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TourMaG.com : Quel est le positionnement de Citéa dans la galaxie Pierre & Vacances ?
Nathalie Srougi : Filiale du Groupe Pierre & Vacances et de Gestrim, nous nous positionnons comme des hôtels et résidences de tourisme 2 étoiles. Nous pouvons même prétendre au titre de 2 étoiles « plus » car 13 de nos résidences disposent par exemple d’une piscine. En terme de confort, nos appartements offrent une surface de 20m² minimum jusqu’à 40 à 45 m². Le mobilier est standardisé d’une résidence à l’autre avec deux lignes de mobilier.
TM.com : Quel a été l’évolution de votre parc d’hôtels et de résidence en 2005 et comment est-il réparti à travers la France ?
N.S. : En 2005, nous avons doublé notre parc, en passant de 16 à 32 unités. Nous disposons aujourd’hui de 4 unités à Paris, 13 dans la région parisienne et 15 en province.
TM.com : Prévoyez-vous des ouvertures cette année ?
N.S. : Nous ouvrirons 4 nouvelles résidences Citéa d’ici la fin de l’année : une à Paris, une à Montpellier, une à Clamart et une à Saint-Denis. Mais la grande nouveauté de l’année 2006, ce sera le lancement de notre nouvelle marqué « Citéa résidentiel ».
Cette fois-ci, il s’agit de proposer des résidences beaucoup plus tournées vers le tourisme, avec des appartements et des maisons. Nous ouvrirons 10 résidences en 2006 : une près du parc Disneyland, une à Nantes, 2 près de Lyon, une à Marseille, une à Clermont Ferrand, une près de Genève, 2 près de Montpellier et une à Mougins. A cela s’ajoutera une unité à Toulouse en 2007.
TM.com : Comment s’effectue votre commercialisation ?
N.S. : Pour l’heure, nous réalisons plus de 80% de notre chiffre d’affaires avec le corporate et 10% via notre site Internet. Nous sommes également commercialisés via des agences de voyages et des TO étrangers.
TM.com : Vous n’êtes pas revendu par le réseau en France ?
N.S. : C’est justement le grand chantier que nous ouvrons cette année et l’année prochaine. Nous avons l’intention d’être repris dans la production de TO français programmant la France. Nous étudions également un possible référencement.
Le lancement de la marque « Citéa résidentiel » est en tout cas l’occasion de nous tourner vers le tourisme. Nous proposons désormais une offre tourisme qui peut intéresser les agences. Et cela est également intéressant pour nous afin de compléter le chiffre d’affaires issu du corporate.
TM.com : Quelle est la commission pour les agences ?
N.S. : Nous leur proposons une commission de 8%. Les agences peuvent également utiliser notre site B2B pour effectuer les réservations. La commission est alors identique.
TM.com : A combien s’élève votre chiffre d’affaires pour 2005 et quelles sont vos prévisions pour 2006 ?
N.S. : Nous avons réalisé 24 millions d’euros de chiffre d’affaires l’an dernier. L’évolution par rapport à 2004 est évidemment importante, du fait du doublement de notre parc d’hôtels et de résidence. En revanche, nous ne souhaitons pas donner de prévisions concernant notre chiffre d’affaires 2006.
Internet : www.citea.com
Nathalie Srougi : Filiale du Groupe Pierre & Vacances et de Gestrim, nous nous positionnons comme des hôtels et résidences de tourisme 2 étoiles. Nous pouvons même prétendre au titre de 2 étoiles « plus » car 13 de nos résidences disposent par exemple d’une piscine. En terme de confort, nos appartements offrent une surface de 20m² minimum jusqu’à 40 à 45 m². Le mobilier est standardisé d’une résidence à l’autre avec deux lignes de mobilier.
TM.com : Quel a été l’évolution de votre parc d’hôtels et de résidence en 2005 et comment est-il réparti à travers la France ?
N.S. : En 2005, nous avons doublé notre parc, en passant de 16 à 32 unités. Nous disposons aujourd’hui de 4 unités à Paris, 13 dans la région parisienne et 15 en province.
TM.com : Prévoyez-vous des ouvertures cette année ?
N.S. : Nous ouvrirons 4 nouvelles résidences Citéa d’ici la fin de l’année : une à Paris, une à Montpellier, une à Clamart et une à Saint-Denis. Mais la grande nouveauté de l’année 2006, ce sera le lancement de notre nouvelle marqué « Citéa résidentiel ».
Cette fois-ci, il s’agit de proposer des résidences beaucoup plus tournées vers le tourisme, avec des appartements et des maisons. Nous ouvrirons 10 résidences en 2006 : une près du parc Disneyland, une à Nantes, 2 près de Lyon, une à Marseille, une à Clermont Ferrand, une près de Genève, 2 près de Montpellier et une à Mougins. A cela s’ajoutera une unité à Toulouse en 2007.
TM.com : Comment s’effectue votre commercialisation ?
N.S. : Pour l’heure, nous réalisons plus de 80% de notre chiffre d’affaires avec le corporate et 10% via notre site Internet. Nous sommes également commercialisés via des agences de voyages et des TO étrangers.
TM.com : Vous n’êtes pas revendu par le réseau en France ?
N.S. : C’est justement le grand chantier que nous ouvrons cette année et l’année prochaine. Nous avons l’intention d’être repris dans la production de TO français programmant la France. Nous étudions également un possible référencement.
Le lancement de la marque « Citéa résidentiel » est en tout cas l’occasion de nous tourner vers le tourisme. Nous proposons désormais une offre tourisme qui peut intéresser les agences. Et cela est également intéressant pour nous afin de compléter le chiffre d’affaires issu du corporate.
TM.com : Quelle est la commission pour les agences ?
N.S. : Nous leur proposons une commission de 8%. Les agences peuvent également utiliser notre site B2B pour effectuer les réservations. La commission est alors identique.
TM.com : A combien s’élève votre chiffre d’affaires pour 2005 et quelles sont vos prévisions pour 2006 ?
N.S. : Nous avons réalisé 24 millions d’euros de chiffre d’affaires l’an dernier. L’évolution par rapport à 2004 est évidemment importante, du fait du doublement de notre parc d’hôtels et de résidence. En revanche, nous ne souhaitons pas donner de prévisions concernant notre chiffre d’affaires 2006.
Internet : www.citea.com
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
