Sébastien Bazin Président-directeur général d'AccorHotels a pris les commandes du groupe en 2013 - Photo AccorHotels
Tiens, juste avant de débuter cette nouvelle œuvre (ben oui, c’est le 1er mai au moment où j’écris et faut bien se faire un tantinet plaisir en cette fête du labeur), une digression à l’intention de mes amis écolos-bobos.
Le réchauffement climatique ne serait-il pas une bizarrerie étrange, alors qu’au début du mois de mai, je sois encore obligé d’allumer le chauffage et de faire flamber la cheminée ? Capestan, répondez !
Plus sérieusement, il est quand même intéressant de souligner l’incontestable aventure de ce qui est devenu le premier groupe hôtelier français et le 5ème (ou 6ème) hébergeur mondial.
Et celui qui vient de racheter l’un des fleurons de l’hôtellerie « haut de gamme » ne semble pas avoir fini son ascension mondiale.
Même si, parfois, quelques « erreurs » de parcours ont pu altérer la bonne moralité du groupe.
En attendant, Mövenpick Hôtels et Resorts, rentre (enfin, va rentrer bientôt) dans le giron d’Accor, pour la modique somme de 482 millions d’euros et cela se fera « en numéraires » !
Ben, on espère que c’est du bon et bel argent, pas des bite-coins, encore que…
Faut croire aussi que l’inexorable ascension du principal concurrent d’Accor (j’écris Accor, c’est moins long que « AccorHotels » et ça veut dire la même chose), AirBnB, ne gène pas trop nos hôteliers « nationaux », encore que les Qataris possèdent une part importante de l’actionnariat Accor.
« Avec l'acquisition de Mövenpick nous consolidons notre leadership sur le marché européen et accélérerons encore notre développement sur les marchés émergents, notamment au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie-Pacifique. (…)
Le réchauffement climatique ne serait-il pas une bizarrerie étrange, alors qu’au début du mois de mai, je sois encore obligé d’allumer le chauffage et de faire flamber la cheminée ? Capestan, répondez !
Plus sérieusement, il est quand même intéressant de souligner l’incontestable aventure de ce qui est devenu le premier groupe hôtelier français et le 5ème (ou 6ème) hébergeur mondial.
Et celui qui vient de racheter l’un des fleurons de l’hôtellerie « haut de gamme » ne semble pas avoir fini son ascension mondiale.
Même si, parfois, quelques « erreurs » de parcours ont pu altérer la bonne moralité du groupe.
En attendant, Mövenpick Hôtels et Resorts, rentre (enfin, va rentrer bientôt) dans le giron d’Accor, pour la modique somme de 482 millions d’euros et cela se fera « en numéraires » !
Ben, on espère que c’est du bon et bel argent, pas des bite-coins, encore que…
Faut croire aussi que l’inexorable ascension du principal concurrent d’Accor (j’écris Accor, c’est moins long que « AccorHotels » et ça veut dire la même chose), AirBnB, ne gène pas trop nos hôteliers « nationaux », encore que les Qataris possèdent une part importante de l’actionnariat Accor.
« Avec l'acquisition de Mövenpick nous consolidons notre leadership sur le marché européen et accélérerons encore notre développement sur les marchés émergents, notamment au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie-Pacifique. (…)
Dominique Gobert - DR
"Cette opération illustre la stratégie que nous entendons mener avec l'ouverture du capital d'AccorInvest : saisir des opportunités tactiques pour renforcer nos positions, consolider nos leaderships et démultiplier notre croissance ».
C’est Sébastien Bazin, le patron actuel (et brillant) d’Accor qui le dit dans le communiqué annonçant la nouvelle acquisition du groupe.
On peut se demander jusqu’où ira le groupe, lequel semble ne plus pouvoir s’arrêter. Ce qui, pour notre image de la France et du tourisme en général, n’est pas désagréable.
Après tout, lorsqu’une entreprise, encore française, se répand dans le monde, on peut éprouver un léger sentiment de fierté.
C’est Sébastien Bazin, le patron actuel (et brillant) d’Accor qui le dit dans le communiqué annonçant la nouvelle acquisition du groupe.
On peut se demander jusqu’où ira le groupe, lequel semble ne plus pouvoir s’arrêter. Ce qui, pour notre image de la France et du tourisme en général, n’est pas désagréable.
Après tout, lorsqu’une entreprise, encore française, se répand dans le monde, on peut éprouver un léger sentiment de fierté.
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En revanche, faut quand même avoir la tête bien remplie et un sacré esprit financier, lorsque l’on découvre, toujours dans le communiqué d’Accor, que ce rachat « valorise l'entreprise suisse 14,9 fois son excédent brut d'exploitation attendu pour 2019 avant synergies, en incluant les coûts d'acquisitions, et moins de 10X l’EBITDA 2019 pro forma des synergies annualisées et du pipeline sécurisé de développement. L’opération aura un impact relutif sur les résultats du Groupe dès la première année ».
Alors là, c’est sûrement du bon ! Heureusement que nous avons notre bon Nicolas Sarkozy, la vedette de Selectour, qui siège au Conseil d’Administration du Groupe…
Une déclaration pareille, c’est tout à fait le langage d’un homme politique…
Allez, je rigole, mais j’ai vraiment rien compris !
Alors là, c’est sûrement du bon ! Heureusement que nous avons notre bon Nicolas Sarkozy, la vedette de Selectour, qui siège au Conseil d’Administration du Groupe…
Une déclaration pareille, c’est tout à fait le langage d’un homme politique…
Allez, je rigole, mais j’ai vraiment rien compris !