Depuis 47 jours, les pouvoirs publics n’ont constaté de cas d’infection locale de Covid-19.
En mai, cinq cas importés de Covid-19 ont été enregistrés parmi les ressortissants mauriciens rentrés au pays et placés en quatorzaine. Il n’y a que deux cas actifs admis à l’hôpital ENT, et les trois autres personnes sont guéries.
Voilà pourquoi à partir du 15 juin, les Mauriciens pourront de nouveau se rendre à la plage, et les rassemblements, la tenue des mariages, et les sports collectifs seront autorisés.
A ce jour “plus de 10% de la population ont été soumis au dépistage” ce qui permet d’avancer que “le virus ne circule plus dans la communauté », a-t-il déclaré.
En revanche, concernant l’ouverture des frontières, c’est une autre paire de manches. Celles-ci, jusqu’à nouvel ordre, resteront bouclées jusqu’au 31 août 2020 prochain.
Une décision qui vient aussi d’être entérinée par le ministère de la Santé, avec l'approbation par le chef du Gouvernement d’un arrêté qui interdit l’escale d’avions et de navires à Maurice hormis autorisation spéciale.
En mai, cinq cas importés de Covid-19 ont été enregistrés parmi les ressortissants mauriciens rentrés au pays et placés en quatorzaine. Il n’y a que deux cas actifs admis à l’hôpital ENT, et les trois autres personnes sont guéries.
Voilà pourquoi à partir du 15 juin, les Mauriciens pourront de nouveau se rendre à la plage, et les rassemblements, la tenue des mariages, et les sports collectifs seront autorisés.
A ce jour “plus de 10% de la population ont été soumis au dépistage” ce qui permet d’avancer que “le virus ne circule plus dans la communauté », a-t-il déclaré.
En revanche, concernant l’ouverture des frontières, c’est une autre paire de manches. Celles-ci, jusqu’à nouvel ordre, resteront bouclées jusqu’au 31 août 2020 prochain.
Une décision qui vient aussi d’être entérinée par le ministère de la Santé, avec l'approbation par le chef du Gouvernement d’un arrêté qui interdit l’escale d’avions et de navires à Maurice hormis autorisation spéciale.
Les frontières resteront fermées
Une décision qui ne fait pas vraiment l’affaire des professionnels, placés aussi sous perfusion financière par les Pouvoirs publics.
Mais à l’heure de la mondialisation, la fermeture d’une destination aussi populaire, ne fait pas que des heureux.
“J’ai peur qu’une telle décision ne porte une grave atteinte à l’Ile Maurice qui est une des destinations plébiscitée par les Français, note ce voyagiste.
J’ai du mal à comprendre une telle décision et je redoute les conséquences et les modalités au moment de l’ouverture.
Bien entendu, je pense aussi à la population et à l’économie du pays qui vit principalement du tourisme…”
Air Mauritius a d’ores et déjà fait les frais de la pandémie avec le licenciement prévu de 800 à 1000 personnes soit la moitié de son effectif.
Ses pertes sont estimées à 9 milliards de roupies mauriciennes, (200 550 000 euros), selon Sattar Hajee Abdoula, président de la société Nationale de transport aérien.
Mais à l’heure de la mondialisation, la fermeture d’une destination aussi populaire, ne fait pas que des heureux.
“J’ai peur qu’une telle décision ne porte une grave atteinte à l’Ile Maurice qui est une des destinations plébiscitée par les Français, note ce voyagiste.
J’ai du mal à comprendre une telle décision et je redoute les conséquences et les modalités au moment de l’ouverture.
Bien entendu, je pense aussi à la population et à l’économie du pays qui vit principalement du tourisme…”
Air Mauritius a d’ores et déjà fait les frais de la pandémie avec le licenciement prévu de 800 à 1000 personnes soit la moitié de son effectif.
Ses pertes sont estimées à 9 milliards de roupies mauriciennes, (200 550 000 euros), selon Sattar Hajee Abdoula, président de la société Nationale de transport aérien.