(cliquer pour agrandir) Saint Regis de Bora Bora : le « must » polynésien
Arrivés de Polynésie, Vincent Guérin-Vagnac, directeur régional Ventes & Marketing et Nicolas Orget, Directeur commercial Meridien, faisaient hier escale à Paris, première étape d’une tournée européenne. Objectif : présenter les nouveautés et la politique de développement de Starwood en Polynésie.
Le groupe opère sur six établissements haut de gamme représentés par quatre marques : Sheraton implanté à Tahiti et Moorea, The Luxury Collection avec Le Bora Bora Nui Resort et le Saint Regis à Bora Bora.
Ces quatre établissements sont la propriété d’un investisseur privé, Louis Wane. Deux Méridien situés respectivement à Tahiti et Bora Bora qui appartiennent à Electricité de Tahiti, filiale de la Lyonnaise des Eaux complètent la collection.
L’un des objectifs est d’engager les visiteurs à ne plus considérer Tahiti comme une simple étape de transit. « L’île principale à beaucoup d’intérêts. C’est là que se trouve le cœur de la culture locale. Au Méridien de Tahiti, nous développons les ateliers d’art, de cuisine, de jardinage.
Des artistes peintres venus de l’Ecole d’Art de New York viennent faire des stages. » argumente Nicolas Orget. Tout est fait pour inciter les clients à séjourner au moins deux nuits avec ce détail qui compte : Tahiti est deux fois moins cher que Bora Bora.
Le groupe souhaite aussi diversifier sa clientèle et développer d’autres axes que les voyages de noce qui représentent 65 % du trafic. C’est pourquoi des initiatives sont prises en faveur d’une clientèle familiale. Les hôtels proposent de nouvelles activités pour les enfants à partir de trois ans. Certaines chambres communiquent ou se font plus vastes.
Le groupe opère sur six établissements haut de gamme représentés par quatre marques : Sheraton implanté à Tahiti et Moorea, The Luxury Collection avec Le Bora Bora Nui Resort et le Saint Regis à Bora Bora.
Ces quatre établissements sont la propriété d’un investisseur privé, Louis Wane. Deux Méridien situés respectivement à Tahiti et Bora Bora qui appartiennent à Electricité de Tahiti, filiale de la Lyonnaise des Eaux complètent la collection.
L’un des objectifs est d’engager les visiteurs à ne plus considérer Tahiti comme une simple étape de transit. « L’île principale à beaucoup d’intérêts. C’est là que se trouve le cœur de la culture locale. Au Méridien de Tahiti, nous développons les ateliers d’art, de cuisine, de jardinage.
Des artistes peintres venus de l’Ecole d’Art de New York viennent faire des stages. » argumente Nicolas Orget. Tout est fait pour inciter les clients à séjourner au moins deux nuits avec ce détail qui compte : Tahiti est deux fois moins cher que Bora Bora.
Le groupe souhaite aussi diversifier sa clientèle et développer d’autres axes que les voyages de noce qui représentent 65 % du trafic. C’est pourquoi des initiatives sont prises en faveur d’une clientèle familiale. Les hôtels proposent de nouvelles activités pour les enfants à partir de trois ans. Certaines chambres communiquent ou se font plus vastes.
Saint Regis de Bora Bora : le « must » polynésien
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Situé sur une petite île privée, en bordure de Bora Bora, cet hôtel ouvert en 2006 est considéré comme le plus luxueux de Polynésie. La plus petite de ses 100 villas offre une surface de… 144 m2 !
Le coût de construction de chacune de ces villas a dépassé le million de dollars. 14 d’entre elles ont leur propre piscine. Toutes ont un accès direct à la plage ou au lagon. Les clients ont le choix entre trois restaurants dont le « Lagoon » avec une carte signée Jean-Georges, célèbre chef d’origine française installé à New York.
Le Spa Miri-Miri a son propre motu privé (petite île) au milieu de la nature. Sur 1 200 m2, il est un véritable sanctuaire dédié au bien-être. Les soins prodigués sont inspirés des traditions polynésiennes… algues, huiles parfumées, nacre pur et poudre de perles. Je répète, poudre de perles…
La Polynésie accueille bon an mal an 210 000 touristes. 65 % viennent en voyage de noce. L’Amérique du Nord, l’Europe et le Japon représentent les trois grands marchés émetteurs de ce bouquet d’îles qui, au bout du monde, à 22 heures de Paris, sublime tous les rêves de vacances.
Le coût de construction de chacune de ces villas a dépassé le million de dollars. 14 d’entre elles ont leur propre piscine. Toutes ont un accès direct à la plage ou au lagon. Les clients ont le choix entre trois restaurants dont le « Lagoon » avec une carte signée Jean-Georges, célèbre chef d’origine française installé à New York.
Le Spa Miri-Miri a son propre motu privé (petite île) au milieu de la nature. Sur 1 200 m2, il est un véritable sanctuaire dédié au bien-être. Les soins prodigués sont inspirés des traditions polynésiennes… algues, huiles parfumées, nacre pur et poudre de perles. Je répète, poudre de perles…
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