Avec un chiffre d’affaires en 2002 de 60,6 millions EUR en croissance de 15,4 %, VLM a réalisé, l’an passé, un (très) petit bénéfice net de 465,00 EUR. Comparé à 2001, où le bénéfice atteignait 1,4 million EUR, cela peut paraître ridicule. Mais il est vrai que les résultats de 2001 résultaient de revenus exceptionnels, atteignant près de 1,1 million EUR.
Si l’on se penche sur le bénéfice d’exploitation, force est de constater que celui-ci à atteint 1,3 millions EUR en 2002 soit un accroissement de 4 %. Pour Johan Vanneste, managing director : « En dépit d’un climat économique difficile et d’une récession mondiale dans l’industrie du aéronautique, VLM est parvenu à réaliser des bénéfices pour la cinquième année consécutive.
L’entreprise a donc su se positionner comme un expert de l’aéronautique d’affaires dans un secteur hautement concurrentiel, offrant un produit de grande qualité ainsi qu’un haut niveau de service apprécié par un nombre croissant de clients ».
Politique commerciale et gestion très pointue
Ce résultat est d’autant plus remarquable que VLM contrairement à d’autres compagnies ne bénéficie d’aucuns subsides directs ou indirects ni pour ses frais de fonctionnement, ni pour ses publicités, ni pour les conditions aéroportuaires.
En réalité, le secret de cette compagnie tient à une politique commerciale et de gestion très pointue : n’opérer que sur des routes délaissées par les grandes compagnies comme Anvers / London-City, n’opérer qu’avec qu’une flotte homogène et des avions avec une capacité limitée (des Fokker 50) et surtout offrir des services qualitatifs intéressants (pe. : check inn en 30 minutes).
Michel Ghesquière à Bruxelles - 1er septembre 2003
michel.ghesquiere@euronet.be
Si l’on se penche sur le bénéfice d’exploitation, force est de constater que celui-ci à atteint 1,3 millions EUR en 2002 soit un accroissement de 4 %. Pour Johan Vanneste, managing director : « En dépit d’un climat économique difficile et d’une récession mondiale dans l’industrie du aéronautique, VLM est parvenu à réaliser des bénéfices pour la cinquième année consécutive.
L’entreprise a donc su se positionner comme un expert de l’aéronautique d’affaires dans un secteur hautement concurrentiel, offrant un produit de grande qualité ainsi qu’un haut niveau de service apprécié par un nombre croissant de clients ».
Politique commerciale et gestion très pointue
Ce résultat est d’autant plus remarquable que VLM contrairement à d’autres compagnies ne bénéficie d’aucuns subsides directs ou indirects ni pour ses frais de fonctionnement, ni pour ses publicités, ni pour les conditions aéroportuaires.
En réalité, le secret de cette compagnie tient à une politique commerciale et de gestion très pointue : n’opérer que sur des routes délaissées par les grandes compagnies comme Anvers / London-City, n’opérer qu’avec qu’une flotte homogène et des avions avec une capacité limitée (des Fokker 50) et surtout offrir des services qualitatifs intéressants (pe. : check inn en 30 minutes).
Michel Ghesquière à Bruxelles - 1er septembre 2003
michel.ghesquiere@euronet.be