CorsairFly a les faveurs de la DGAG pour la desserte d'Israël
Restera-t-on avec une desserte déséquilibrée à 75% pour le pavillon israelien pendant encore deux ans ? La dernière recommandation de la DGAC d'autoriser Corsair à exploiter trois vols charter par semaine entre la France et Israel alors que la compagnie New Axis Airways était aussi sur les rangs avec cinq vols, pourrait bien mener à cet état de fait.
La DGAC fait valoir plusieurs arguments en faveur du dossier Corsair : compagnie à assise financière solide, service bi-classe de qualité, gamme tarifaire plus agressive, nouvel entrant amenant un marché nouveau avec le TO Nouvelles Frontières, etc.
Or, la compagnie britannique ThomsonFly, compagnie soeur de Corsair puisque toutes les deux font partie de la galaxie TUI, vient de se voir refuser les droits de trafic entre Londres et Tel Aviv sous prétexte que les capitaux de la compagnie ne sont pas en majorité anglais. Si la législation israelienne s'applique dans le cas de la demande française, on peut s'attendre à ce que l'Aviation civile israelienne rejette également le dossier Corsair.
La DGAC fait valoir plusieurs arguments en faveur du dossier Corsair : compagnie à assise financière solide, service bi-classe de qualité, gamme tarifaire plus agressive, nouvel entrant amenant un marché nouveau avec le TO Nouvelles Frontières, etc.
Or, la compagnie britannique ThomsonFly, compagnie soeur de Corsair puisque toutes les deux font partie de la galaxie TUI, vient de se voir refuser les droits de trafic entre Londres et Tel Aviv sous prétexte que les capitaux de la compagnie ne sont pas en majorité anglais. Si la législation israelienne s'applique dans le cas de la demande française, on peut s'attendre à ce que l'Aviation civile israelienne rejette également le dossier Corsair.
Faudra-il attendre la libéralisation du ciel israélien ?
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Dans ce cas de figure, il faudrait attendre la libéralisation du ciel israelien prévue dans deux ans pour voir venir de nouveaux opérateurs. En attendant, l'exploitation franco-israelienne garderait son déséquilibre en faveur du pavillon israelien.
Cet argument est en tous cas le dernier espoir auquel se raccroche Sylvain Amar, le Pdg de New Axis Airways. Qui souligne aussi que l'administration française a la mémoire courte. Les nouveaux actionnaires qui ont sauvé Axis Airways de la faillite ont aussi préservé une centaine d'emplois et en ont créé depuis une vingtaine d'autres.
Et, affirme-t-il, les sept mois d'exploitation depuis la reprise de la compagnie se soldent par un résultat économique positif. Il reste jusqu'au 16 juillet à New Axis Airways à faire valoir ses arguments pour que la DGAC change d'avis. Ce qui ressemble plutôt à un voeu pieux.
De quoi verser de nouveaux arguments au mécontentement des compagnies vis à vis de l'administration française.
LIRE CI DESSOUS LE COMMUNIQUE DE LA DGAC
Cet argument est en tous cas le dernier espoir auquel se raccroche Sylvain Amar, le Pdg de New Axis Airways. Qui souligne aussi que l'administration française a la mémoire courte. Les nouveaux actionnaires qui ont sauvé Axis Airways de la faillite ont aussi préservé une centaine d'emplois et en ont créé depuis une vingtaine d'autres.
Et, affirme-t-il, les sept mois d'exploitation depuis la reprise de la compagnie se soldent par un résultat économique positif. Il reste jusqu'au 16 juillet à New Axis Airways à faire valoir ses arguments pour que la DGAC change d'avis. Ce qui ressemble plutôt à un voeu pieux.
De quoi verser de nouveaux arguments au mécontentement des compagnies vis à vis de l'administration française.
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