Autres articles
-
Air France - KLM : la Taxe Chirac va impacter de 90 à 170M€ le résultat d’exploitation
-
Air France : quelles sont les économies réalisées avec NDC ?
-
Air France et KLM : la surcharge GDS passera à 3€ en janvier
-
Emirates répercute à son tour la taxe de solidarité sans attendre le vote
-
Air France suspend le survol de la Mer Rouge jusqu'à nouvel ordre
Malgré le nouveau modèle économique adopté depuis le 1er avril 2005, les parts de marché dans les agences de voyages sont restées identiques, selon Frédéric Allory, responsable Air France des ventes Réseaux, qui intervenait vendredi lors des tables rondes des « Journées des Dirigeants » Manor à Vienne.
Pourtant, les choses ne sont pas si simples. Si en effet, la répartition 75% agences et 25% autres canaux n’a pas connu un bouleversement notable, la part de la Distribution traditionnelle a imperceptiblement glissé vers les acteurs du voyage en ligne.
Le phénomène est identique pour AF et ses agences. « Nous sommes sur le point d’en fermer 3, rappelle Frédéric Allory qui met en exergue que les ventes en ligne représentent désormais 5 à 6% du chiffre d’affaires de la compagnie contre seulement 1% il y a 3 ans... »
Il souligne aussi qu’après un « boom » et des croissances spectaculaires, les agences en ligne reviennent à des augmentations plus « raisonnables ». Ce que l’on peut en déduire c’est que la part qui échappe désormais aux acteurs « mortar », est passée aux agences en ligne. Mais compte tenu que cela concerne surtout de la billetterie basse contribution est-ce forcément une mauvaise chose ?
Pourtant, les choses ne sont pas si simples. Si en effet, la répartition 75% agences et 25% autres canaux n’a pas connu un bouleversement notable, la part de la Distribution traditionnelle a imperceptiblement glissé vers les acteurs du voyage en ligne.
Le phénomène est identique pour AF et ses agences. « Nous sommes sur le point d’en fermer 3, rappelle Frédéric Allory qui met en exergue que les ventes en ligne représentent désormais 5 à 6% du chiffre d’affaires de la compagnie contre seulement 1% il y a 3 ans... »
Il souligne aussi qu’après un « boom » et des croissances spectaculaires, les agences en ligne reviennent à des augmentations plus « raisonnables ». Ce que l’on peut en déduire c’est que la part qui échappe désormais aux acteurs « mortar », est passée aux agences en ligne. Mais compte tenu que cela concerne surtout de la billetterie basse contribution est-ce forcément une mauvaise chose ?