Mamaz propose des tables chez l'habitant afin de partager un moment de gastronomie mais surtout convivial chez des locaux - Crédit photo : Mamaz
Fin 2018, Guy Raffour, directeur du cabinet Raffour Interactif, revenait sur les 20 dernières années du tourisme pour extraire l'une des principales tendances dans notre industrie.
"L'expérientiel est une tendance qui ne va pas s'affaiblir. Le tourisme, s'il veut continuer sur sa dynamique de croissance, doit à tout prix respecter les populations locales et les lieux."
En effet, que ce soit les nouvelles ou les anciennes générations, les voyageurs veulent de plus en plus vivre un moment unique, pour avoir quelque chose à raconter à leurs amis lors d'un apéro ou à partager sur Instagram.
Les start-up ont bien saisi cela. Cette nouvelle tendance, reposant bien souvent sur un détour hors des sentiers battus, n'est pas une fatalité.
Si TripAdvisor est devenu indispensable aux voyageurs, permettant de faire un tri sélectif face à une offre foisonnante, Mamaz propose une autre expérience : déguster, mais surtout vivre un repas chez un local.
"L'expérientiel est une tendance qui ne va pas s'affaiblir. Le tourisme, s'il veut continuer sur sa dynamique de croissance, doit à tout prix respecter les populations locales et les lieux."
En effet, que ce soit les nouvelles ou les anciennes générations, les voyageurs veulent de plus en plus vivre un moment unique, pour avoir quelque chose à raconter à leurs amis lors d'un apéro ou à partager sur Instagram.
Les start-up ont bien saisi cela. Cette nouvelle tendance, reposant bien souvent sur un détour hors des sentiers battus, n'est pas une fatalité.
Si TripAdvisor est devenu indispensable aux voyageurs, permettant de faire un tri sélectif face à une offre foisonnante, Mamaz propose une autre expérience : déguster, mais surtout vivre un repas chez un local.
Mamaz se veut le Airbnb de la gastronomie locale
Antoine Litaise veut écouler plus d'un million de dîners d'ici 2021 avec Mamaz - Crédit photo : Mamaz
Une start-up peut naître d'une observation, ou de remarques à la fin d'un repas, non pas provoquées par l'ivresse de la fin de soirée, mais par le plaisir de l'assiette.
C'est exactement ce qui a poussé Antoine Litaise, alors étudiant en Irlande, à créer sa solution digitale. "J'adorais cuisiner et faire découvrir à mes amis, pour la plupart étudiants Erasmus, des spécialités françaises", se remémore le créateur de Mamaz.
De retour en France, et en laissant l'idée infuser, le jeune homme arrête alors son concept. Il proposera des tables chez l'habitant afin de partager un moment de gastronomie mais surtout convivial chez des locaux.
Une fois l'idée en tête, Antoine décide de créer sa plateforme ou plus exactement de faire l'acquisition d'une existante.
"Lorsque nous prospections avec mon beau-père (et associé), nous avons trouvé un site tombé en désuétude : "Voulez-vous dîner". Nous avons rassemblé l'argent et fait son acquisition. Ce qui nous a permis de gagner beaucoup de temps."
Après seulement quelques mois, la petite équipe contacte chacun des anciens utilisateurs et hôtes, pour leur faire part du projet. Le 1er mai 2019 Mamaz ouvre son site et les portes des particuliers, et enregistre plus de 300 réservations de repas en 3 mois. Un score plus qu'honorable.
Sauf que cette médaille en chocolat ne suffit pas. Antoine envisage d'atteindre le million de dîners en 2021.
Comment ? "Nous avons déjà signé avec un tour-opérateur américain pour 1 500 repas, et cet axe de développement est primordial pour nous. Nous avons vu que les besoins dans le BtoB sont énormes, notamment auprès des TO et des agences de voyages", observe Antoine Litaise.
Alors que les restaurants se vident avec les repas livrés par scooters, et fustigent les commentaires sur TripAdvisor, voici venir un énième concurrent.
Pour le fondateur de Mamaz, il ne faut pas voir la start-up sous cet angle. "Il n'y a que les mauvais restaurateurs qui sont inquiets, les autres non. Puis nos hôtes ont tendance à partager leurs bonnes adresses lors des repas, c'est aussi tout l'enjeu de notre Mamaz."
Et pour tous ceux qui se posent la question de l'existence d'une solution concurrente et plus ancienne comme Eatwhit, "ce n'est pas exactement pareil, répond Antoine Litaise. Ils sont tournés vers la gastronomie et nous sur la rencontre. Notre projet étant de favoriser le lien social, la découverte d'autres cultures avec un panier moyen bien plus faible."
La dynamique est telle que Mamaz envisage d'installer prochainement un bureau à Los Angeles et se prépare à lever des fonds pour la fin de l'année 2019.
Et vous, seriez-vous prêts à envoyer des clients chez des particuliers pour déguster un plat local ?
C'est exactement ce qui a poussé Antoine Litaise, alors étudiant en Irlande, à créer sa solution digitale. "J'adorais cuisiner et faire découvrir à mes amis, pour la plupart étudiants Erasmus, des spécialités françaises", se remémore le créateur de Mamaz.
De retour en France, et en laissant l'idée infuser, le jeune homme arrête alors son concept. Il proposera des tables chez l'habitant afin de partager un moment de gastronomie mais surtout convivial chez des locaux.
Une fois l'idée en tête, Antoine décide de créer sa plateforme ou plus exactement de faire l'acquisition d'une existante.
"Lorsque nous prospections avec mon beau-père (et associé), nous avons trouvé un site tombé en désuétude : "Voulez-vous dîner". Nous avons rassemblé l'argent et fait son acquisition. Ce qui nous a permis de gagner beaucoup de temps."
Après seulement quelques mois, la petite équipe contacte chacun des anciens utilisateurs et hôtes, pour leur faire part du projet. Le 1er mai 2019 Mamaz ouvre son site et les portes des particuliers, et enregistre plus de 300 réservations de repas en 3 mois. Un score plus qu'honorable.
Sauf que cette médaille en chocolat ne suffit pas. Antoine envisage d'atteindre le million de dîners en 2021.
Comment ? "Nous avons déjà signé avec un tour-opérateur américain pour 1 500 repas, et cet axe de développement est primordial pour nous. Nous avons vu que les besoins dans le BtoB sont énormes, notamment auprès des TO et des agences de voyages", observe Antoine Litaise.
Alors que les restaurants se vident avec les repas livrés par scooters, et fustigent les commentaires sur TripAdvisor, voici venir un énième concurrent.
Pour le fondateur de Mamaz, il ne faut pas voir la start-up sous cet angle. "Il n'y a que les mauvais restaurateurs qui sont inquiets, les autres non. Puis nos hôtes ont tendance à partager leurs bonnes adresses lors des repas, c'est aussi tout l'enjeu de notre Mamaz."
Et pour tous ceux qui se posent la question de l'existence d'une solution concurrente et plus ancienne comme Eatwhit, "ce n'est pas exactement pareil, répond Antoine Litaise. Ils sont tournés vers la gastronomie et nous sur la rencontre. Notre projet étant de favoriser le lien social, la découverte d'autres cultures avec un panier moyen bien plus faible."
La dynamique est telle que Mamaz envisage d'installer prochainement un bureau à Los Angeles et se prépare à lever des fonds pour la fin de l'année 2019.
Et vous, seriez-vous prêts à envoyer des clients chez des particuliers pour déguster un plat local ?
Où en est Mamaz ?
Créée en 2019, Mamaz compte déjà 5 personnes dans son effectif et enregistre des réservations, signe que la start-up répond à des besoins.
Avec un objectif ambitieux de 30 000 repas à la fin de l'année, pour un panier moyen actuel de 32 euros (boissons comprises), et d'un million pour 2021, Antoine Litaise voit loin.
Outre l'ouverture d'un bureau en septembre à Los Angeles, Mamaz envisage une traduction instantanée des menus en différentes langues et souhaite agréger les cours ou ateliers de cuisine à travers le monde.
En 2019, plus de 1 600 hôtes sont enregistrés sur la plateforme, du particulier au professionnel, dans 70 pays, dont 800 rien qu'en France, le 2e pays le plus représenté étant les Etats-Unis.
Au niveau de la réglementation, l'Etat commence à bouger, "surtout pour apaiser les esprits avec les restaurateurs. Nous avons eu une réunion au ministère pour discuter de normes et mettre en place une charte."
Les prochains développements seront la création d'une application, une levée de fonds pour conquérir la clientèle BtoC et développer des services auprès de leurs hôtes.
Avec un objectif ambitieux de 30 000 repas à la fin de l'année, pour un panier moyen actuel de 32 euros (boissons comprises), et d'un million pour 2021, Antoine Litaise voit loin.
Outre l'ouverture d'un bureau en septembre à Los Angeles, Mamaz envisage une traduction instantanée des menus en différentes langues et souhaite agréger les cours ou ateliers de cuisine à travers le monde.
En 2019, plus de 1 600 hôtes sont enregistrés sur la plateforme, du particulier au professionnel, dans 70 pays, dont 800 rien qu'en France, le 2e pays le plus représenté étant les Etats-Unis.
Au niveau de la réglementation, l'Etat commence à bouger, "surtout pour apaiser les esprits avec les restaurateurs. Nous avons eu une réunion au ministère pour discuter de normes et mettre en place une charte."
Les prochains développements seront la création d'une application, une levée de fonds pour conquérir la clientèle BtoC et développer des services auprès de leurs hôtes.
Spotyride, le Booking des sports nautiques
Philippe Sirech entend démocratiser la pratique des sports nautiques - Crédit photo : Spotyride
Il y a les entrepreneurs extérieurs au secteur et ceux qui sont immergés dedans depuis leur plus jeune âge, ce qui est le cas de Philippe Sirech.
Âgé de 52 ans, le créateur de Spotyride n'est pas né avec une planche de wakeboard sous le pied, mais a grandi avec, jusqu'à atteindre une distinction mondiale.
Si la start-up a vu le jour il y a un an, l'idée a germé tout au long de son expérience d'athlète.
"A chaque voyage, je ne savais jamais comment trouver un spot non loin des lieux de compétition. J'ai donc pris le parti de créer une plateforme et une application permettant de trouver des endroits où faire du wakeboard," explique Philippe Sirech.
Après des mois de développement et d'AB testing, le site voit le jour en juin 2019 et recense plus de 16 sports nautiques, pour 1 500 structures, le tout dans 50 pays.
Tout est allé très vite, ce qui est normal lorsque l'on est une figure de la discipline.
"J'avais déjà beaucoup de contacts, mais nous avons surtout accès la solution sur la technologie, la preuve étant que lors du dernier CES nous avons obtenu un prix", rappelle le fondateur de Spotyride.
Avec plus de 100 millions de pratiquants à travers le monde, le marché est gigantesque et les premières retombées se font ressentir.
Depuis juin 2019, la plateforme a enregistré plus de 25 000 connexions, soit plus de 1 000 par jour, mais avec des réservations qui ne se font pas encore de bout en bout sur le site.
A l'heure où apparaître sur Google est devenu compliqué, Spotyride n'a pas misé sur le moteur de recherche pour exister.
"En fait, je suis propriétaire d'un magazine, avec une communauté de 150 000 personnes, ce qui nous a permis de nous propulser. C'est allé très vite", avoue Philippe Sirech.
L'entreprise devrait prochainement se rémunérer grâce à une commission sur chaque réservation, son objectif étant de devenir la marketplace des sports nautiques, pour permettre à toutes les structures même les plus petites de bénéficier d'une visibilité et d'un guichet sur Internet.
Avec Spotyride, Philippe Sirech entend surfer sur la toile.
Âgé de 52 ans, le créateur de Spotyride n'est pas né avec une planche de wakeboard sous le pied, mais a grandi avec, jusqu'à atteindre une distinction mondiale.
Si la start-up a vu le jour il y a un an, l'idée a germé tout au long de son expérience d'athlète.
"A chaque voyage, je ne savais jamais comment trouver un spot non loin des lieux de compétition. J'ai donc pris le parti de créer une plateforme et une application permettant de trouver des endroits où faire du wakeboard," explique Philippe Sirech.
Après des mois de développement et d'AB testing, le site voit le jour en juin 2019 et recense plus de 16 sports nautiques, pour 1 500 structures, le tout dans 50 pays.
Tout est allé très vite, ce qui est normal lorsque l'on est une figure de la discipline.
"J'avais déjà beaucoup de contacts, mais nous avons surtout accès la solution sur la technologie, la preuve étant que lors du dernier CES nous avons obtenu un prix", rappelle le fondateur de Spotyride.
Avec plus de 100 millions de pratiquants à travers le monde, le marché est gigantesque et les premières retombées se font ressentir.
Depuis juin 2019, la plateforme a enregistré plus de 25 000 connexions, soit plus de 1 000 par jour, mais avec des réservations qui ne se font pas encore de bout en bout sur le site.
A l'heure où apparaître sur Google est devenu compliqué, Spotyride n'a pas misé sur le moteur de recherche pour exister.
"En fait, je suis propriétaire d'un magazine, avec une communauté de 150 000 personnes, ce qui nous a permis de nous propulser. C'est allé très vite", avoue Philippe Sirech.
L'entreprise devrait prochainement se rémunérer grâce à une commission sur chaque réservation, son objectif étant de devenir la marketplace des sports nautiques, pour permettre à toutes les structures même les plus petites de bénéficier d'une visibilité et d'un guichet sur Internet.
Avec Spotyride, Philippe Sirech entend surfer sur la toile.
Où en est Spotyride ?
Spotyride agrège pour le moment 1 500 activités dans 16 disciplines, mais entend ajouter la plongée et le canyoning, pour à terme posséder un carnet de 4 000 structures.
Si la start-up vit sur ses fonds propres, l'équipe se prépare à une levée de fonds pour 2020.
Avec 1 000 connexions par jour, elle vise un développement exponentiel, en proposant la réservation en ligne, pour atteindre 20 réservations par mois et par structure, d'ici quelques mois.
Une ambition jugée comme "très basse, mais nous préférons viser un objectif réalisable."
Pour le moment, des ouvertures de bureaux à l'étranger ne sont pas dans les tuyaux.
Si la start-up vit sur ses fonds propres, l'équipe se prépare à une levée de fonds pour 2020.
Avec 1 000 connexions par jour, elle vise un développement exponentiel, en proposant la réservation en ligne, pour atteindre 20 réservations par mois et par structure, d'ici quelques mois.
Une ambition jugée comme "très basse, mais nous préférons viser un objectif réalisable."
Pour le moment, des ouvertures de bureaux à l'étranger ne sont pas dans les tuyaux.
Woog : promenez votre animal de compagnie et découvrez la destination
Avec Woog, la balade de son animal de compagnie devient un prétexte pour visiter une destination - Crédit photo : Woog
Même en 2019, voyager avec son animal de compagnie peut ressembler aux 12 travaux d'Hercule ou d'Astérix au choix.
Entre les vaccins et les transferts en avion, rien n'a changé.
Il existe un autre point d'incertitude : où et comment promener son chien ?
C'est pour répondre à cette question, lorsque le touriste est loin de son domicile et dans une région inconnue, que Woog a été créée.
"C'est une application de partage de parcours et balades avec son animal de compagnie. Le tout est géolocalisé, et permet d'adapter sa sortie à son chien", explique Alex Defontenay, créateur de Woog.
Avant d'en arriver au Strava (application enregistrant les activités sportives via GPS) de la promenade canine, la start-up a dû faire un long chemin.
Le projet initial était bien différent. A la base Alex souhaitait mettre en ligne la carte vitale des animaux apprivoisés, mais face à la complexité de l'ouvrage et suite aux différentes discussions un virage a été pris.
"Un propriétaire s'il veut faire un tour avec son chien, dans une région inconnue, doit se rendre à l'office de tourisme. Avec Woog, il suffit de se connecter et de voir les balades enregistrées par la communauté."
Mise en ligne le 20 juin 2019, l'application compte plus de 2 500 téléchargements et dans 15 jours cette dernière devrait se voir adjoindre une boutique.
Car diffuser des parcours ne permet pas de vivre. Alex Defontenay et son équipe ont créé une ligne de produits éthiques dédiés aux chiens, qui sortira en août prochain.
Si actuellement les 150 itinéraires enregistrés le sont principalement en France, Woog entend exporter son concept dans d'autres pays francophones dans un premier temps, pour profiter de l'effet communautaire.
Dans le sillon de la start-up Emmène ton chien, pour préparer les vacances et partir avec son chien, Woog veut redéfinir le confort des animaux de compagnie grâce au digital.
Entre les vaccins et les transferts en avion, rien n'a changé.
Il existe un autre point d'incertitude : où et comment promener son chien ?
C'est pour répondre à cette question, lorsque le touriste est loin de son domicile et dans une région inconnue, que Woog a été créée.
"C'est une application de partage de parcours et balades avec son animal de compagnie. Le tout est géolocalisé, et permet d'adapter sa sortie à son chien", explique Alex Defontenay, créateur de Woog.
Avant d'en arriver au Strava (application enregistrant les activités sportives via GPS) de la promenade canine, la start-up a dû faire un long chemin.
Le projet initial était bien différent. A la base Alex souhaitait mettre en ligne la carte vitale des animaux apprivoisés, mais face à la complexité de l'ouvrage et suite aux différentes discussions un virage a été pris.
"Un propriétaire s'il veut faire un tour avec son chien, dans une région inconnue, doit se rendre à l'office de tourisme. Avec Woog, il suffit de se connecter et de voir les balades enregistrées par la communauté."
Mise en ligne le 20 juin 2019, l'application compte plus de 2 500 téléchargements et dans 15 jours cette dernière devrait se voir adjoindre une boutique.
Car diffuser des parcours ne permet pas de vivre. Alex Defontenay et son équipe ont créé une ligne de produits éthiques dédiés aux chiens, qui sortira en août prochain.
Si actuellement les 150 itinéraires enregistrés le sont principalement en France, Woog entend exporter son concept dans d'autres pays francophones dans un premier temps, pour profiter de l'effet communautaire.
Dans le sillon de la start-up Emmène ton chien, pour préparer les vacances et partir avec son chien, Woog veut redéfinir le confort des animaux de compagnie grâce au digital.
Où en est Woog ?
Après seulement quelques semaines Woog comptabilise plus de 2 500 téléchargements pour 150 balades enregistrées.
Actuellement développée par Alex Defontenay, en parallèle de sa société de conseils en communication digitale ADLS Conseils, l'application ne rapporte rien et représente une vitrine pour démontrer les compétences de l'entreprise.
Outre la balade, Woog souhaite devenir un véritable réseau social et guide de bien-être de l'animal de compagnie en compilant les statistiques du chien et conseillant le maître.
D'ici quelques mois, la start-up va ajouter une dimension de gamification des sorties et un onglet "rencontres", pour les animaux, à la demande des utilisateurs de la plateforme.
"Il ne faut pas oublier que 70% des propriétaires se baladent seuls, lorsqu'ils promènent leur chien" rapporte le créateur de la jeune pousse. Ce moment peut aussi favoriser la rencontre et l'échange autour de l'animal de compagnie.
Actuellement développée par Alex Defontenay, en parallèle de sa société de conseils en communication digitale ADLS Conseils, l'application ne rapporte rien et représente une vitrine pour démontrer les compétences de l'entreprise.
Outre la balade, Woog souhaite devenir un véritable réseau social et guide de bien-être de l'animal de compagnie en compilant les statistiques du chien et conseillant le maître.
D'ici quelques mois, la start-up va ajouter une dimension de gamification des sorties et un onglet "rencontres", pour les animaux, à la demande des utilisateurs de la plateforme.
"Il ne faut pas oublier que 70% des propriétaires se baladent seuls, lorsqu'ils promènent leur chien" rapporte le créateur de la jeune pousse. Ce moment peut aussi favoriser la rencontre et l'échange autour de l'animal de compagnie.