« Il y a eu beaucoup de changements cette année », expose Bertrand Mabille, directeur général Europe du Sud, Afrique Moyen Orient et partenariats, entouré de Brigitte Nisio, la nouvelle directrice France de Carlson Wagonlit Travel.
Avec un nouvel organigramme, de nouveau locaux, une nouvelle stratégie digitale, CWT annonce des changements en profondeur.
Le nouveau PDG, Kurt Ekert, nommé au printemps dernier, est décrit comme « un homme de la technologie ».
Ancien n°2 du GDS Travelport, il arrive avec l’idée d’accélérer les développements technologiques de CWT.
« Le monde du travel est au début de cette phase d’accélération de la digitalisation », explique Bertrand Mabille.
Mais aussi de la croissance : « nous sommes sur un business qui est encore en voie de consolidation, poursuit-il. Il est nécessaire pour nous de continuer notre chemin de la croissance ».
L'équipe dédiée à la techno s’est renforcée.
L’agence annonce ainsi sa nouvelle stratégie CWT 3.0 : « L’industrie du travel en général, qu’elle soit BtoB ou BtoC, est en train de rentrer dans sa troisième phase de digitalisation ».
Avec un nouvel organigramme, de nouveau locaux, une nouvelle stratégie digitale, CWT annonce des changements en profondeur.
Le nouveau PDG, Kurt Ekert, nommé au printemps dernier, est décrit comme « un homme de la technologie ».
Ancien n°2 du GDS Travelport, il arrive avec l’idée d’accélérer les développements technologiques de CWT.
« Le monde du travel est au début de cette phase d’accélération de la digitalisation », explique Bertrand Mabille.
Mais aussi de la croissance : « nous sommes sur un business qui est encore en voie de consolidation, poursuit-il. Il est nécessaire pour nous de continuer notre chemin de la croissance ».
L'équipe dédiée à la techno s’est renforcée.
L’agence annonce ainsi sa nouvelle stratégie CWT 3.0 : « L’industrie du travel en général, qu’elle soit BtoB ou BtoC, est en train de rentrer dans sa troisième phase de digitalisation ».
L’appli CWT To Go rafraîchie
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Avec plus de 700 000 utilisateurs à travers le monde, l’application se voit intégrer de nouvelles fonctionnalités.
Plateforme d’information, elle deviendra fin 2017 plateforme de réservation et de communication. Les utilisateurs pourront réserver leurs billets d’avion en plus de leurs chambres d’hôtel.
CWT compte ainsi se recentrer sur leurs clients en exploitant la data, pour plus de personnalisation.
« Nous sommes de gigantesques usines à données, mais nous n’en faisons pas grand chose », déplore Bertrand Mabille.
L’appli intégrera une fonction « networking » permettant au voyageur d’affaires de rester connecté ou d’entrer en contact avec ses collègues.
Un chat avec l’agent de voyages sera aussi intégré.
Plateforme d’information, elle deviendra fin 2017 plateforme de réservation et de communication. Les utilisateurs pourront réserver leurs billets d’avion en plus de leurs chambres d’hôtel.
CWT compte ainsi se recentrer sur leurs clients en exploitant la data, pour plus de personnalisation.
« Nous sommes de gigantesques usines à données, mais nous n’en faisons pas grand chose », déplore Bertrand Mabille.
L’appli intégrera une fonction « networking » permettant au voyageur d’affaires de rester connecté ou d’entrer en contact avec ses collègues.
Un chat avec l’agent de voyages sera aussi intégré.
Une start-up interne dédiée à l’hôtellerie
« Les TMC n’ont pas réussi leur entrée dans le monde de l’hôtellerie », constate Bertrand Mabille.
CWT a créé sa propre start-up interne dédiée à cette problématique, sous la responsabilité de Scott Brennan.
L’idée est d’attirer et de servir des voyageurs qui ne seraient pas forcément des clients CWT.
« Nous n’avons aucune raison de laisser ce marché à des intermédiaires, il est tout à fait légitime que l’on souhaite reprendre cette activité complètement ».
CWT a créé sa propre start-up interne dédiée à cette problématique, sous la responsabilité de Scott Brennan.
L’idée est d’attirer et de servir des voyageurs qui ne seraient pas forcément des clients CWT.
« Nous n’avons aucune raison de laisser ce marché à des intermédiaires, il est tout à fait légitime que l’on souhaite reprendre cette activité complètement ».