La crise, on la voit percer par tous les coins.
Au Portugal par exemple, le nombre de nuitées espagnoles a baissé de 10,4 %, soit tout de même 358 000 nuitées en moins, tandis que les nuitées italiennes ont « trébuché » de 5 %, soit 44000 de moins.
Quant au tourisme domestique, c’est encore pire, il recule de près d’un million de nuitées.
Et la tendance est grosso-modo identique pour l’archipel des Açores qui a perdu 14,4 % de ses nuitées domestiques et presque 10 % dans la clientèle anglaise.
Au total, heureusement, le nombre de nuitées internationales ne baisse que de 1,7 %, soit 9 000 de moins sur les 555 000 que la destination avait comptabilisées en 2011.
Un score plutôt réconfortant finalement, auquel a d’ailleurs contribué le marché français.
Au Portugal par exemple, le nombre de nuitées espagnoles a baissé de 10,4 %, soit tout de même 358 000 nuitées en moins, tandis que les nuitées italiennes ont « trébuché » de 5 %, soit 44000 de moins.
Quant au tourisme domestique, c’est encore pire, il recule de près d’un million de nuitées.
Et la tendance est grosso-modo identique pour l’archipel des Açores qui a perdu 14,4 % de ses nuitées domestiques et presque 10 % dans la clientèle anglaise.
Au total, heureusement, le nombre de nuitées internationales ne baisse que de 1,7 %, soit 9 000 de moins sur les 555 000 que la destination avait comptabilisées en 2011.
Un score plutôt réconfortant finalement, auquel a d’ailleurs contribué le marché français.
Les nuitées françaises en hausse de 20 %
La SATA a lancé son vol direct dans les salons de l’Ambassade du Portugal à Paris, en présence de Pedro Pauleta. - DR
Avec 20 848 nuitées, la France enregistre en effet une croissance de 20,9 %, pour 3 600 nuitées supplémentaires par rapport à 2011.
Ce petit boom nous permet de passer au 7ème rang de marchés émetteurs, de quoi dépasser les Canadiens et talonner les Anglais.
C’est dire l’importance que revêt pour l’archipel le vol direct hebdomadaire que la SATA a lancé dans les salons de l’Ambassade du Portugal à Paris, en présence de Pedro Pauleta, ex joueur star du PSG qui jouait justement ce soir-là contre le FC Barcelone.
Opéré sur un A 320-200 de 165 sièges, le vol partira tous les vendredi, entre le 19 avril et le 4 octobre prochain, pour relier Roissy à Ponta Delgada, l’aéroport international de Sao Miguel, l’île principale du pays.
Compte tenu du décalage, les horaires sont plutôt bien conçus. Depuis Paris, on part à 15h mais on arrive à 17h10, gardant ainsi la possibilité de passer à son arrivée une vraie soirée de vacances.
Pour le retour, le vol prévu le matin laisse au contraire tout le loisir nécessaire à ceux qui doivent prendre des correspondances pour rejoindre la province.
« Nous espérons que cela va encourager les Français à venir découvrir notre archipel. » explique-t-on chez APG, le bureau de représentation commerciale de la SATA.
Destination nature exceptionnelle, douée d’un climat plutôt agréable toute l’année, les Açores ont effectivement des atouts pour plaire au marché français.
Ce petit boom nous permet de passer au 7ème rang de marchés émetteurs, de quoi dépasser les Canadiens et talonner les Anglais.
C’est dire l’importance que revêt pour l’archipel le vol direct hebdomadaire que la SATA a lancé dans les salons de l’Ambassade du Portugal à Paris, en présence de Pedro Pauleta, ex joueur star du PSG qui jouait justement ce soir-là contre le FC Barcelone.
Opéré sur un A 320-200 de 165 sièges, le vol partira tous les vendredi, entre le 19 avril et le 4 octobre prochain, pour relier Roissy à Ponta Delgada, l’aéroport international de Sao Miguel, l’île principale du pays.
Compte tenu du décalage, les horaires sont plutôt bien conçus. Depuis Paris, on part à 15h mais on arrive à 17h10, gardant ainsi la possibilité de passer à son arrivée une vraie soirée de vacances.
Pour le retour, le vol prévu le matin laisse au contraire tout le loisir nécessaire à ceux qui doivent prendre des correspondances pour rejoindre la province.
« Nous espérons que cela va encourager les Français à venir découvrir notre archipel. » explique-t-on chez APG, le bureau de représentation commerciale de la SATA.
Destination nature exceptionnelle, douée d’un climat plutôt agréable toute l’année, les Açores ont effectivement des atouts pour plaire au marché français.
Bien être, nature, mer et gastronomie : de quoi plaire au marché français
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D’abord le bien-être, avec un thermalisme naturel unique au monde. Ensuite, la nature, avec des « exotismes » inattendus, comme la culture du thé ou des ananas, et les lacs ou les grottes spectaculaires d’origine volcanique.
Enfin, le combiné mer/terre qui cumule les activités en tous genres, du VTT à la pêche au gros en passant par l’observation des baleines, l’un des sites les plus riches au monde, avec 27 sortes de cétacés.
Si l’on ajoute à cela les 10 274 chambres disponibles et les 3 centres de congrès, c’est dire la largeur d’un panel qui peut répondre aussi bien à la demande loisir qu’à celle du MICE.
Et puis enfin, la culture. Cela va de la gastronomie jusqu’à l’architecture locale, du patrimoine archéologique et historique jusqu’aux spécificités locales, comme les haies d’hortensias qui séparent les cultures parfois sur des kilomètres de long.
Tout ça à 4 h de vol de Paris ! Avec de l’euro et une sécurité « normale ».
Les Açores ? Une destination d’avenir ? Et pourquoi pas.
Enfin, le combiné mer/terre qui cumule les activités en tous genres, du VTT à la pêche au gros en passant par l’observation des baleines, l’un des sites les plus riches au monde, avec 27 sortes de cétacés.
Si l’on ajoute à cela les 10 274 chambres disponibles et les 3 centres de congrès, c’est dire la largeur d’un panel qui peut répondre aussi bien à la demande loisir qu’à celle du MICE.
Et puis enfin, la culture. Cela va de la gastronomie jusqu’à l’architecture locale, du patrimoine archéologique et historique jusqu’aux spécificités locales, comme les haies d’hortensias qui séparent les cultures parfois sur des kilomètres de long.
Tout ça à 4 h de vol de Paris ! Avec de l’euro et une sécurité « normale ».
Les Açores ? Une destination d’avenir ? Et pourquoi pas.