Il est urgent de défendre votre presse professionnelle en lui donnant les moyens de vivre et de vous informer en toute objectivité. Pour ce faire, un seul moyen : vous abonner massivement car pour vous soutenir nous avons besoin de votre soutien ! /crédit Pixabay
L’année prochaine, cela fera un quart de siècle (oui, vous avez bien lu) que TourMaG.com a vu le jour dans un garage de la rue de La Palud à Marseille.
Résolument pure player, nous avons misé dès septembre 1998 sur la gratuité de notre contenu et un modèle économique s’appuyant sur une forte audience. Objectif : offrir à nos lecteurs le meilleur de l’actualité du tourisme sans bourse délier.
Très rapidement, n(v)otre média est devenu leader de son segment et son leadership, dûment contrôlé chaque année, n’a jamais été contesté ou alors de façon fantaisiste par des concurrents qui ne se soumettent pas aux contrôles des outils de mesure adéquats.
A l’époque, les abonnements aux supports professionnels traditionnels tournaient autour de 200 euros et même davantage pour un abonnement annuel, si mes souvenirs sont bons.
Avec le développement d’Internet et hormis de très rares exceptions, l’ensemble de la galaxie Gutenberg a fait de la publicité, du marketing et de l’événementiel, le tryptique de son avenir.
Mais un constat s’est rapidement imposé face aux GAFAM : la publicité ne suffira pas à faire vivre cette industrie qui doit se contenter des miettes laissées par les réseaux sociaux qui captent près de 90% de la manne publicitaire.
Résolument pure player, nous avons misé dès septembre 1998 sur la gratuité de notre contenu et un modèle économique s’appuyant sur une forte audience. Objectif : offrir à nos lecteurs le meilleur de l’actualité du tourisme sans bourse délier.
Très rapidement, n(v)otre média est devenu leader de son segment et son leadership, dûment contrôlé chaque année, n’a jamais été contesté ou alors de façon fantaisiste par des concurrents qui ne se soumettent pas aux contrôles des outils de mesure adéquats.
A l’époque, les abonnements aux supports professionnels traditionnels tournaient autour de 200 euros et même davantage pour un abonnement annuel, si mes souvenirs sont bons.
Avec le développement d’Internet et hormis de très rares exceptions, l’ensemble de la galaxie Gutenberg a fait de la publicité, du marketing et de l’événementiel, le tryptique de son avenir.
Mais un constat s’est rapidement imposé face aux GAFAM : la publicité ne suffira pas à faire vivre cette industrie qui doit se contenter des miettes laissées par les réseaux sociaux qui captent près de 90% de la manne publicitaire.
Défendre les intérêts de la collectivité ça a un prix...
Il y a trois ans environ la tendance s’est inversée de manière radicale : la plupart de la presse d’information générale grand public est passée, progressivement, à un accès limité d’abord, fermé ensuite.
Aujourd’hui la mue est achevée : les grands titres ne proposent en libre accès que des contenus à faible valeur ajoutée, du type dépêche d’agence, communiqué ou publirédactionnel.
Pour la presse spécialisée en général et le tourisme en particulier, le constat est identique mais aggravé encore par la vitesse de concentration du secteur. Ce dernier qui s’accélère depuis une dizaine d’années fait peser une véritable menace sur la liberté et l’indépendance des médias professionnels.
Si vous êtes un fidèle lecteur de TourMaG.com vous connaissez notre attachement à vous livrer une information vérifiée et sans fard. Nous n’avons jamais hésité à aborder des sujets qui fâchent quitte à aller au clash pour défendre les intérêts de la profession.
Ces dernières années nous avons, à plusieurs reprises, dû défendre cette opiniâtreté et les intérêts de la collectivité devant la justice. En effet, un certain nombre d’acteurs de notre industrie nous ont traîné devant les tribunaux pour museler notre média et préserver leurs intérêts au détriment de ceux de la profession.
Aujourd’hui la mue est achevée : les grands titres ne proposent en libre accès que des contenus à faible valeur ajoutée, du type dépêche d’agence, communiqué ou publirédactionnel.
Pour la presse spécialisée en général et le tourisme en particulier, le constat est identique mais aggravé encore par la vitesse de concentration du secteur. Ce dernier qui s’accélère depuis une dizaine d’années fait peser une véritable menace sur la liberté et l’indépendance des médias professionnels.
Si vous êtes un fidèle lecteur de TourMaG.com vous connaissez notre attachement à vous livrer une information vérifiée et sans fard. Nous n’avons jamais hésité à aborder des sujets qui fâchent quitte à aller au clash pour défendre les intérêts de la profession.
Ces dernières années nous avons, à plusieurs reprises, dû défendre cette opiniâtreté et les intérêts de la collectivité devant la justice. En effet, un certain nombre d’acteurs de notre industrie nous ont traîné devant les tribunaux pour museler notre média et préserver leurs intérêts au détriment de ceux de la profession.
Les procès coûtent plusieurs milliers d'euros
Le dernier en date est Didier Munin, patron de ex-Boiloris, qui avait porté plainte pour diffamation avec constitution de partie civile à la suite des révélations effectuées par TourMaG.com lors du dépôt de bilan en 2017, de ce dernier.
Votre portail préféré avait émis des réserves et des critiques sur les conditions de cette faillite et sur le préjudice (2,5 millions d’euros) qu’il était susceptible de poser à l’APST. Heureusement, les magistrats n’ont pas retenu la motivation pénale ni les indemnités réclamées par l’ancien patron de Boiloris, et l’ont débouté de toutes ses demandes.
Pour autant, l’affaire n’est pas neutre pour n(v)otre journal qui a dépensé plusieurs milliers d’euros en frais d’avocat et de procédure devant le Tribunal de grande instance de Paris.
Ce n’est pas, hélas, le seul exemple, mais il démontre le besoin urgent de défendre votre presse professionnelle en lui donnant les moyens de vivre et de vous informer en toute objectivité.
Pour ce faire, un seul moyen : vous abonner massivement !
Aujourd’hui TourMaG.com vous propose plusieurs types d’abonnement (cf ci-dessous), dont celui de base (Premium), accessible à tous et bien en dessous des tarifs pratiqués par le presse papier il y a quelques années.
Votre portail préféré avait émis des réserves et des critiques sur les conditions de cette faillite et sur le préjudice (2,5 millions d’euros) qu’il était susceptible de poser à l’APST. Heureusement, les magistrats n’ont pas retenu la motivation pénale ni les indemnités réclamées par l’ancien patron de Boiloris, et l’ont débouté de toutes ses demandes.
Pour autant, l’affaire n’est pas neutre pour n(v)otre journal qui a dépensé plusieurs milliers d’euros en frais d’avocat et de procédure devant le Tribunal de grande instance de Paris.
Ce n’est pas, hélas, le seul exemple, mais il démontre le besoin urgent de défendre votre presse professionnelle en lui donnant les moyens de vivre et de vous informer en toute objectivité.
Pour ce faire, un seul moyen : vous abonner massivement !
Aujourd’hui TourMaG.com vous propose plusieurs types d’abonnement (cf ci-dessous), dont celui de base (Premium), accessible à tous et bien en dessous des tarifs pratiqués par le presse papier il y a quelques années.
On a la presse que l’on mérite !
Le tout avec un contenu à valeur ajoutée (Enquêtes, études, papiers de fond…) dont la valeur intrinsèque est bien au-delà du tarif proposé : 83 euros TTC pour 12 mois.
Avec 40 articles/mois en moyenne et 480/an à minima, je vous laisse calculer le tarif unitaire… qui frise celui des cacahouètes !
Bien entendu, cela ne signifie pas que la publicité disparaîtra car, sans elle, la viabilité de n(v)otre journal n’est plus assurée. Mais en vous abonnant, vous diminuez peu à peu cette dépendance.
Quelques Réseaux et voyagistes ont déjà sauté le pas. Que vous soyez indépendant ou pas souvenez-vous : on a la presse que l’on mérite ! Il n’est pas trop tard pour donner à votre média les moyens de ses (grandes) ambitions.
A bon entendeur…
Jean da Luz
Directeur de la Rédaction
Avec 40 articles/mois en moyenne et 480/an à minima, je vous laisse calculer le tarif unitaire… qui frise celui des cacahouètes !
Bien entendu, cela ne signifie pas que la publicité disparaîtra car, sans elle, la viabilité de n(v)otre journal n’est plus assurée. Mais en vous abonnant, vous diminuez peu à peu cette dépendance.
Quelques Réseaux et voyagistes ont déjà sauté le pas. Que vous soyez indépendant ou pas souvenez-vous : on a la presse que l’on mérite ! Il n’est pas trop tard pour donner à votre média les moyens de ses (grandes) ambitions.
A bon entendeur…
Jean da Luz
Directeur de la Rédaction
Afin de prendre en compte les différentes composantes de notre métier, nous avons mis en place 3 types d’abonnement.
Le premier (MemberShip Club), s’adresse aux Patrons et Dirigeants, qui ont besoin d’une information en avant première.
Le second (Futuroscopie), est davantage conçu pour les institutionnels, prestataires et patrons de prod qui veulent appréhender l’air du temps et les changements en cours.
Enfin, le 3e (Premium), s’adresse à l’ensemble de la profession, avec un tarif particulièrement étudié (83 euros TTC/an) et accessible à tous. Certains réseaux et mini-réseaux bénéficient même de prix groupés à partir de 5 abonnements.
VOICI LE LIEN AVEC TOUTES LES CARACTERISTIQUES DES DIFFERENTS ABONNEMENT (Cliquer)
Votre avis nous intéresse.
Exprimez-vous ci-dessous et laissez-nous vos commentaires.
Le premier (MemberShip Club), s’adresse aux Patrons et Dirigeants, qui ont besoin d’une information en avant première.
Le second (Futuroscopie), est davantage conçu pour les institutionnels, prestataires et patrons de prod qui veulent appréhender l’air du temps et les changements en cours.
Enfin, le 3e (Premium), s’adresse à l’ensemble de la profession, avec un tarif particulièrement étudié (83 euros TTC/an) et accessible à tous. Certains réseaux et mini-réseaux bénéficient même de prix groupés à partir de 5 abonnements.
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