Une alternative soleil en hiver sans le décalage horaire des Caraïbes
Six heures de voyage avec l’escale à Dakar sans descendre de l’avion, une seule heure de décalage horaire avec la France en hiver, des vols de jour (Air Méditerranée) ou de nuit (Air Sénégal) au choix, l’accessibilité de la région en fait une destination idéale pour les courts séjours dits de « coupure » au stress. Pendant la période « sèche » qui débute en novembre et dure jusqu’à la fin du printemps, c’est une alternative intéressante aux plages Caraïbes et autre République dominicaine.
Une région aujourd’hui réellement sécurisée
Les accords signés entre le président Wade et les rebelles qui avaient fermé la région au tourisme pendant 15 ans ont réellement calmé le jeu des indépendantistes. Voici plus de deux ans qu’aucun incident d’aucune sorte n’a été enregistré. Bien au contraire, la population longtemps isolée se montre particulièrement accueillante et les rencontres dans les villages sont toujours sincères et chaleureuses.
L’intérêt de la province ne se limite donc pas qu’à ses superbes plages, on peut y joindre la découverte d’une culture assez unique sur le continent africain. Les Diolas possèdent en effet une organisation politique, des croyances spirituelles, et une architecture très personnelles, qui enrichiront le simple séjour balnéaire.
Six heures de voyage avec l’escale à Dakar sans descendre de l’avion, une seule heure de décalage horaire avec la France en hiver, des vols de jour (Air Méditerranée) ou de nuit (Air Sénégal) au choix, l’accessibilité de la région en fait une destination idéale pour les courts séjours dits de « coupure » au stress. Pendant la période « sèche » qui débute en novembre et dure jusqu’à la fin du printemps, c’est une alternative intéressante aux plages Caraïbes et autre République dominicaine.
Une région aujourd’hui réellement sécurisée
Les accords signés entre le président Wade et les rebelles qui avaient fermé la région au tourisme pendant 15 ans ont réellement calmé le jeu des indépendantistes. Voici plus de deux ans qu’aucun incident d’aucune sorte n’a été enregistré. Bien au contraire, la population longtemps isolée se montre particulièrement accueillante et les rencontres dans les villages sont toujours sincères et chaleureuses.
L’intérêt de la province ne se limite donc pas qu’à ses superbes plages, on peut y joindre la découverte d’une culture assez unique sur le continent africain. Les Diolas possèdent en effet une organisation politique, des croyances spirituelles, et une architecture très personnelles, qui enrichiront le simple séjour balnéaire.
Bousculade d'oiseaux sur les îles de la mangrove
Autres articles
Des atouts physiques qui ont fait leur preuve auprès des anciens et séduiront les nouveaux voyageurs
La Casamance, c’est le Cap Skirring bien sûr, mais ce n’est pas que ça. Ce sont des kilomètres de plages étincelantes et désertes ourlées de vagues transparentes, mais c’est aussi un entrelacs de bras de mer tissant un réseau de mangroves autour d’îles festonnées d’oiseaux et de crabes de palétuviers.
Ce sont des cocoteraies ombrageant les paillotes d’hôtels intimistes, mais aussi des rizières et des champs de manioc semés de cases familiales abritées sous les banyans. C’est en fait, un résumé de notre imaginaire africain sur un tout petit territoire dense en beautés naturelles. Des beautés qui ont attiré le ClubMed et La Paillote en précurseurs il y a 30 ans, et qui n’attendent que l’arrivée d’une nouvelle génération de touristes pour redevenir à la mode.
Des infrastructures pour tous les goûts et tous les budgets
Car il existe aujourd’hui toutes catégories et tous types d’hébergements, en particulier sur la côte, qui n’a pas cédé à la tentation du béton qui a défiguré Saly et la petite Côte du Sénégal (au sud de Dakar). Du simple et convivial Palétuviers au cœur du village du Cap à la très (trop ?) luxueuse résidence des Alizés sur la plage, la gamme couvre de nombreuses niches.
La Casamance, c’est le Cap Skirring bien sûr, mais ce n’est pas que ça. Ce sont des kilomètres de plages étincelantes et désertes ourlées de vagues transparentes, mais c’est aussi un entrelacs de bras de mer tissant un réseau de mangroves autour d’îles festonnées d’oiseaux et de crabes de palétuviers.
Ce sont des cocoteraies ombrageant les paillotes d’hôtels intimistes, mais aussi des rizières et des champs de manioc semés de cases familiales abritées sous les banyans. C’est en fait, un résumé de notre imaginaire africain sur un tout petit territoire dense en beautés naturelles. Des beautés qui ont attiré le ClubMed et La Paillote en précurseurs il y a 30 ans, et qui n’attendent que l’arrivée d’une nouvelle génération de touristes pour redevenir à la mode.
Des infrastructures pour tous les goûts et tous les budgets
Car il existe aujourd’hui toutes catégories et tous types d’hébergements, en particulier sur la côte, qui n’a pas cédé à la tentation du béton qui a défiguré Saly et la petite Côte du Sénégal (au sud de Dakar). Du simple et convivial Palétuviers au cœur du village du Cap à la très (trop ?) luxueuse résidence des Alizés sur la plage, la gamme couvre de nombreuses niches.
Les plages somptueuses de l'Atlantique
La villa des Pêcheurs reçoit avant tout les amateurs de barracudas et de carangues. Le Diola propose de vastes villas (150m²) en forme de cases aux coquettes coiffes de paille pour séjours familiaux ou entre amis. La Maison bleue avec son restaurant gastronomique et ses bungalows sur le sable est devenue le rendez-vous des branchés initiés. Et le Kalissaï protège l’intimité des amoureux dans une cocoteraie isolée au charme prenant.
Des combinés originaux pour curieux de destinations nouvelles comme les îles Bijagos
Les plus aventureux doubleront leur plaisir d’un saut de puce de l’autre côté de la frontière, à portée de roues, d’ailes ou de voiles. Face à la côte de la Guinée Bissau, les îles Bijagos attendent les Robinsons amateurs d’édens intacts.
Protégé par l’Unesco, l’archipel abrite une faune marine exceptionnelle, dauphins, tortues et lamantins, et des villages de pêcheurs où vit une population matriarcale insolite. Quelques bungalows récemment posés sur l’île de Bubaque et pourvus de tout le confort peuvent aussi satisfaire une clientèle exigeante.
Belle, authentique, sincère, la Casamance ne décevra pas les amoureux d’une Afrique douce et non frelatée. À découvrir ou redécouvrir d’urgence.
Bureau du tourisme du Sénégal à Paris : 01.47.05.30.73 – vacancesausenegal@tiscali.fr - www.soleildafrique.com
Des combinés originaux pour curieux de destinations nouvelles comme les îles Bijagos
Les plus aventureux doubleront leur plaisir d’un saut de puce de l’autre côté de la frontière, à portée de roues, d’ailes ou de voiles. Face à la côte de la Guinée Bissau, les îles Bijagos attendent les Robinsons amateurs d’édens intacts.
Protégé par l’Unesco, l’archipel abrite une faune marine exceptionnelle, dauphins, tortues et lamantins, et des villages de pêcheurs où vit une population matriarcale insolite. Quelques bungalows récemment posés sur l’île de Bubaque et pourvus de tout le confort peuvent aussi satisfaire une clientèle exigeante.
Belle, authentique, sincère, la Casamance ne décevra pas les amoureux d’une Afrique douce et non frelatée. À découvrir ou redécouvrir d’urgence.
Bureau du tourisme du Sénégal à Paris : 01.47.05.30.73 – vacancesausenegal@tiscali.fr - www.soleildafrique.com