Avec l'embrasement de la région, il n'est plus question de faire escale. « Aujourd'hui, lundi 17 juillet, SilverWind devait faire escale à Beyrouth, nous avons modifié l'itinéraire pour nous dérouter sur Alanya en Turquie. De même l'ecale de demain prévue à Tartous en Syrie a été également modifié au profit d'Anthalya en Turquie.
Pour la semaine prochaine, nous avons maintenu nos escales en Syrie et Liban. On garde espoir, jusqu'au dernier moment. Nos passagers comprennent la situation et ne nous font aucun grief de ces déprogrammations de dernières minutes » confiait Laura Gilli, directrice de la communication et du marketing Europe de Silversea, à ToumMaG.com
Même situation de crise chez Louis Cruise qui programmait des mini-croisières régulières à bord de l'Ivory (ex Ausonia). Depuis la semaine dernière les escales sur Aïfa et Beyrouth ont bien sûr été annulées et remplacées par l'île de Rhodes, plus au Nord.
Pour la filiale française, CroisiFrance, l'impact est insignifiant : « nous ne vendions pas ces croisières au départ de Limassol » nous indiquait Bernard Lavigne attaché de Direction de
CroisiFrance.
Chacun garde espoir pour que Beyrouth devienne une destination de croisière, mais l'histoire du pays et la situation explosive fait craindre que l'on ne puisse pas y débarquer de sitôt.
Pour la semaine prochaine, nous avons maintenu nos escales en Syrie et Liban. On garde espoir, jusqu'au dernier moment. Nos passagers comprennent la situation et ne nous font aucun grief de ces déprogrammations de dernières minutes » confiait Laura Gilli, directrice de la communication et du marketing Europe de Silversea, à ToumMaG.com
Même situation de crise chez Louis Cruise qui programmait des mini-croisières régulières à bord de l'Ivory (ex Ausonia). Depuis la semaine dernière les escales sur Aïfa et Beyrouth ont bien sûr été annulées et remplacées par l'île de Rhodes, plus au Nord.
Pour la filiale française, CroisiFrance, l'impact est insignifiant : « nous ne vendions pas ces croisières au départ de Limassol » nous indiquait Bernard Lavigne attaché de Direction de
CroisiFrance.
Chacun garde espoir pour que Beyrouth devienne une destination de croisière, mais l'histoire du pays et la situation explosive fait craindre que l'on ne puisse pas y débarquer de sitôt.