De 60% à 80% (selon les pays) des Anglais, Français et Allemands n'ont jamais fait de croisière et ne connaissent pas les différentes compagnies du secteur, selon un sondage mené par Travelzoo auprès de 3 500 de ses clients.
Mais, pour 50% des Français consultés, l'idée de réserver un circuit sur la mer pour leur prochain voyage est présente. Le taux est de 20% pour les Anglais et dépasse 30% pour les Allemands.
L'étude révèle également que, si les clients hexagonaux auraient tendance à choisir selon les promotions du moment, les voyageurs britanniques et d'outre-Rhin souhaiteraient avant tout naviguer sur la Méditerranée.
Parmi la clientèle qui n'est jamais partie en croisière et qui ne connaît pas les opérateurs, certains se tournent volontiers vers des agences de voyages. Mais la majorité affirme utiliser Internet en priorité pour réserver.
Selon le site, les Français hésiteraient à se lancer car ils craignent de manquer de liberté et de se sentir trop à l'étroit avec les nombreux autres passagers. Les tarifs des séjours en découragent beaucoup également.
En revanche, ni la crise, ni le naufrage du Concordia ne semblent faire partie des facteurs qui découragent les réticents. Ils sont ainsi 96% à affirmer ne pas être influencé par la tragédie, parmi ceux qui envisagent de partir.
Mais, pour 50% des Français consultés, l'idée de réserver un circuit sur la mer pour leur prochain voyage est présente. Le taux est de 20% pour les Anglais et dépasse 30% pour les Allemands.
L'étude révèle également que, si les clients hexagonaux auraient tendance à choisir selon les promotions du moment, les voyageurs britanniques et d'outre-Rhin souhaiteraient avant tout naviguer sur la Méditerranée.
Parmi la clientèle qui n'est jamais partie en croisière et qui ne connaît pas les opérateurs, certains se tournent volontiers vers des agences de voyages. Mais la majorité affirme utiliser Internet en priorité pour réserver.
Selon le site, les Français hésiteraient à se lancer car ils craignent de manquer de liberté et de se sentir trop à l'étroit avec les nombreux autres passagers. Les tarifs des séjours en découragent beaucoup également.
En revanche, ni la crise, ni le naufrage du Concordia ne semblent faire partie des facteurs qui découragent les réticents. Ils sont ainsi 96% à affirmer ne pas être influencé par la tragédie, parmi ceux qui envisagent de partir.
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