Rassurez-vous, chère Léa, à l'heure où cette fameuse loi sur le travail qui s'effeuille, telle la peau de chagrin de ce pauvre Rastignac, vous avez parfaitement raison. Continuez à être une bobo (pas connasse), fêtarde et consommatrice - Dessin : Raf
C'est Léa qui m'a donné cette idée d'édito complètement déjanté.
Mais qui, finalement peut faire un peu de bien à tous ceux qui passent leur temps à nous cataloguer.
Nous journaleux (avec des avantages fiscaux vachement indignes, c'est fait, pas la peine de commenter en bas de page) à droite, à gauche, au milieu, au centre, de travers, en biais, tordus, et j'arrête là sinon j'aurai dépassé les deux feuillets qui me sont impartis (ou accordés, c'est selon) !
Rassurez-vous, chère (et jolie, je persiste dans ma quête de la vérité) Léa, à l'heure où cette fameuse loi sur le travail qui s'effeuille, telle la peau de chagrin de ce pauvre Rastignac, vous avez parfaitement raison.
Continuez à être une bobo (pas connasse), fêtarde et consommatrice.
En revanche, faut pas augurer du reste, y compris sur la descendance ou la propriété…
La vie est tellement bien faite que c'est toujours la surprise du jour !
Et vous avez raison encore, en parlant de "mériter" (ou pas) un salaire, mais plutôt savoir, lorsqu'on se lève le matin, parfois avec la gueule de bois, pourquoi on se lève le matin !
Et réfléchir à la façon dont va se passer la journée.
Dans mon cas, et c'est loin d'être facile, savoir de quoi on va abreuver les lecteurs, même ceux qui attendent seulement de tirer sur la page et qui feraient mieux d'aller voir ailleurs, mais bon, c'est de l'addiction !
C'est d'ailleurs pour ça que je suis bien payé, n'en déplaise à tous ces pisse-froid… qui ne peuvent s'empêcher de lire !
Mais qui, finalement peut faire un peu de bien à tous ceux qui passent leur temps à nous cataloguer.
Nous journaleux (avec des avantages fiscaux vachement indignes, c'est fait, pas la peine de commenter en bas de page) à droite, à gauche, au milieu, au centre, de travers, en biais, tordus, et j'arrête là sinon j'aurai dépassé les deux feuillets qui me sont impartis (ou accordés, c'est selon) !
Rassurez-vous, chère (et jolie, je persiste dans ma quête de la vérité) Léa, à l'heure où cette fameuse loi sur le travail qui s'effeuille, telle la peau de chagrin de ce pauvre Rastignac, vous avez parfaitement raison.
Continuez à être une bobo (pas connasse), fêtarde et consommatrice.
En revanche, faut pas augurer du reste, y compris sur la descendance ou la propriété…
La vie est tellement bien faite que c'est toujours la surprise du jour !
Et vous avez raison encore, en parlant de "mériter" (ou pas) un salaire, mais plutôt savoir, lorsqu'on se lève le matin, parfois avec la gueule de bois, pourquoi on se lève le matin !
Et réfléchir à la façon dont va se passer la journée.
Dans mon cas, et c'est loin d'être facile, savoir de quoi on va abreuver les lecteurs, même ceux qui attendent seulement de tirer sur la page et qui feraient mieux d'aller voir ailleurs, mais bon, c'est de l'addiction !
C'est d'ailleurs pour ça que je suis bien payé, n'en déplaise à tous ces pisse-froid… qui ne peuvent s'empêcher de lire !
Léa, dans sa grande sagesse, et toute sa jeunesse, est dans le vrai : les agents de voyages, pas plus que les autres travailleurs de ce monde, ne sont des robots.
C'est même peut-être pour cette raison que des personnages issus de tous les milieux se réunissent, le soir, sur l'Agora de leur ville, afin de réfléchir à ce que pourrait être un monde… différent.
Il faut l'accepter cette différence, nom d'un Chien Charly, lequel fait sa sieste d'un air tout à fait béat.
Une amie à moi (qui n'est plus tout à fait une amie quand elle me force à assister à des conférences à sa place), voulait connaître la différence qu'il pourrait exister entre Mai 68 et les mouvements de Nuit debout.
Très simple : en mai 68, la France vivait encore au 18/19ème siècle. Tant dans ses traditions "familiales" que sociales. Les lycées étaient séparés, filles d'un côté, garçons de l'autre, et les travailleurs étaient là pour travailler, point !
Socialement, en 68, la donne a changé… et depuis le monde du travail a évolué. Grâce à une jeunesse qui en avait marre de vivre sur le passé et qui voulait travailler vers l'avenir.
A l'époque, les syndicats et la "gauche" avait pris le train en marche, méprisant ces étudiants, cette jeunesse qui voulait déjà "vivre autrement".
C'est même peut-être pour cette raison que des personnages issus de tous les milieux se réunissent, le soir, sur l'Agora de leur ville, afin de réfléchir à ce que pourrait être un monde… différent.
Il faut l'accepter cette différence, nom d'un Chien Charly, lequel fait sa sieste d'un air tout à fait béat.
Une amie à moi (qui n'est plus tout à fait une amie quand elle me force à assister à des conférences à sa place), voulait connaître la différence qu'il pourrait exister entre Mai 68 et les mouvements de Nuit debout.
Très simple : en mai 68, la France vivait encore au 18/19ème siècle. Tant dans ses traditions "familiales" que sociales. Les lycées étaient séparés, filles d'un côté, garçons de l'autre, et les travailleurs étaient là pour travailler, point !
Socialement, en 68, la donne a changé… et depuis le monde du travail a évolué. Grâce à une jeunesse qui en avait marre de vivre sur le passé et qui voulait travailler vers l'avenir.
A l'époque, les syndicats et la "gauche" avait pris le train en marche, méprisant ces étudiants, cette jeunesse qui voulait déjà "vivre autrement".
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En 2016, nous sommes au 21ème siècle. Les modèles ont bougé, le modernisme et les inventions technologiques ont considérablement enrichi les perspectives. Les locomotives à vapeur se sont transformées en TGV, par exemple.
Les syndicats sont restés les mêmes…
Seulement, sur un plan strictement humain, rien n'a vraiment avancé. Quant à droite et gauche, centre compris, ils n'ont toujours rien compris. Et c'est pas fini…
Les crétins sont et resteront.
Et quand je lis les considérations de Léa sur ce qui se passe actuellement dans son monde d'agences de voyages, je me dis qu'il serait temps que tout ceci éclate enfin.
Si l'arrivée de toutes ces boites, comme elle dit, c'est "ça", pas la peine de s'obstiner. C'est sans doute pour cette raison que les TUI et autres grands industriels ont fait du tourisme une industrie, vendant du voyage comme Pigeot ou Rino vend de la bagnole.
Ben t'as raison Léa, mais ne serait-il pas temps d'arrêter de les laisser boiter ?
Finalement, comme la presse reste encore, du moins chez nous, un peu libre, j'ai bien l'intention de continuer à lutter contre le côté obscur de la Force.
Et tant pis si les robots ne comprennent rien… à rien !
Les syndicats sont restés les mêmes…
Seulement, sur un plan strictement humain, rien n'a vraiment avancé. Quant à droite et gauche, centre compris, ils n'ont toujours rien compris. Et c'est pas fini…
Les crétins sont et resteront.
Et quand je lis les considérations de Léa sur ce qui se passe actuellement dans son monde d'agences de voyages, je me dis qu'il serait temps que tout ceci éclate enfin.
Si l'arrivée de toutes ces boites, comme elle dit, c'est "ça", pas la peine de s'obstiner. C'est sans doute pour cette raison que les TUI et autres grands industriels ont fait du tourisme une industrie, vendant du voyage comme Pigeot ou Rino vend de la bagnole.
Ben t'as raison Léa, mais ne serait-il pas temps d'arrêter de les laisser boiter ?
Finalement, comme la presse reste encore, du moins chez nous, un peu libre, j'ai bien l'intention de continuer à lutter contre le côté obscur de la Force.
Et tant pis si les robots ne comprennent rien… à rien !