
Dans un communiqué, plusieurs syndicats du secteur aérien (ALTER, SNGAF, SNOMAC, SNPL Air France ALPA, SNPNC, SPAF, UNAC, UNSA PNC) demandent la déclassification du dossier d'enquête et un accès "sans réserve" à l'ensemble des pièces du dossier sur le crash du vol AF 212.
Le 3 décembre 1969, le Boeing B707 d'Air France, immatriculé F-BHSZ, à destination de Paris (France) via Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe (France), et Lisbonne (Portugal), décolle de Caracas (Venezuela).
Une minute plus tard, l'appareil s'abîme en mer. L'ensemble des 62 personnes qui se trouvaient à bord décède.
Les causes de cette catastrophe restent encore inconnues aujourd'hui car les documents issus de l'enquête menée par le bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) sont classés aux archives nationales jusqu'en 2029.
Le communiqué note toutefois que d'autres documents émanant du BEA concluent à une "forte probabilité pour que les destruction en vol de l'appareil soit imputable à l'explosion d'une bombe placée dans le puits de train gauche de l'avion".
Ce qui en ferait le premier acte de terrorisme de l'aéronautique civile française et l'un des premiers attentats au monde contre un avion de ligne, si l'hypothèse venait à être confirmée.
Le 3 décembre 1969, le Boeing B707 d'Air France, immatriculé F-BHSZ, à destination de Paris (France) via Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe (France), et Lisbonne (Portugal), décolle de Caracas (Venezuela).
Une minute plus tard, l'appareil s'abîme en mer. L'ensemble des 62 personnes qui se trouvaient à bord décède.
Les causes de cette catastrophe restent encore inconnues aujourd'hui car les documents issus de l'enquête menée par le bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) sont classés aux archives nationales jusqu'en 2029.
Le communiqué note toutefois que d'autres documents émanant du BEA concluent à une "forte probabilité pour que les destruction en vol de l'appareil soit imputable à l'explosion d'une bombe placée dans le puits de train gauche de l'avion".
Ce qui en ferait le premier acte de terrorisme de l'aéronautique civile française et l'un des premiers attentats au monde contre un avion de ligne, si l'hypothèse venait à être confirmée.
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