Les riches ne sont plus à la fête et la crise a pas mal rebattu les cartes du classement des 500 premières fortunes françaises qui vont de 1,5 milliard à 39 millions d'euros de patrimoine professionnel.
A vot' bon coeur Msieu'Dames !
Publié chaque année par "Challenges", le classement des 500 premières fortunes françaises ne prend en compte que le patrimoine professionnel.
En "sont exclus les biens immobiliers détenus à titre personnel, les oeuvres d'art et les signes extérieurs de richesse non durables (autos,bateaux...).
Il est frappant de constater que sur 500 personnes et l'ensemble des secteurs professionnels retenus, seuls quelques rarissimes élus font partie de la catégorie "Tourisme".
Et encore, il ne faut pas hésiter à prendre le mot dans son acception large...
Ainsi, au premier rang de ce qu'on peut appeler un secteur élargi, on retrouve la Famille Desseigne-Barrière, plus spécifiquement Casinos et Hotellerie. Classée au 42e rang, avec une fortune évaluée à 692 millions d'euros, elle a reculé d'une place par rapport à l'année précédente.
A vot' bon coeur Msieu'Dames !
Publié chaque année par "Challenges", le classement des 500 premières fortunes françaises ne prend en compte que le patrimoine professionnel.
En "sont exclus les biens immobiliers détenus à titre personnel, les oeuvres d'art et les signes extérieurs de richesse non durables (autos,bateaux...).
Il est frappant de constater que sur 500 personnes et l'ensemble des secteurs professionnels retenus, seuls quelques rarissimes élus font partie de la catégorie "Tourisme".
Et encore, il ne faut pas hésiter à prendre le mot dans son acception large...
Ainsi, au premier rang de ce qu'on peut appeler un secteur élargi, on retrouve la Famille Desseigne-Barrière, plus spécifiquement Casinos et Hotellerie. Classée au 42e rang, avec une fortune évaluée à 692 millions d'euros, elle a reculé d'une place par rapport à l'année précédente.
Rareté des fortunes ''tourisme'' dans le classement
Gérard Brémond, patron de Pierre et Vacances, lui, passe de la 132e à la 134e place du palmarès avec un patrimoine estimé à 231 millions d'euros qui représentent la moitié du capital de l'entreprise.
Jean-Paul Dubreuil, dont le Groupe possède notamment Air Caraïbes, progresse de 2 places au classement et se situe au 180e rang avec 150 mie.
Viennent ensuite Paul Dubrûle et son complice Gérard Pélisson, co-fondateurs d'Accor à la 266e place (91 Mie) avec un fort recul (244e en 2008).
Georges Colson et sa soeur, Marie-Christine Chaubet, héritiers de FRAM dont ils conservent 79% du capital, ferment la marche, au 310e rang du classement, avec une fortune estimée à 78 millions d'euros. A noter qu'ils progressent de 5 places (310e) par rapport à l'année précédente.
On ne peut s'empêcher de remarquer la rareté des fortunes "tourisme" dans ce classement. A peine plus de 1% en n'étant pas trop sévère sur les définitions catégorielles !
Une rareté qui contraste avec l'importance du secteur dans l'économie où il dépasse l'industrie automobile. Un facteur qui s'explique bien entendu par l'atomisation et la faible capitalisation de ces structures mais aussi et surtout par leur concentration croissante aux mains de groupes industriels.
Jean-Paul Dubreuil, dont le Groupe possède notamment Air Caraïbes, progresse de 2 places au classement et se situe au 180e rang avec 150 mie.
Viennent ensuite Paul Dubrûle et son complice Gérard Pélisson, co-fondateurs d'Accor à la 266e place (91 Mie) avec un fort recul (244e en 2008).
Georges Colson et sa soeur, Marie-Christine Chaubet, héritiers de FRAM dont ils conservent 79% du capital, ferment la marche, au 310e rang du classement, avec une fortune estimée à 78 millions d'euros. A noter qu'ils progressent de 5 places (310e) par rapport à l'année précédente.
On ne peut s'empêcher de remarquer la rareté des fortunes "tourisme" dans ce classement. A peine plus de 1% en n'étant pas trop sévère sur les définitions catégorielles !
Une rareté qui contraste avec l'importance du secteur dans l'économie où il dépasse l'industrie automobile. Un facteur qui s'explique bien entendu par l'atomisation et la faible capitalisation de ces structures mais aussi et surtout par leur concentration croissante aux mains de groupes industriels.