Et si nous commencions l'année 2022 par une information plutôt positive ?
C'est en tout cas le parti que nous avons pris, en relayant les propos du ministre de la Santé qui est intervenu ce matin au micro de France Inter. Olivier Véran est revenu sur le fait que nous vivons peut-être la dernière vague de contamination.
"Entre le variant Omicron et la vaccination, nous atteindrons une possible immunité.
J'ai dit que c'était peut-être, tout est dans le peut-être, la dernière des vagues : vu le taux de contamination sur la planète, il est probable que nous ayons tous acquis une forme d'immunité ou par la vaccination ou par l'infection ou les deux.
On va avoir, à l'issue de la vague Omicron, une immunité qui sera largement supérieure aux 50%. Même avec la vaccination quasiment du 100% en réalité"
Et le ministre de la Santé de poursuivre sur la dangerosité de la mutation, déjà très présente en France.
C'est en tout cas le parti que nous avons pris, en relayant les propos du ministre de la Santé qui est intervenu ce matin au micro de France Inter. Olivier Véran est revenu sur le fait que nous vivons peut-être la dernière vague de contamination.
"Entre le variant Omicron et la vaccination, nous atteindrons une possible immunité.
J'ai dit que c'était peut-être, tout est dans le peut-être, la dernière des vagues : vu le taux de contamination sur la planète, il est probable que nous ayons tous acquis une forme d'immunité ou par la vaccination ou par l'infection ou les deux.
On va avoir, à l'issue de la vague Omicron, une immunité qui sera largement supérieure aux 50%. Même avec la vaccination quasiment du 100% en réalité"
Et le ministre de la Santé de poursuivre sur la dangerosité de la mutation, déjà très présente en France.
Omicron : "les besoins de lits en réanimation sont moins importants qu'avec les variants précédents" selon Olivier Véran
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"Je ne dis pas qu'il est moins dangereux, attention, je dis qu'il provoque moins de passage en réanimation.
Si vous avez un très grand nombre de malades, avec proportionnellement un certain nombre d'hospitalisations, l'afflux de patients dans nos hôpitaux, le tout dans une période critique, à savoir le mois de janvier... sur les 400 000 lits que comptes nos hôpitaux aujourd'hui, 20 000 sont déjà occupés par des patients covid, avant même l'impact de la vague omicron.
On va passer un mois de janvier difficile à l'hôpital, je le dis," a t-il expliqué.
Il faut bien comprendre que si le nouveau variant provoque moins de formes graves, il entraîne tout de même des hospitalisations.
"Il provoque moins de détresse respiratoire aiguë, et les besoins de lits en réanimation sont moins importants qu'avec les variants précédents.
Il peut provoquer des besoins en oxygène de trois, quatre jours et donc on s'attend à un afflux de malades dans les lits d'hospitalisation conventionnelle."
Concernant la 4e dose, alors même que la campagne pour celle de rappel se déroule actuellement, Olivier Véran a précisé qu'elle pourrait concerner assez rapidement les plus faibles.
"La question d'une nouvelle dose de vaccin va se poser assez vite pour les personnes fragiles dans notre pays, les personnes immunodéprimées ou très âgées.
On en discute avec les scientifiques, pour l'instant seul Israël a ouvert cette quatrième dose."
Avec une immunité complètement atteinte, une vaccination des personnes les plus faibles et des médicaments pour soigner les formes graves, le retour une certaine forme de normalité pourrait bien être pour 2022.
Si vous avez un très grand nombre de malades, avec proportionnellement un certain nombre d'hospitalisations, l'afflux de patients dans nos hôpitaux, le tout dans une période critique, à savoir le mois de janvier... sur les 400 000 lits que comptes nos hôpitaux aujourd'hui, 20 000 sont déjà occupés par des patients covid, avant même l'impact de la vague omicron.
On va passer un mois de janvier difficile à l'hôpital, je le dis," a t-il expliqué.
Il faut bien comprendre que si le nouveau variant provoque moins de formes graves, il entraîne tout de même des hospitalisations.
"Il provoque moins de détresse respiratoire aiguë, et les besoins de lits en réanimation sont moins importants qu'avec les variants précédents.
Il peut provoquer des besoins en oxygène de trois, quatre jours et donc on s'attend à un afflux de malades dans les lits d'hospitalisation conventionnelle."
Concernant la 4e dose, alors même que la campagne pour celle de rappel se déroule actuellement, Olivier Véran a précisé qu'elle pourrait concerner assez rapidement les plus faibles.
"La question d'une nouvelle dose de vaccin va se poser assez vite pour les personnes fragiles dans notre pays, les personnes immunodéprimées ou très âgées.
On en discute avec les scientifiques, pour l'instant seul Israël a ouvert cette quatrième dose."
Avec une immunité complètement atteinte, une vaccination des personnes les plus faibles et des médicaments pour soigner les formes graves, le retour une certaine forme de normalité pourrait bien être pour 2022.