Sans surprise, les attaques du 13 novembre dernier ont gravement affecté les voyages à Paris.
Selon une étude de l’organisme ForwardKeys, qui analyse les données de près de 200 000 agences de voyages physiques et en ligne, les premiers à réagir ont été les hommes d’affaires, annulant massivement leur venue juste après les attaques.
La COP 21 est également impactée.
Au total, le nombre d’annulations entre le 14 et le 21 novembre a progressé de 21% comparé à la même période l’an passé.
Les nationalités les plus frileuses sont les Américains, les Chinois, les Espagnols et les Italiens.
Ces attaques affectent également les nouvelles réservations, qui affichent un recul de 27% par rapport à l’an passé, surtout sur le marché loisirs.
Selon une étude de l’organisme ForwardKeys, qui analyse les données de près de 200 000 agences de voyages physiques et en ligne, les premiers à réagir ont été les hommes d’affaires, annulant massivement leur venue juste après les attaques.
La COP 21 est également impactée.
Au total, le nombre d’annulations entre le 14 et le 21 novembre a progressé de 21% comparé à la même période l’an passé.
Les nationalités les plus frileuses sont les Américains, les Chinois, les Espagnols et les Italiens.
Ces attaques affectent également les nouvelles réservations, qui affichent un recul de 27% par rapport à l’an passé, surtout sur le marché loisirs.
De bien mauvaises nouvelles pour le tourisme parisien...
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Et les prévisions pour Noël ne sont pas meilleures, avec un retard de 13% par rapport à la même période l’an passé.
Cette chute n'était que de 2% juste avant les attentats.
Ce sont surtout les Brésiliens qui hésitent à passer les fêtes de fin d'année sous la Tour Eiffel (- 42%), suivis des Australiens (-33%) et des Anglais (-20%).
"A moins d'un hypothétique rattrapage, nous allons souffrir, car tous les voyageurs qui ne réservent pas, sont perdus", remarque Olivier Jager, le PDG de ForwardKeys.
Ces tendances correspondent à celles remarquées par les hôteliers, dont les taux d'occupation ont dramatiquement chuté au lendemain des attaques.
De bien mauvaises nouvelles pour le tourisme parisien, alors que la capitale s'attendait à battre un record en 2015.
Sur le premier semestre de l'année, la ville avait séduit 15,9 millions de voyageurs en hausse de 1,6%.
Cette chute n'était que de 2% juste avant les attentats.
Ce sont surtout les Brésiliens qui hésitent à passer les fêtes de fin d'année sous la Tour Eiffel (- 42%), suivis des Australiens (-33%) et des Anglais (-20%).
"A moins d'un hypothétique rattrapage, nous allons souffrir, car tous les voyageurs qui ne réservent pas, sont perdus", remarque Olivier Jager, le PDG de ForwardKeys.
Ces tendances correspondent à celles remarquées par les hôteliers, dont les taux d'occupation ont dramatiquement chuté au lendemain des attaques.
De bien mauvaises nouvelles pour le tourisme parisien, alors que la capitale s'attendait à battre un record en 2015.
Sur le premier semestre de l'année, la ville avait séduit 15,9 millions de voyageurs en hausse de 1,6%.