Nicolas Sarkozy à propos du Brexit : " C’est une vraie catastrophe. Le Royaume Uni appartient à l’Europe. En revanche, il est clair qu’il va nous falloir la changer, cette Europe" - Photo CE
Incontestablement, l’ancien Président, à l’instar de Johnny Hallyday, est une « bête de scène ».
Très à l’aise, toujours aussi agité mais très décontracté, devant une salle très attentive et surtout curieuse, il a répondu aux questions de la salle. Dommage que les journalistes de la presse professionnelle, à qui Laurent Abitbol avait promis un peu de parole, aient été muselés…
Néanmoins, nous vous livrons ici les grands moments de cette intervention…
Sur sa conception de l’existence : « Ce n’est pas la politique que j’aime, c’est la vie. Et la vraie vie, c’est travailler et aimer ».
Sur ses nouvelles fonctions au sein du Groupe Accor : « Je rêvais de travailler au sein d’un grand groupe. Accor m’a offert cette opportunité et j’ai pu découvrir, de l’intérieur, l’infidélité du client » ! Une référence à « l’infidélité de l’électeur » ?
Sur le monde en en général : « Le monde n’a jamais été aussi complexe, mais il reste passionnant. Tout est possible, le pire comme le meilleur. Des crises, on va en connaitre d’autres… »
Le réchauffement de la planète : « C’est un problème, mais ce n’est pas le pire. Vous savez, il existe une Police de la Pensée… Le véritable problème de la planète, c’est sa démographie galopante. Nous sommes déjà trop nombreux et cela n’ira qu’en empirant ».
Très à l’aise, toujours aussi agité mais très décontracté, devant une salle très attentive et surtout curieuse, il a répondu aux questions de la salle. Dommage que les journalistes de la presse professionnelle, à qui Laurent Abitbol avait promis un peu de parole, aient été muselés…
Néanmoins, nous vous livrons ici les grands moments de cette intervention…
Sur sa conception de l’existence : « Ce n’est pas la politique que j’aime, c’est la vie. Et la vraie vie, c’est travailler et aimer ».
Sur ses nouvelles fonctions au sein du Groupe Accor : « Je rêvais de travailler au sein d’un grand groupe. Accor m’a offert cette opportunité et j’ai pu découvrir, de l’intérieur, l’infidélité du client » ! Une référence à « l’infidélité de l’électeur » ?
Sur le monde en en général : « Le monde n’a jamais été aussi complexe, mais il reste passionnant. Tout est possible, le pire comme le meilleur. Des crises, on va en connaitre d’autres… »
Le réchauffement de la planète : « C’est un problème, mais ce n’est pas le pire. Vous savez, il existe une Police de la Pensée… Le véritable problème de la planète, c’est sa démographie galopante. Nous sommes déjà trop nombreux et cela n’ira qu’en empirant ».
Trump ? Il a un problème, cet homme-là !
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Sur le Brexit : « C’est une vraie catastrophe. Le Royaume Uni appartient à l’Europe. En revanche, il est clair qu’il va nous falloir la changer, cette Europe ». Au passage, il continuera en indiquant que la Turquie n’a pas vocation à intégrer l’Europe et que la Corse fait partie intégrante de la République Française.
Une question venue de la salle pour lui demander pourquoi, durant sa mandature, le tourisme a été « négligé » et jamais eu de véritable ministre ? « J’ai nommé des Secrétaires d’Etat, mais il est vrai que nous avons fait une erreur », reconnait-il.
Son pire moment personnel à l’Elysée ? « Je ne m’attendais pas à mon divorce » …
Son pire moment professionnel ? « Les obsèques d’un jeune soldat, envoyé sur sa décision dans une guerre ».
Sa plus belle rencontre: "Incontestablement Nelson Mandela"".
La Corée du Nord et les décisions de Trump ? « Le fou coréen est dangereux. Il n’obéit même pas aux Chinois ».
Quant au « sympathique » (sic et en souriant) président des USA : « Son élection est la conséquence et le symptôme d’un occident en voie de disparition. Il est dangereux et met Israël en grande danger. En fait, il a un problème, cet homme-là… ».
Il aura un grand moment envers son ancien premier ministre et sans jamais le nommer, il balancera quelques amabilités, dont je vous cite la plus rigolote : « Vous savez, être un leader ça ne s’apprend pas. Et entre un "Numéro 1" et le "Numéro 2", il y a une énorme différence » …
Il sortira sous les ovations de la salle...
Une question venue de la salle pour lui demander pourquoi, durant sa mandature, le tourisme a été « négligé » et jamais eu de véritable ministre ? « J’ai nommé des Secrétaires d’Etat, mais il est vrai que nous avons fait une erreur », reconnait-il.
Son pire moment personnel à l’Elysée ? « Je ne m’attendais pas à mon divorce » …
Son pire moment professionnel ? « Les obsèques d’un jeune soldat, envoyé sur sa décision dans une guerre ».
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La Corée du Nord et les décisions de Trump ? « Le fou coréen est dangereux. Il n’obéit même pas aux Chinois ».
Quant au « sympathique » (sic et en souriant) président des USA : « Son élection est la conséquence et le symptôme d’un occident en voie de disparition. Il est dangereux et met Israël en grande danger. En fait, il a un problème, cet homme-là… ».
Il aura un grand moment envers son ancien premier ministre et sans jamais le nommer, il balancera quelques amabilités, dont je vous cite la plus rigolote : « Vous savez, être un leader ça ne s’apprend pas. Et entre un "Numéro 1" et le "Numéro 2", il y a une énorme différence » …
Il sortira sous les ovations de la salle...