Les agents de voyages qui seraient inquiets des conséquences éventuelles de la grève des intermittents du spectacle français sur les parcs d'attractions peuvent être rassurés.
Il n'y en a, a priori, aucune jusqu'à présent. "J'ai n'ai pas eu vent de problèmes liés à la grève des intermittents du spectacle", confirme Sophie Huberson, Déléguée générale du SNELAC, syndicat professionnel et patronal de sites de loisirs.
Cette organisation compte plus de 230 adhérents dont le Parc Asterix, Disneyland Resort Paris, le Futuroscope, Aqualand et le Puy du Fou.
Parmi eux, la plupart emploie des intermittents du spectacle pour les animations. "Mais nous les prenons généralement pour la saison, précise Sophie Huberson.
Ils ne sont donc pas soumis aux même problématiques que les intermittents du spectacle qui interviennent sur des festivals ou d'autres événements ponctuels et annuels."
Les clients des parcs d'attractions et de loisirs français peuvent donc garder l'esprit tranquille cet été : pour des raisons structurelles, les animations et les spectacles programmés devraient se tenir sans perturbations.
Et, pour certains sites, la question ne se pose même pas puisqu'ils ne travaillent pas, ou très peu avec des intermittents.
"Aucun impact à ce jour", nous certifie l'attachée de presse du Puy du Fou. Le parc vendéen emploie bien des intermittents, "mais la proportion de saisonniers y est plus importante", poursuit-elle.
"Notre programme de spectacle ne subit aucune conséquence de cette grève car nous n'employons aucun intermittent", assure, quant à lui, le service presse du Vulcania.
Du côté de Disneyland Paris, Elisabetta Marigliano, Manager communication corporate, en charge des relations avec les médias, nous explique que le parc n'a "pas beaucoup d'intermittent. 87 % des 15 000 salariés sont en CDI."
Il n'y en a, a priori, aucune jusqu'à présent. "J'ai n'ai pas eu vent de problèmes liés à la grève des intermittents du spectacle", confirme Sophie Huberson, Déléguée générale du SNELAC, syndicat professionnel et patronal de sites de loisirs.
Cette organisation compte plus de 230 adhérents dont le Parc Asterix, Disneyland Resort Paris, le Futuroscope, Aqualand et le Puy du Fou.
Parmi eux, la plupart emploie des intermittents du spectacle pour les animations. "Mais nous les prenons généralement pour la saison, précise Sophie Huberson.
Ils ne sont donc pas soumis aux même problématiques que les intermittents du spectacle qui interviennent sur des festivals ou d'autres événements ponctuels et annuels."
Les clients des parcs d'attractions et de loisirs français peuvent donc garder l'esprit tranquille cet été : pour des raisons structurelles, les animations et les spectacles programmés devraient se tenir sans perturbations.
Et, pour certains sites, la question ne se pose même pas puisqu'ils ne travaillent pas, ou très peu avec des intermittents.
"Aucun impact à ce jour", nous certifie l'attachée de presse du Puy du Fou. Le parc vendéen emploie bien des intermittents, "mais la proportion de saisonniers y est plus importante", poursuit-elle.
"Notre programme de spectacle ne subit aucune conséquence de cette grève car nous n'employons aucun intermittent", assure, quant à lui, le service presse du Vulcania.
Du côté de Disneyland Paris, Elisabetta Marigliano, Manager communication corporate, en charge des relations avec les médias, nous explique que le parc n'a "pas beaucoup d'intermittent. 87 % des 15 000 salariés sont en CDI."