Après Londres, Amsterdam ou Paris, c'est le tour de Bordeaux de surveiller plus étroitement les plateformes de locations d'hébergement de particulier.
Airbnb est particulièrement visés mais d'autres, comme Abritel ou HomeAway sont concernées.
Dès aujourd'hui 1er mars 2018, les personnes souhaitant louer leur appartement ou maison à Bordeaux, qu'il s'agisse d'une habitation ou d'une résidence secondaire, devront obligatoirement s'enregistrer auprès de la mairie. Il ne pourront pas dépasser 120 jours de location / an. Au delà de ce délais, ils seront dans l'obligation de changer le statut de la résidence.
A Paris cependant, le Figaro notait en décembre dernier, peu de temps après l'arrivée des mêmes obligations, que faute de sanction, la démarche s’avérait inutile : seuls 11 000 personnes sur les 100 000 logements parisiens enregistrés sur les plateformes d'hébergements s'était déclarée auprès de la Mairie. La ville en appelle au gouvernement.
Il semble que les mairies et les professionnels de l'hébergement aient été entendu. Invité des "4 vérités" ce matin sur France 2, le secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires Julien Denormandie a annoncé que le gouvernement souhaitait durcir les sanctions financières contre les logements illégaux (non déclarés au fisc).
Airbnb est particulièrement visés mais d'autres, comme Abritel ou HomeAway sont concernées.
Dès aujourd'hui 1er mars 2018, les personnes souhaitant louer leur appartement ou maison à Bordeaux, qu'il s'agisse d'une habitation ou d'une résidence secondaire, devront obligatoirement s'enregistrer auprès de la mairie. Il ne pourront pas dépasser 120 jours de location / an. Au delà de ce délais, ils seront dans l'obligation de changer le statut de la résidence.
A Paris cependant, le Figaro notait en décembre dernier, peu de temps après l'arrivée des mêmes obligations, que faute de sanction, la démarche s’avérait inutile : seuls 11 000 personnes sur les 100 000 logements parisiens enregistrés sur les plateformes d'hébergements s'était déclarée auprès de la Mairie. La ville en appelle au gouvernement.
Il semble que les mairies et les professionnels de l'hébergement aient été entendu. Invité des "4 vérités" ce matin sur France 2, le secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires Julien Denormandie a annoncé que le gouvernement souhaitait durcir les sanctions financières contre les logements illégaux (non déclarés au fisc).
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