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Best Western fonctionne sous forme de coopérative dans la plupart des pays affiliés. « La chaîne n’existe que par la volonté commune de ses adhérents actionnaires qui sont seuls bénéficiaires des activités qu’elle développe. »
Les adhérents sont des hôtels 3 ou 4* avec ou sans restaurant, d’une capacité minimale de 20 chambres et situés en centre ville ou dans une destination touristique.
Des membres à la fois indépendants et associés
Réunis autour d’une marque commune tout en gardant leur spécificité, les hôteliers adhérents restent indépendants dans la gestion de leur hôtel, mais ont accès à un ensemble de services communs : centralisation des commandes, conseil, assistance comptable et juridique, formation, mise à disposition d’enseignes et de concepts de vente, etc.
« A la différence d’une franchise classique, chaque adhérent peut participer à la gestion du groupe, s’impliquer voire se présenter au conseil d’administration », commente Gérard Claudel, propriétaire du Best Western La Fayette à Epinal.
Comme dans toutes les coopératives, la détention du pouvoir répond à la règle « un homme = une voix ». Autre avantage : un coût d’affiliation de 2 à 5 fois inférieur à une chaîne intégrée, pour une même qualité de services.
Les adhérents bénéficient notamment de la performance de la centrale de réservation en nette progression : + 11% via la centrale d’appels, + 17,3% via GDS et plus 26,5% via le site www.bestwestern.fr.
De multiples avantages… assortis d’obligations
Les cotisations sont calculées par rapport au nombre de chambres. Elles varient selon la zone géographique : de 220 € /chambre/an en province à 550 € à Paris. L’adhérent, qui signe un contrat de souscription d’une durée minimale de 3 ans, doit respecter un préavis de 21 mois s’il souhaite quitter la chaîne.
« Notre concept, c’est de ne pas avoir de concept. Tous nos hôtels sont différents, mais le client doit y retrouver le même niveau de services », précise Stéphane Cremel, Directeur Services Réseau.
Best Western est en effet la seule chaîne hôtelière au monde à appliquer le même programme de qualité dans l’intégralité de ses 4 200 hôtels. Des audits y sont effectués chaque année et portent sur 300 points de contrôle.
Chaque pays a un score minimum à réaliser sous peine de se voir sanctionner : en 2006, Best Western a accueilli 26 nouveaux adhérents, mais en a exclu 9 en raison d’un non respect des normes de qualité. « Nous voulons niveler le parc vers le haut », confirme Stéphane Cremel.
La campagne d’affichage en cours dans les aéroports et les gares de 15 villes et les différents campagnes web devraient renforcer une notoriété en constante progression : + 56% en 2006, contre 52% en 2005.
site web : www.bestwestern.fr
Les adhérents sont des hôtels 3 ou 4* avec ou sans restaurant, d’une capacité minimale de 20 chambres et situés en centre ville ou dans une destination touristique.
Des membres à la fois indépendants et associés
Réunis autour d’une marque commune tout en gardant leur spécificité, les hôteliers adhérents restent indépendants dans la gestion de leur hôtel, mais ont accès à un ensemble de services communs : centralisation des commandes, conseil, assistance comptable et juridique, formation, mise à disposition d’enseignes et de concepts de vente, etc.
« A la différence d’une franchise classique, chaque adhérent peut participer à la gestion du groupe, s’impliquer voire se présenter au conseil d’administration », commente Gérard Claudel, propriétaire du Best Western La Fayette à Epinal.
Comme dans toutes les coopératives, la détention du pouvoir répond à la règle « un homme = une voix ». Autre avantage : un coût d’affiliation de 2 à 5 fois inférieur à une chaîne intégrée, pour une même qualité de services.
Les adhérents bénéficient notamment de la performance de la centrale de réservation en nette progression : + 11% via la centrale d’appels, + 17,3% via GDS et plus 26,5% via le site www.bestwestern.fr.
De multiples avantages… assortis d’obligations
Les cotisations sont calculées par rapport au nombre de chambres. Elles varient selon la zone géographique : de 220 € /chambre/an en province à 550 € à Paris. L’adhérent, qui signe un contrat de souscription d’une durée minimale de 3 ans, doit respecter un préavis de 21 mois s’il souhaite quitter la chaîne.
« Notre concept, c’est de ne pas avoir de concept. Tous nos hôtels sont différents, mais le client doit y retrouver le même niveau de services », précise Stéphane Cremel, Directeur Services Réseau.
Best Western est en effet la seule chaîne hôtelière au monde à appliquer le même programme de qualité dans l’intégralité de ses 4 200 hôtels. Des audits y sont effectués chaque année et portent sur 300 points de contrôle.
Chaque pays a un score minimum à réaliser sous peine de se voir sanctionner : en 2006, Best Western a accueilli 26 nouveaux adhérents, mais en a exclu 9 en raison d’un non respect des normes de qualité. « Nous voulons niveler le parc vers le haut », confirme Stéphane Cremel.
La campagne d’affichage en cours dans les aéroports et les gares de 15 villes et les différents campagnes web devraient renforcer une notoriété en constante progression : + 56% en 2006, contre 52% en 2005.
site web : www.bestwestern.fr