29 % seulement des personnes interrogées ont déclaré se rendre physiquement dans une agence de voyages ou chez un TO. Ce taux chuterait à 14 % pour la France, chiffre lui-même en chute par rapport à l'enquête 2008 qui était de 19 %.
Comme les années précédentes le budget constitue le principal critère de choix de destination pour partir en vacances.
Autre idée force : les Européens les préparent longtemps à l'avance mais se décident... en dernière minute !
64 % des Européens interrogés ont affirmé avoir l'intention de partir en vacances entre juin et septembre 2009, un chiffre en léger tassement (- 3 %) par rapport à 2008.
Après la mer, ce sont les voyages itinérants puis la montagne, la campagne et le tourisme urbain, (ce dernier récoltant tout de même 14 %) qui reçoivent, par ordre décroissant, les suffrages des Européens.
Après le repos, premier critère de réussite de bonnes vacances, la découverte de nouvelles cultures et le dépaysement (29 %) et le fait de se retrouver en famille ou entre amis (26 %) restent les principales motivations.
Le fait de partir pour faire des rencontres amoureuses ou amicales (4 % des réponses), pour lire et se cultiver (3%) ou faire du sport (5%) semblent devenir bien accessoires.
Autre idée force : les Européens les préparent longtemps à l'avance mais se décident... en dernière minute !
64 % des Européens interrogés ont affirmé avoir l'intention de partir en vacances entre juin et septembre 2009, un chiffre en léger tassement (- 3 %) par rapport à 2008.
Après la mer, ce sont les voyages itinérants puis la montagne, la campagne et le tourisme urbain, (ce dernier récoltant tout de même 14 %) qui reçoivent, par ordre décroissant, les suffrages des Européens.
Après le repos, premier critère de réussite de bonnes vacances, la découverte de nouvelles cultures et le dépaysement (29 %) et le fait de se retrouver en famille ou entre amis (26 %) restent les principales motivations.
Le fait de partir pour faire des rencontres amoureuses ou amicales (4 % des réponses), pour lire et se cultiver (3%) ou faire du sport (5%) semblent devenir bien accessoires.
L'Italie, 1ère destination européenne devant la France
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Tourisme : la France fait toujours la course en tête, mais la concurrence européenne se réveille
A 78 % les Européens ont estimé vouloir partir en Europe et 46 %, dans leur propre pays. L'Italie devient la première destination européenne choisie dans les intentions de départ (21 %).
Elle devance ainsi l'Espagne (17 %) et la France (16 %) qui était de tradition, la première destination « vacances » des marchés européens.
L'Europe du Sud (Crète, Croatie, Grèce, Portugal...) représente 9 % des destinations désignées. L'Afrique du Nord arrive ensuite avec 5% des réponses des sondés, un chiffre qui monte jusqu'à 11 % quand on interroge le seul marché français.
Pour 46 % des Européens interrogés, le budget joue un rôle absolument essentiel dans le choix des vacances. Ils sont 36 % à estimer ce rôle important mais pas essentiel.
Les risques sanitaires, les attentat, les troubles sociaux (grèves manifestations), le temps de trajet et les risques de catastrophe naturelle, influent, par ordre décroissant sur le choix des vacances. Le risque de pendémie de la Grippe A n'inquiète pas, a priori, les Européens : ils sont 80 % à déclarer qu'il n'avait aucune influence sur le choix de leur destination.
La crise actuelle amène les vacanciers européens à économiser en prévision de leurs vacances d'été (61 %) et à réduire leurs dépenses de « tous les jours » pendant leurs vacances d'été (55 %). Les premiers postes touchés sont les loisirs, les sorties et l'habillement.
Elle devance ainsi l'Espagne (17 %) et la France (16 %) qui était de tradition, la première destination « vacances » des marchés européens.
L'Europe du Sud (Crète, Croatie, Grèce, Portugal...) représente 9 % des destinations désignées. L'Afrique du Nord arrive ensuite avec 5% des réponses des sondés, un chiffre qui monte jusqu'à 11 % quand on interroge le seul marché français.
Pour 46 % des Européens interrogés, le budget joue un rôle absolument essentiel dans le choix des vacances. Ils sont 36 % à estimer ce rôle important mais pas essentiel.
Les risques sanitaires, les attentat, les troubles sociaux (grèves manifestations), le temps de trajet et les risques de catastrophe naturelle, influent, par ordre décroissant sur le choix des vacances. Le risque de pendémie de la Grippe A n'inquiète pas, a priori, les Européens : ils sont 80 % à déclarer qu'il n'avait aucune influence sur le choix de leur destination.
La crise actuelle amène les vacanciers européens à économiser en prévision de leurs vacances d'été (61 %) et à réduire leurs dépenses de « tous les jours » pendant leurs vacances d'été (55 %). Les premiers postes touchés sont les loisirs, les sorties et l'habillement.
Un Européen sur deux réserve en ligne
Internet et les canaux de distribution développés par les voyagistes et les prestataires poursuivent leur marche en avant. En 2009 ils représentent 50 % des ventes (+ 3 points par rapport à 2008, + 22 points par rapport à 2005).
29 % seulement des personnes interrogées ont déclaré se rendre physiquement dans une agence de voyages ou chez un TO. Ce taux chuterait à 14 % pour la France, chiffre lui-même en chute par rapport à l'enquête 2008 qui était de 19 %.
70 % des Européens interrogés ont répondre organiser leurs vacances eux-mêmes en achetant des prestations séparées. Ce pourcentage monte à 78 % pour le seul marché français. C'est le taux le plus fort.
Le forfait « tout compris » avec transport et hébergement est demandé par 28 % des européens et seulement 17 % des français.
29 % seulement des personnes interrogées ont déclaré se rendre physiquement dans une agence de voyages ou chez un TO. Ce taux chuterait à 14 % pour la France, chiffre lui-même en chute par rapport à l'enquête 2008 qui était de 19 %.
70 % des Européens interrogés ont répondre organiser leurs vacances eux-mêmes en achetant des prestations séparées. Ce pourcentage monte à 78 % pour le seul marché français. C'est le taux le plus fort.
Le forfait « tout compris » avec transport et hébergement est demandé par 28 % des européens et seulement 17 % des français.
Enquête réalisée auprès de 3 500 Européens
Enquête réalisée entre le 16 février et le 27 mars 2009 auprès de 3 500 Européens à raison d'un échantillon de 500 personnes de plus de 18 ans par pays. (France, Allemagne, Grande-Bretagne, Italie, Espagne, Belgique et Autriche).
Selon cette enquête, les budgets moyens avancés par les Européens pour le poste vacances d'été 2009 sont : 1 643 € pour un couple sans enfant, 1 839 € couple 1 enfant, 1 926 € couple avec 2 enfants et 2 275 € couple avec 3 enfants.
Selon cette enquête, les budgets moyens avancés par les Européens pour le poste vacances d'été 2009 sont : 1 643 € pour un couple sans enfant, 1 839 € couple 1 enfant, 1 926 € couple avec 2 enfants et 2 275 € couple avec 3 enfants.