Stefan Pichler estime qu'Airberlin redeviendra rentable à partir du printemps 2016 - Photo Ariberlin
La veille de l'ouverture de l'ITB à Berlin (Allemagne), Stefan Pichler, nouveau Président du Directoire d'Airberlin a présenté son plan d'action pour redresser les comptes de la compagnie aérienne.
Il a ainsi expliqué vouloir mieux s'adapter aux besoins de ses clients et capitaliser sur les compétences, l'expérience et la motivation de son personnel.
Le patron du transporteur propose un plan en 3 phases pour 2015 et 2016. Il va commencer par mettre en place une nouvelle équipe de management d'ici les 6 prochains mois.
Ensuite, d'ici fin mars 2016, la deuxième étape consistera en l'adaptation des capacités selon la rentabilité de chaque destination et aboutira donc à une nouvelle segmentation du marché de la compagnie.
A l'issue de ces deux premières phases, au printemps 2016, la société aura retrouvé sa rentabilité, estime Stefan Pichler. Ce qui permettra de lancer la dernière phase : le début de l'augmentation de la présence d'Airberlin en Europe.
La compagnie totalise 31,7 millions de passagers en 2014. Elle a bouclé l'exercice avec des pertes frôlant les 300 millions d'euros.
Il a ainsi expliqué vouloir mieux s'adapter aux besoins de ses clients et capitaliser sur les compétences, l'expérience et la motivation de son personnel.
Le patron du transporteur propose un plan en 3 phases pour 2015 et 2016. Il va commencer par mettre en place une nouvelle équipe de management d'ici les 6 prochains mois.
Ensuite, d'ici fin mars 2016, la deuxième étape consistera en l'adaptation des capacités selon la rentabilité de chaque destination et aboutira donc à une nouvelle segmentation du marché de la compagnie.
A l'issue de ces deux premières phases, au printemps 2016, la société aura retrouvé sa rentabilité, estime Stefan Pichler. Ce qui permettra de lancer la dernière phase : le début de l'augmentation de la présence d'Airberlin en Europe.
La compagnie totalise 31,7 millions de passagers en 2014. Elle a bouclé l'exercice avec des pertes frôlant les 300 millions d'euros.