L’appareil, baptisé Fakarava en référence à l'archipel des Tuamotu, est configuré en tri-classe et renouvelle du tout au tout l’expérience client © ATN
A compter de ce jeudi 28 mars 2019, la nouvelle Air Tahiti Nui se pose à Paris.
Après 20 ans de bons et loyaux services, l’A340 qui effectuait les liaisons entre Paris et la Polynésie, via Los Angeles, prend sa retraite.
Pour le remplacer : un Boeing 787-900, surnommé Tahitian Dreamliner, et présenté au monde du tourisme lors d’un vol inaugural au-dessus de la France, mardi 26 mars.
Après 20 ans de bons et loyaux services, l’A340 qui effectuait les liaisons entre Paris et la Polynésie, via Los Angeles, prend sa retraite.
Pour le remplacer : un Boeing 787-900, surnommé Tahitian Dreamliner, et présenté au monde du tourisme lors d’un vol inaugural au-dessus de la France, mardi 26 mars.
Configuration en tri-classe
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Ces avions, piliers de la stratégie de renouveau de la compagnie tahitienne, bénéficient d’une peinture colorée et tatouée à l’image de la compagnie au tiaré, qui a reçu il y a quelques mois le titre de « plus belle nouvelle livrée » par le site spécialisé TheDesignAir.
L’appareil, baptisé Fakarava en référence à l'archipel des Tuamotu, est configuré en tri-classe et renouvelle du tout au tout l’expérience client.
A l’avant, la « poerava business » intègre 30 sièges Rockwell Collins full flat de 2 mètres de long, dans une cabine organisée en 2-2-2. Une classe premium economy, baptisée « Moana » fait également son apparition, proposant 32 sièges configurés en 7 de front (2-3-2).
A l’arrière, la classe économie compte 232 sièges en 3-3-3 avec 79 cm d’espace entre les rangées. « L’assise articulée du Zodiac Z 300 en fait l’un des meilleurs sièges de nouvelle génération, spécialement conçu pour les voyages long-courriers », précise un communiqué.
Il s’agit du deuxième dreamliner reçu par Air Tahiti Nui sur les quatre commandés. Si les deux premiers sont en leasing, les deux suivants, qui doivent arriver en mai puis en août 2019, ont été achetés en propre.
L’appareil, baptisé Fakarava en référence à l'archipel des Tuamotu, est configuré en tri-classe et renouvelle du tout au tout l’expérience client.
A l’avant, la « poerava business » intègre 30 sièges Rockwell Collins full flat de 2 mètres de long, dans une cabine organisée en 2-2-2. Une classe premium economy, baptisée « Moana » fait également son apparition, proposant 32 sièges configurés en 7 de front (2-3-2).
A l’arrière, la classe économie compte 232 sièges en 3-3-3 avec 79 cm d’espace entre les rangées. « L’assise articulée du Zodiac Z 300 en fait l’un des meilleurs sièges de nouvelle génération, spécialement conçu pour les voyages long-courriers », précise un communiqué.
Il s’agit du deuxième dreamliner reçu par Air Tahiti Nui sur les quatre commandés. Si les deux premiers sont en leasing, les deux suivants, qui doivent arriver en mai puis en août 2019, ont été achetés en propre.
Défiscalisation : une réponse imminente
Pour ces deux derniers, la compagnie a déposé l’an dernier une demande de défiscalisation auprès du ministère de l’Economie et des finances.
La démarche consiste à obtenir un agrément de la part de ce dernier pour obtenir une aide fiscale qui pourrait s’élever à près de 100 millions d’euros sur les 251 millions investis au total.
Attendue depuis plusieurs mois, la réponse de Bercy serait imminente, une question de jours, d’après des sources internes.
« Nous sommes satisfaits de nos derniers échanges avec le Ministère », explique Mathieu Bechonnet, directeur général. « Ils ont été très positifs, cela va dans le bon sens. Nous sommes peut-être un peu naïfs, mais aussi confiants ».
Née en 1998, Air Tahiti Nui a vu, en mai 2018, l’arrivée de la concurrence de French Bee sur les liaisons vers la France.
Lire aussi : B787-Dreamliner : Air Tahiti Nui poursuit sa mue
Lire aussi : Polynésie : encore du neuf dans le ciel tahitien, avec l'arrivée de United Airlines
Lire aussi : Paris-Tahiti : j'ai testé pour vous le « low cost très long courrier » de French Bee
La démarche consiste à obtenir un agrément de la part de ce dernier pour obtenir une aide fiscale qui pourrait s’élever à près de 100 millions d’euros sur les 251 millions investis au total.
Attendue depuis plusieurs mois, la réponse de Bercy serait imminente, une question de jours, d’après des sources internes.
« Nous sommes satisfaits de nos derniers échanges avec le Ministère », explique Mathieu Bechonnet, directeur général. « Ils ont été très positifs, cela va dans le bon sens. Nous sommes peut-être un peu naïfs, mais aussi confiants ».
Née en 1998, Air Tahiti Nui a vu, en mai 2018, l’arrivée de la concurrence de French Bee sur les liaisons vers la France.
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