Un équipement bon marché pour redonner vie aux films et aux diapos qui dorment au fond des tiroirs. Photo DR
C’était en des temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas avoir connu....
Depuis son invention par Niepce et Daguerre dans la première moitié du XIXe siècle jusqu’à l’avènement du numérique dans les dernières décennies du siècle suivant, la photographie devait impérativement passer, après la prise de vue, par la phase chimique du développement pour aboutir aux pellicules, aux diapositives ou aux tirages papier.
Tout ça appartient au passé et, s’il est toujours possible de feuilleter ses albums pour revoir d’anciennes photos de famille, c’est plus coton quand on était accro aux diapos et que tous nos souvenirs se retrouvent enfermés dans des tiroirs sous forme de slides bien rangées dans des boîtes, sans grand espoir d’en sortir.
Seule solution, pour faire revivre ces vieux clichés prisonniers de leur petit cadre de plastique ou de carton : passer par la numérisation. Des laboratoires spécialisés peuvent s’en charger, mais c’est contraignant et généralement coûteux.
On trouve aussi sur le marché des scanners capables de s’acquitter de cette tâche. Epson, Canon, Nikon, Agfa, Kodak, Rollei, Plustek et d’autres fabricants proposent leurs modèles.
Satisfaisants pour certains, décevants pour d’autres, mais souvent chers et rarement faciles d’emploi.
Un photographe professionnel danois, Simon Lautrop, a trouvé un moyen efficace de simplifier la manœuvre en imaginant le PictoScanner, un système astucieux, bon marché et qui n’implique pas de se plonger des heures dans un mode d’emploi complexe pour en comprendre le fonctionnement.
Depuis son invention par Niepce et Daguerre dans la première moitié du XIXe siècle jusqu’à l’avènement du numérique dans les dernières décennies du siècle suivant, la photographie devait impérativement passer, après la prise de vue, par la phase chimique du développement pour aboutir aux pellicules, aux diapositives ou aux tirages papier.
Tout ça appartient au passé et, s’il est toujours possible de feuilleter ses albums pour revoir d’anciennes photos de famille, c’est plus coton quand on était accro aux diapos et que tous nos souvenirs se retrouvent enfermés dans des tiroirs sous forme de slides bien rangées dans des boîtes, sans grand espoir d’en sortir.
Seule solution, pour faire revivre ces vieux clichés prisonniers de leur petit cadre de plastique ou de carton : passer par la numérisation. Des laboratoires spécialisés peuvent s’en charger, mais c’est contraignant et généralement coûteux.
On trouve aussi sur le marché des scanners capables de s’acquitter de cette tâche. Epson, Canon, Nikon, Agfa, Kodak, Rollei, Plustek et d’autres fabricants proposent leurs modèles.
Satisfaisants pour certains, décevants pour d’autres, mais souvent chers et rarement faciles d’emploi.
Un photographe professionnel danois, Simon Lautrop, a trouvé un moyen efficace de simplifier la manœuvre en imaginant le PictoScanner, un système astucieux, bon marché et qui n’implique pas de se plonger des heures dans un mode d’emploi complexe pour en comprendre le fonctionnement.
Désormais aussi commercialisé en France
Distribué d’abord au Danemark puis aux États-Unis, le PictoScanner est désormais aussi commercialisé en France. Il tient dans une boîte d’une taille inférieure à celle d’un livre de poche.
Au fond de la boîte : une fenêtre rétroéclairée et un logement pour les piles ; au-dessous, un bouton On-Off pour la mise en marche ; à l’intérieur, un carton rigide à déplier dont la partie supérieure est percée d’un orifice, ces jambages permettant de le positionner très précisément à la verticale de la table de lecture.
La mise en place ne prend que quelques dizaines de secondes. Reste alors simplement à placer la diapo sur la mini table lumineuse, à poser un smartphone à plat sur le dessus, l’objectif photo en face du trou et de déclencher pour obtenir instantanément une image numérisée qui, si on le souhaite, peut être immédiatement partagée sur un réseau social ou envoyée par courriel puisqu’elle se trouve stockée sur l’appareil mobile.
Grâce à une application dédiée téléchargeable gratuitement pour iOS ou Android, il est même possible de modifier l’exposition, de régler le contraste, d’améliorer la netteté, d’appliquer des filtres couleur, de choisir parmi une vingtaine de cadres, d’intégrer du texte, etc.
Présenté par son inventeur comme une simple solution de numérisation occasionnelle, le PictoScanner s’en tire réellement très bien… à condition de l’utiliser avec un smartphone doté d’un capteur photo performant puisque c’est de lui que dépend la qualité de la numérisation.
Avantage de cet équipement : il est simplissime, il n’a pas besoin de prise de courant (deux simples piles AA suffisent à l’alimenter), il fonctionne sans ordinateur et il est capable de numériser des négatifs couleur et noir et blanc aussi bien que des diapos.
Autre atout, son prix : 39,90 € sur Amazon et chez certains revendeurs.
En savoir plus : www.pictoscanner.com (site en anglais)
Au fond de la boîte : une fenêtre rétroéclairée et un logement pour les piles ; au-dessous, un bouton On-Off pour la mise en marche ; à l’intérieur, un carton rigide à déplier dont la partie supérieure est percée d’un orifice, ces jambages permettant de le positionner très précisément à la verticale de la table de lecture.
La mise en place ne prend que quelques dizaines de secondes. Reste alors simplement à placer la diapo sur la mini table lumineuse, à poser un smartphone à plat sur le dessus, l’objectif photo en face du trou et de déclencher pour obtenir instantanément une image numérisée qui, si on le souhaite, peut être immédiatement partagée sur un réseau social ou envoyée par courriel puisqu’elle se trouve stockée sur l’appareil mobile.
Grâce à une application dédiée téléchargeable gratuitement pour iOS ou Android, il est même possible de modifier l’exposition, de régler le contraste, d’améliorer la netteté, d’appliquer des filtres couleur, de choisir parmi une vingtaine de cadres, d’intégrer du texte, etc.
Présenté par son inventeur comme une simple solution de numérisation occasionnelle, le PictoScanner s’en tire réellement très bien… à condition de l’utiliser avec un smartphone doté d’un capteur photo performant puisque c’est de lui que dépend la qualité de la numérisation.
Avantage de cet équipement : il est simplissime, il n’a pas besoin de prise de courant (deux simples piles AA suffisent à l’alimenter), il fonctionne sans ordinateur et il est capable de numériser des négatifs couleur et noir et blanc aussi bien que des diapos.
Autre atout, son prix : 39,90 € sur Amazon et chez certains revendeurs.
En savoir plus : www.pictoscanner.com (site en anglais)