« Nous nous sommes séparés de Boiloris parce qu'il n'apportait rien au réseau Manor, ni dans les résultats de la billetterie, ni en expertise. En matière de tourisme il agissait en direct en négociant pour son propre réseau avec les tour-opérateurs.
Boiloris attendait tous les avantages d'un réseau comme le nôtre et nous, nous pensions qu'il allait générer un chiffre d'affaires significatif. Nous nous sommes trompés. En réalité nous n'avions rien à attendre de lui » déclare aujourd'hui Jean Korcia.
Le président du réseau Manor reprend presque mot pour mot les termes employés par Richard Vainopoulos au moment du départ de Boiloris du réseau Tourcom qu'il préside. Ce n'est pas si vieux : décembre 2006. « Il ne jouait pas le jeu du réseau » en ajoutant cette petite précision : « Je lui avais demandé de partir ».
Dans un passé encore plus lointain Boiloris avait adhéré au réseau Afat... Mais à propos de Manor, où le bât a-t-il vraiment blessé ? Selon Jean Korcia, Didier Munin, PDG de Boiloris voulait prendre la main sur les vingt enseignes Jet tours qui adhèrent à Manor et les cumuler avec ses propres 18 enseignes au couleurs du TO.
« Il voulait être notre porte-parole et représenter ses enseignes et les nôtres afin d'avoir plus de poids auprès de Jet tours. Nous n'étions pas d'accord. Nous adhérons à l'association qui regroupe toutes les enseignes Jet tours à travers la France et cela nous va très bien. Nous n'avons pas besoin de lui. Nous avons refusé ».
Jean Korcia de son côté avait demandé au président de Boiloris d'intégrer son activité tourisme dans les négociations du réseau Manor. Il avait refusé, préférant toujours négocier lui-même.
Aujourd'hui Jean Korcia ne semble pas du tout regretter le départ de ce mini-réseau sur lequel il avait fondé quelque espoir. Seize mois de partenariat ne laisseront pas beaucoup de traces : « Boiloris n'a jamais participé à nos réunions. Elle était la seule agence à ne être représentée à notre workshop annuel. » constate encore Jean Korcia.
Nous avons joint Didier Munin au téléphone afin d'avoir sa version des faits, mais il n'a pas souhaité s'exprimer sur ce départ.
Boiloris attendait tous les avantages d'un réseau comme le nôtre et nous, nous pensions qu'il allait générer un chiffre d'affaires significatif. Nous nous sommes trompés. En réalité nous n'avions rien à attendre de lui » déclare aujourd'hui Jean Korcia.
Le président du réseau Manor reprend presque mot pour mot les termes employés par Richard Vainopoulos au moment du départ de Boiloris du réseau Tourcom qu'il préside. Ce n'est pas si vieux : décembre 2006. « Il ne jouait pas le jeu du réseau » en ajoutant cette petite précision : « Je lui avais demandé de partir ».
Dans un passé encore plus lointain Boiloris avait adhéré au réseau Afat... Mais à propos de Manor, où le bât a-t-il vraiment blessé ? Selon Jean Korcia, Didier Munin, PDG de Boiloris voulait prendre la main sur les vingt enseignes Jet tours qui adhèrent à Manor et les cumuler avec ses propres 18 enseignes au couleurs du TO.
« Il voulait être notre porte-parole et représenter ses enseignes et les nôtres afin d'avoir plus de poids auprès de Jet tours. Nous n'étions pas d'accord. Nous adhérons à l'association qui regroupe toutes les enseignes Jet tours à travers la France et cela nous va très bien. Nous n'avons pas besoin de lui. Nous avons refusé ».
Jean Korcia de son côté avait demandé au président de Boiloris d'intégrer son activité tourisme dans les négociations du réseau Manor. Il avait refusé, préférant toujours négocier lui-même.
Aujourd'hui Jean Korcia ne semble pas du tout regretter le départ de ce mini-réseau sur lequel il avait fondé quelque espoir. Seize mois de partenariat ne laisseront pas beaucoup de traces : « Boiloris n'a jamais participé à nos réunions. Elle était la seule agence à ne être représentée à notre workshop annuel. » constate encore Jean Korcia.
Nous avons joint Didier Munin au téléphone afin d'avoir sa version des faits, mais il n'a pas souhaité s'exprimer sur ce départ.
Boiloris pourrait aller chez Afat Voyages
Didier Munin, PDG du mini réseau Boiloris ne souhaite pas s'exprimer sur les raisons pour lesquelles il s'est séparé de Manor. Il est, comme le soulignait la semaine dernière notre confrère l'Echo Touristique, en phase de réflexion sur l'évolution du métier et des technologies futures. Son souhait : engager un partenariat avec un réseau plus en phase avec ses réflexions.
AFAT est notamment sur les rangs, un réseau avec qui Boiloris avait fait quelques pas à ses débuts. « A l'époque, AFAT refusait toute politique d'enseigne alors que nous développions une politique de partenariat avec Fram et Jet tours » explique Didier Munin. Depuis les critères d'adhésion au réseau AFAT se sont assouplis. Le dialogue peut reprendre.
Boiloris est un réseau de 31 points de ventes dont 18 enseignes Jet tours (17 à Paris) et 9 Embassades Fram.
AFAT est notamment sur les rangs, un réseau avec qui Boiloris avait fait quelques pas à ses débuts. « A l'époque, AFAT refusait toute politique d'enseigne alors que nous développions une politique de partenariat avec Fram et Jet tours » explique Didier Munin. Depuis les critères d'adhésion au réseau AFAT se sont assouplis. Le dialogue peut reprendre.
Boiloris est un réseau de 31 points de ventes dont 18 enseignes Jet tours (17 à Paris) et 9 Embassades Fram.
