
D’autant que, après leurs confrères de chez Air France, les adhérents du SNPL Transavia viennent de voter à 90% en faveur de l’accord de développement de la filiale low-cost du groupe Air France-KLM.
L’accord est donc désormais définitivement signé et la compagnie va pouvoir, après un cloisonnement à 14, puis à 40 appareils, se développer sans limite.
« C’est une étape extrêmement importante dans l’histoire de notre compagnie », se réjouit Nicolas Hénin. Après s’être attaché à expliquer clairement ses projets à ses syndicats, la direction estime avoir maintenant le feu vert pour écrire « le volume 3 de notre histoire », glisse Nathalie Stubler, parlant d’un moment très « enthousiasmant ».
L’objectif d’atteindre les 40 avions d’ici à 2020 pourra donc être atteint.
L’accord est donc désormais définitivement signé et la compagnie va pouvoir, après un cloisonnement à 14, puis à 40 appareils, se développer sans limite.
« C’est une étape extrêmement importante dans l’histoire de notre compagnie », se réjouit Nicolas Hénin. Après s’être attaché à expliquer clairement ses projets à ses syndicats, la direction estime avoir maintenant le feu vert pour écrire « le volume 3 de notre histoire », glisse Nathalie Stubler, parlant d’un moment très « enthousiasmant ».
L’objectif d’atteindre les 40 avions d’ici à 2020 pourra donc être atteint.
Nouvelles routes et "smart connect"
En attendant, les ouvertures de nouvelles routes sont toujours aussi nombreuses.
Pour l’été 2020, 4 destinations au départ d’Orly sont déjà annoncées. Fidèle à son cœur de métier méditerranéen, Transavia enverra ses 737 vers Pula en Croatie (prix d’appel 49 euros) et vers Bari et Ancône en Italie (39 euros). Plus inhabituel, une ligne vers Riga (Lettonie) à partir de 49 euros l’aller simple verra aussi le jour.
Sur l’hiver à venir, 5 nouvelles routes sont aussi prévues : Ouarzazate, Fuerteventura et Lanzarote depuis Orly, Istanbul et Genève depuis Nantes.
Autre nouveauté annoncée à l’occasion de l’IFTM : la plateforme Transavia Smart Connect. Son but : offrir des correspondances entre plusieurs vols sur son réseau en élargissant l’offre, créant de nouvelles connexions entre les villes de son réseau sur le principe du « virtual interlining ».
Il sera par exemple désormais possible de réserver un Porto-Reykjavik ou un Lisbonne-Tunis en un seul clic. Si seuls les vols opérés par Transavia France ou Hollande sont pour l’instant concernés, d’autres compagnies « hors du groupe Air France-KLM », mais non-concurrentes, devraient rejoindre le projet d’ici la fin de l’année, assure la direction.
Pour l’été 2020, 4 destinations au départ d’Orly sont déjà annoncées. Fidèle à son cœur de métier méditerranéen, Transavia enverra ses 737 vers Pula en Croatie (prix d’appel 49 euros) et vers Bari et Ancône en Italie (39 euros). Plus inhabituel, une ligne vers Riga (Lettonie) à partir de 49 euros l’aller simple verra aussi le jour.
Sur l’hiver à venir, 5 nouvelles routes sont aussi prévues : Ouarzazate, Fuerteventura et Lanzarote depuis Orly, Istanbul et Genève depuis Nantes.
Autre nouveauté annoncée à l’occasion de l’IFTM : la plateforme Transavia Smart Connect. Son but : offrir des correspondances entre plusieurs vols sur son réseau en élargissant l’offre, créant de nouvelles connexions entre les villes de son réseau sur le principe du « virtual interlining ».
Il sera par exemple désormais possible de réserver un Porto-Reykjavik ou un Lisbonne-Tunis en un seul clic. Si seuls les vols opérés par Transavia France ou Hollande sont pour l’instant concernés, d’autres compagnies « hors du groupe Air France-KLM », mais non-concurrentes, devraient rejoindre le projet d’ici la fin de l’année, assure la direction.