L'Extrême Nord du Cameroun, des rives du Lac Tchad au Sud de Maroua, à la frontière avec le Nigeria est fortement déconseillé aux voyageurs français par le Quai d'Orsay - DR : Google
Le Quai d'Orsay vient de mettre à jour ses conseils aux voyageurs concernant le Cameroun et le Tchad, suite à l’enlèvement de 7 touristes français le 19 février 2013 dans le Nord du Cameroun.
Les voyages sont formellement déconseillés, dans la zone frontalière, côté tchadien, du Lac Tchad jusqu’au niveau des villes de Binder et Léré.
Il est également "formellement déconseillé de se rendre dans la province Extrême Nord du Cameroun (des rives du Lac Tchad au Sud de Maroua) et à la frontière avec le Nigeria.
Les ressortissants français qui se trouveraient actuellement à l’Extrême Nord du pays doivent impérativement se mettre en lieu sûr et de quitter la zone au plus vite", précise le Ministère des Affaires Etrangères.
Quant à la famille française actuellement retenue en otage, semblerait-il par le groupe islamiste nigérian Boko Haram, "le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour "enlèvement en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste", qui a été confiée à la la Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI), sur leur enlèvement", indique l'agence Reuters qui cite une source judiciaire.
Les voyages sont formellement déconseillés, dans la zone frontalière, côté tchadien, du Lac Tchad jusqu’au niveau des villes de Binder et Léré.
Il est également "formellement déconseillé de se rendre dans la province Extrême Nord du Cameroun (des rives du Lac Tchad au Sud de Maroua) et à la frontière avec le Nigeria.
Les ressortissants français qui se trouveraient actuellement à l’Extrême Nord du pays doivent impérativement se mettre en lieu sûr et de quitter la zone au plus vite", précise le Ministère des Affaires Etrangères.
Quant à la famille française actuellement retenue en otage, semblerait-il par le groupe islamiste nigérian Boko Haram, "le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour "enlèvement en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste", qui a été confiée à la la Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI), sur leur enlèvement", indique l'agence Reuters qui cite une source judiciaire.