Des propositions de tarification seront présentées au conseil d’administration de l'APST en avril prochain afin que le solde de la cotisation 2021 puisse être appelé en juin - DR : DepositPhotos
C'est ce mercredi 10 mars 2021 que Cédric Dugardin, nouvellement nommé Chief Restructuring Officer de l’Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme (APST) a été présenté au conseil d’administration de l’association.
L'occasion également de faire le point sur les dossiers en cours. Notamment le paiement des cotisations pour 2021.
"Un premier acompte de cotisation, représentant 30% de la cotisation 2020 a d’ores et déjà été appelé et payé à près de 70%, indique l'APST dans un communiqué.
Un deuxième acompte identique au premier sera appelé en avril. Des propositions de tarification seront présentées au conseil d’administration en avril prochain afin que le solde de la cotisation 2021 puisse être appelé en juin".
LIRE AUSSI : APST : le 2e appel sur la cotisation prévu début avril 2021
L'occasion également de faire le point sur les dossiers en cours. Notamment le paiement des cotisations pour 2021.
"Un premier acompte de cotisation, représentant 30% de la cotisation 2020 a d’ores et déjà été appelé et payé à près de 70%, indique l'APST dans un communiqué.
Un deuxième acompte identique au premier sera appelé en avril. Des propositions de tarification seront présentées au conseil d’administration en avril prochain afin que le solde de la cotisation 2021 puisse être appelé en juin".
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"Tout risque de défaillance à court terme est écarté"
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Par ailleurs, l'APST fait savoir qu'environ 1 300 adhérents ont répondu au "questionnaire Covid" envoyé le 24 février dernier et qui doit permettre "d’obtenir une appréciation précise du risque porté par l’APST au titre des avoirs émis à ce jour.
Le Conseil remercie les répondants et presse les retardataires de répondre ; en effet le chiffrage de ce risque est critique tant pour l’Association que pour les Pouvoirs Publics".
Mais pour certains adhérents, cette communication pressant à répondre au plus vite est agressive.
"On nous demande de répondre sous dix jours, alors que ce questionnaire est envoyé en période de vacances scolaires et qu'une partie de nos équipes sont en chômage partiel, avec des services quasiment à l'arrêt... Et puis, il faut voir le ton sec et menaçant de la lettre que nous avons reçue pour nous demander d'y répondre et de payer les acomptes !".
Le conseil d'administration a également évoqué les prévisions de trésorerie à court terme de l’APST, qui, "telles que validées par un cabinet reconnu, montrent que l’Association est en mesure de faire face à ses charges courantes et aux sinistres connus avec ses ressources propres au moins pour toute l’année 2021, peut-on lire dans le communiqué.
Tout risque de défaillance à court terme de l’APST est ainsi écarté".
Le Conseil remercie les répondants et presse les retardataires de répondre ; en effet le chiffrage de ce risque est critique tant pour l’Association que pour les Pouvoirs Publics".
Mais pour certains adhérents, cette communication pressant à répondre au plus vite est agressive.
"On nous demande de répondre sous dix jours, alors que ce questionnaire est envoyé en période de vacances scolaires et qu'une partie de nos équipes sont en chômage partiel, avec des services quasiment à l'arrêt... Et puis, il faut voir le ton sec et menaçant de la lettre que nous avons reçue pour nous demander d'y répondre et de payer les acomptes !".
Le conseil d'administration a également évoqué les prévisions de trésorerie à court terme de l’APST, qui, "telles que validées par un cabinet reconnu, montrent que l’Association est en mesure de faire face à ses charges courantes et aux sinistres connus avec ses ressources propres au moins pour toute l’année 2021, peut-on lire dans le communiqué.
Tout risque de défaillance à court terme de l’APST est ainsi écarté".
Plus de 170 dossiers actuellement en attente
Au sujet de la suspension des nouvelles adhésions, "plus de 170 dossiers sont actuellement en attente", fait savoir l'APST, qui indique que ses équipes "procèdent actuellement à une revue de ces potentielles nouvelles adhésions afin de pouvoir, prochainement, accepter les dossiers n’engendrant pas une augmentation du risque porté par l’APST".
Le conseil d'administration a également entendu une synthèse des travaux réalisés par le Comité des Risques de l’association, portant sur "une revue des dossiers des 50 plus gros "risques" assurés par l’APST". Des risques en partie liés à un manque de contre-garanties solides, selon nos informations.
De son côté, Cédric Dugardin se pencherait actuellement sur les dossiers des 200 plus "gros" opérateurs - 50 "grands" et 150 "moyens" - pour faire diminuer ce "risque".
Enfin, lors de la séance, plusieurs élus ont demandé d’interpeler les pouvoirs publics sur "la mise en place d’une aide spécifique destinée à l’industrie du tourisme, comme cela a déjà été fait ou annoncé pour d’autres secteurs".
Mais aussi sur "le risque patrimonial encouru par des petits entrepreneurs qui ont donné des garanties personnelles au profit de l’APST, en cas de défaillance de leur entreprise liée à la crise sanitaire actuelle".
Le conseil d'administration a également entendu une synthèse des travaux réalisés par le Comité des Risques de l’association, portant sur "une revue des dossiers des 50 plus gros "risques" assurés par l’APST". Des risques en partie liés à un manque de contre-garanties solides, selon nos informations.
De son côté, Cédric Dugardin se pencherait actuellement sur les dossiers des 200 plus "gros" opérateurs - 50 "grands" et 150 "moyens" - pour faire diminuer ce "risque".
Enfin, lors de la séance, plusieurs élus ont demandé d’interpeler les pouvoirs publics sur "la mise en place d’une aide spécifique destinée à l’industrie du tourisme, comme cela a déjà été fait ou annoncé pour d’autres secteurs".
Mais aussi sur "le risque patrimonial encouru par des petits entrepreneurs qui ont donné des garanties personnelles au profit de l’APST, en cas de défaillance de leur entreprise liée à la crise sanitaire actuelle".