La région bénéficie toujours d’un évènementiel attractif et de l’apport d’une clientèle étrangère qui ne compte pas (Russes et clientèle du Moyen orient notamment à Cannes), les russes sont de plus en plus depuis que la question des visas a été résolue, et ils sont talonnés par une clientèle venant des pays d’Europe de l’Est.
Enfin les Scandinaves deviennent des habitués grâce à la desserte en low cost qui relie Nice à la majorité des villes d’Europe du Nord. En juillet, la fréquentation des Russes a bondi de 40 % pour l’office de tourisme de Nice, alors que la clientèle des Tchèques progresse fortement (80 %).
Denis Zanon, nouveau directeur général de l’office de tourisme, souligne que l’ouverture d’une ligne régulière aérienne avec Kiev (Ukraine) complétant celles desservant Moscou et Saint Petersbourg, ne fait que renforcer ce retour de la clientèle slave.
À Nice, on constate avec plaisir : « Les visiteurs des pays de l'Est profitent de toute la palette offerte par la région, outre le balnéaire, le culturel, la gastronomie et pas seulement le shopping », se félicite Denis Zanon.
La clientèle du Moyen-Orient, essentiellement des Emirats est également en hausse de 20 % sur la Promenade des Anglais mais sans commune mesure avec la présence de cette dernière sur la Croisette qui occupe en masse les suites des grands palaces et fait la joie des commerces de luxe.
On attend l’arrivée en 2009 d’une nouvelle clientèle asiatique (indiens, chinois et coréens…) dont l’accès sur la Côte d’azur sera facilitée grâce à l’augmentation des fréquences de la ligne Nice Dubaï qui passera à 5 vols cet hiver. Dubaï constituant un hub rapide entre l’Europe et l’Asie.
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La clientèle française n’a vraiment plus les moyens...
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Le mois de septembre se présente bien grâce à la programmation de nombreux congrès, de réunions, …
Reste que le tourisme azuréen comme au plan national est toujours dans l’incertitude provoquée par un Euro toujours très fort qui incite les Européens à opter pour des séjours lointains et une économie française et européenne en panne.
La clientèle française n’a vraiment plus les moyens et si la restauration est en berne en revanche l’été 2008 aura été la fête aux boulangeries, restauration rapide et même les hypermarchés…
Cette tendance n’est pas sans conséquence sur l’économie locale sachant que la Côte d'Azur aligne 5000 restaurants (3150 traditionnels et 1840 dits de restauration " rapide ") qui emploient 17 655 salariés (Alpes-Maritimes hors Monaco), à quoi s'ajoutent les restaurants d'hôtels (690).
Un secteur de la restauration qui dépend pour 50 % du chiffre de l’activité touristique. Pour 17%, l'apport du tourisme dépasserait même les 70%. La fréquentation en baisse a un impact non négligeable sur l’emploi.
La baisse de 10 à 20 % pouvant se traduire par la suppression, souvent dans l’indifférence, de plusieurs centaines d’emplois soit plus que certaines fermetures d’usines qui font souvent la une de l’actualité.
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