Voici un nouvel épisode dans le dossier sinueux du Charles-de-Gaulle Express, qui pourrait bien faire dérailler le projet.
Alors que Jean-Pierre Sauvage (BAR) dénonçait "l'enfumage" dans TourMaG.com, et que nous vous relations un avis plutôt contrasté de l’Autorité environnementale sur cette nouvelle ligne, le Canard Enchaîné dépose obstacle supplémentaire sur les rails du Charles-de-Gaulle Express.
A lire : Charles de Gaulle Express : Impact sur le RER B et taxe aérienne ?
Nos confrères du journal satirique dans son édition du 5 septembre 2018 rapportent que la mairie de Mitry-Mory, point de départ du CDG Express, a déposé une requête auprès du Conseil d'État, qui doit rendre se rassembler le 14 septembre prochain.
L'objectif de cette démarche étant d'obtenir l'annulation de l'arrêté préfectoral de déclaration d'utilité publique, à cause des importantes nuisances sonores que pourrait générer la ligne.
Alors que Jean-Pierre Sauvage (BAR) dénonçait "l'enfumage" dans TourMaG.com, et que nous vous relations un avis plutôt contrasté de l’Autorité environnementale sur cette nouvelle ligne, le Canard Enchaîné dépose obstacle supplémentaire sur les rails du Charles-de-Gaulle Express.
A lire : Charles de Gaulle Express : Impact sur le RER B et taxe aérienne ?
Nos confrères du journal satirique dans son édition du 5 septembre 2018 rapportent que la mairie de Mitry-Mory, point de départ du CDG Express, a déposé une requête auprès du Conseil d'État, qui doit rendre se rassembler le 14 septembre prochain.
L'objectif de cette démarche étant d'obtenir l'annulation de l'arrêté préfectoral de déclaration d'utilité publique, à cause des importantes nuisances sonores que pourrait générer la ligne.
Un avis gênant de l'Arafer
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Si la décision du Conseil d'Etat va en faveur de la requête, les travaux seront alors suspendus.
Cela fait suite aussi à un avis gênant émis par l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) au milieu du mois d'août 2018 révélant que le montage financier était à l'heure "non stabilisé et incomplet".
Autant de points qui pourraient remettre en cause la construction CDG Express, qui devrait entrer en fonctions pour les JO 2024 de Paris.
"Il doit permettre à seulement 10% des passagers de Charles de Gaulle, et moyennant une taxe qui est parfaitement inique, d'utiliser ce moyen de transport," selon Jean-Pierre Sauvage.
"Pour rappel l'ensemble des personnes passant par Roissy se verront ponctionner 1,98 euro, alors que seulement 10% du trafic utilisera le CDG Express."
Loin de faire l'unanimité, le Charles-de-Gaulle Express voit ses détracteurs hausser le ton.
Cela fait suite aussi à un avis gênant émis par l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) au milieu du mois d'août 2018 révélant que le montage financier était à l'heure "non stabilisé et incomplet".
Autant de points qui pourraient remettre en cause la construction CDG Express, qui devrait entrer en fonctions pour les JO 2024 de Paris.
"Il doit permettre à seulement 10% des passagers de Charles de Gaulle, et moyennant une taxe qui est parfaitement inique, d'utiliser ce moyen de transport," selon Jean-Pierre Sauvage.
"Pour rappel l'ensemble des personnes passant par Roissy se verront ponctionner 1,98 euro, alors que seulement 10% du trafic utilisera le CDG Express."
Loin de faire l'unanimité, le Charles-de-Gaulle Express voit ses détracteurs hausser le ton.