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La destination ? Lourdes. Le nombre de voyageurs ? 1. Le TO organisateur ? Jetair. Les dates ? Appel d’offres, le 21 avril ; confirmation et paiement, le 24 avril, le départ, le 28 avril pour un retour le 02 mai. L’hôtel choisi étant le Grand Hôtel de la Grotte.
Dans sa brochure, Jetair proposait ce forfait de quatre nuits en demi-pension à 567 euros. Jusque-là tout est bien direz-vous. Mais comme il s’agissait d’une dernière minute, une réduction de 205,80 euros a été accordée.
Passons à l’analyse…
Pour se faire nous nous sommes basé sur le document même que Jetair donne via le BTN (BTN Web Applicatie).
On y lit en effet que le prix de base est de 567 euros auxquels se rajoutent 70,4 euros pour chambre individuelle (17,6 X 4). Soit toujours sur base du prix catalogue : 637,4 euros. Vient ensuite la réduction last minute de 205,80 euros. Ce qui donne le prix définitif de 431,6 euros.
La ligne suivante, par contre, a de quoi surprendre avec la mention supplément carburant : 17,80 euros ! Nous ne contestons pas l’existence même de ce supplément carburant, quoiqu’il est calculé pour un vol commandé en dernière minute et qu’avec mauvaise foi on pourrait croire qu’entre le 21 avril et le 24 avril, le prix du fuel a subitement flambé.
Par contre, pourquoi Bon Dieu, ne pas avoir directement déduit ce supplément de la réduction ? Cela aurait été plus simple pour le consommateur non ?
… Et ce n’est pas tout !
Ce forfait comprenait une assurance annulation. Comme toutes les assurances-annulation des TO, la couverture est disons des plus limitées. Et même pour un départ aussi rapproché, est-t-il vraiment indispensable d’imposer aux clients une telle assurance ?
Or à la demande du client de supprimer cette assurance, il a été répondu qu’elle était imposée par Jetair et que ce n’était pas possible de la supprimer. Et ce même, si le touriste souhaitait se couvrir lui-même contre l’annulation et en apporter la preuve.
En fait, avec l’obligation de souscrire indirectement l’assurance du TO, n’est-on pas face à une vente conjointe ?
Et pire, si l’on en croit Test Achats (le Que choisir belge), les assurances-annulation de la plupart des TO ne couvrent qu’imparfaitement les risques. Pour l’association de consommateurs, mieux vaut pour le touriste de souscrire lui-même une police couvrant de manière plus complète le voyage.
Dans sa brochure, Jetair proposait ce forfait de quatre nuits en demi-pension à 567 euros. Jusque-là tout est bien direz-vous. Mais comme il s’agissait d’une dernière minute, une réduction de 205,80 euros a été accordée.
Passons à l’analyse…
Pour se faire nous nous sommes basé sur le document même que Jetair donne via le BTN (BTN Web Applicatie).
On y lit en effet que le prix de base est de 567 euros auxquels se rajoutent 70,4 euros pour chambre individuelle (17,6 X 4). Soit toujours sur base du prix catalogue : 637,4 euros. Vient ensuite la réduction last minute de 205,80 euros. Ce qui donne le prix définitif de 431,6 euros.
La ligne suivante, par contre, a de quoi surprendre avec la mention supplément carburant : 17,80 euros ! Nous ne contestons pas l’existence même de ce supplément carburant, quoiqu’il est calculé pour un vol commandé en dernière minute et qu’avec mauvaise foi on pourrait croire qu’entre le 21 avril et le 24 avril, le prix du fuel a subitement flambé.
Par contre, pourquoi Bon Dieu, ne pas avoir directement déduit ce supplément de la réduction ? Cela aurait été plus simple pour le consommateur non ?
… Et ce n’est pas tout !
Ce forfait comprenait une assurance annulation. Comme toutes les assurances-annulation des TO, la couverture est disons des plus limitées. Et même pour un départ aussi rapproché, est-t-il vraiment indispensable d’imposer aux clients une telle assurance ?
Or à la demande du client de supprimer cette assurance, il a été répondu qu’elle était imposée par Jetair et que ce n’était pas possible de la supprimer. Et ce même, si le touriste souhaitait se couvrir lui-même contre l’annulation et en apporter la preuve.
En fait, avec l’obligation de souscrire indirectement l’assurance du TO, n’est-on pas face à une vente conjointe ?
Et pire, si l’on en croit Test Achats (le Que choisir belge), les assurances-annulation de la plupart des TO ne couvrent qu’imparfaitement les risques. Pour l’association de consommateurs, mieux vaut pour le touriste de souscrire lui-même une police couvrant de manière plus complète le voyage.