DR : Emile LUIDER, LA COMPANY pour Aéroports de Paris
Son envie ? Retrouver un poste dans l’aérien.
« J’ai travaillé en 2012 pour Plein Vent où j’ai appris beaucoup, et après une formation Amadeus, j’ai été embauchée par une agence de voyage de Nice. Mais je reste attachée au travail en aéroport. »
Pendant plusieurs années en effet, avant ses expériences en tourisme classique, Nadia a travaillé pour TunisAir, à Nice, à Londres et à Tunis/Carthage.
Elle y a tout fait, ou presque : exploitation, commercialisation, fret, administration, mais ce qu’elle a préféré, incontestablement, ce sont les relations clientèle.
« J’ai eu la chance, si l’on peut dire, d’être en poste à Tunis pendant les événements de 2011. Il a fallu tout gérer au pied levé et trouver des solutions en urgence, dépanner les passagers, dénicher des transits improvisés, trouver des hébergements, rassurer les gens, rester conviviale malgré les difficultés. C’était passionnant. »
« J’ai travaillé en 2012 pour Plein Vent où j’ai appris beaucoup, et après une formation Amadeus, j’ai été embauchée par une agence de voyage de Nice. Mais je reste attachée au travail en aéroport. »
Pendant plusieurs années en effet, avant ses expériences en tourisme classique, Nadia a travaillé pour TunisAir, à Nice, à Londres et à Tunis/Carthage.
Elle y a tout fait, ou presque : exploitation, commercialisation, fret, administration, mais ce qu’elle a préféré, incontestablement, ce sont les relations clientèle.
« J’ai eu la chance, si l’on peut dire, d’être en poste à Tunis pendant les événements de 2011. Il a fallu tout gérer au pied levé et trouver des solutions en urgence, dépanner les passagers, dénicher des transits improvisés, trouver des hébergements, rassurer les gens, rester conviviale malgré les difficultés. C’était passionnant. »
Voilà ce qui plaît à la jeune femme : proposez-lui des difficultés, elle s’y attaquera avec son grand sourire. Comme elle courait derrière le ballon quand elle était footballeuse, comme elle se lance régulièrement dans de grandes randonnées en montagne, seule ou en groupes.
« J’adore travailler en équipe. Je suis une fonceuse, parfois un peu trop me dit-on, mais ce ne doit pas être trop grave car j’ai gardé d’excellentes relations avec tous les gens avec qui j’ai travaillé. Je passe souvent dans les bureaux de Plein Vent pour dire bonjour par exemple. »
Têtue et persévérante, Nadia a réussi tous les examens qu’on lui avait prédits hors de portée pour elle. « Plus on me dit que ce n’est pas possible, plus j’ai envie d’essayer. Et ça marche ! »
Elle enchaîne toujours les formations complémentaires, « pour ne pas rester inoccupée » dit-elle. « En ce moment, je perfectionne mon anglais », sa troisième langue avec le français, l’arabe et un peu d’italien.
Un tempérament, une présence, qu’il nous semble bien dommage de ne pas mettre à l’épreuve du feu !
Sur un tarmac ou en escale, du moment qu’elle puisse voir des avions par la fenêtre.
« J’adore travailler en équipe. Je suis une fonceuse, parfois un peu trop me dit-on, mais ce ne doit pas être trop grave car j’ai gardé d’excellentes relations avec tous les gens avec qui j’ai travaillé. Je passe souvent dans les bureaux de Plein Vent pour dire bonjour par exemple. »
Têtue et persévérante, Nadia a réussi tous les examens qu’on lui avait prédits hors de portée pour elle. « Plus on me dit que ce n’est pas possible, plus j’ai envie d’essayer. Et ça marche ! »
Elle enchaîne toujours les formations complémentaires, « pour ne pas rester inoccupée » dit-elle. « En ce moment, je perfectionne mon anglais », sa troisième langue avec le français, l’arabe et un peu d’italien.
Un tempérament, une présence, qu’il nous semble bien dommage de ne pas mettre à l’épreuve du feu !
Sur un tarmac ou en escale, du moment qu’elle puisse voir des avions par la fenêtre.