Des éléphants de mer échoués sur la grève...
Une fois les gilets abandonnés sur la rive, nous allons marcher une heure durant entourés des sommets enneigés, foulant les almerias et enjambant les petits canaux alimentés par l'eau qui sourd des parois parois rocheuses, tapissant de mousse la roche et formant quelquefois de véritables "jardins japonais."
Un peu plus loin on peut apercevoir une colonie d'éléphants de mer échoués sur la grève, masses grises informes, indifférentes.
Cet après-midi, pas de marche prévue mais une promenade en zodiac dans les ilots Tuckers, pour aller regarder presque dans le blanc des yeux une colonie de Manchots de Magellan, très curieux et bruyants.
Nous ne débarquons pas pour préserver la tranquillité des animaux. Nous faisons le tour de quelques ilots au milieu des "canards vapeur", un volatile qui ne vole pas (!), des cormorans, des goélands et d'autres espèces qui nidifient dans les anfractuosités de la roche.
A bord il n'y a qu'un seul service et les passagers n'ont pas de table attribuée. Pour ceux qui désirent dîner ensemble, un minimum d'organisation s'impose. Le bateau est neuf et le service à table, question rapidité, se rode.
Les cabines, d'une dizaine de mètres carrés sont, à peu de chose près, toutes identiques, quel que soit le pont.
L'équipement n'y est pas d'un luxe inouï mais l'essentiel est préservé, avec un grand lit, un excellent matelas ainsi qu'une grande fenêtre qui permet d'avoir une bonne visibilité sur l'extérieur.
Il vaut mieux prévoir une provision conséquente de livres et autres loisirs. La petite bibliothèque possède en tout et pour tout un livre (!) en français et il ne faut pas compter sur les animations, quasi inexistantes.
Lundi 20 décembre. Nous naviguons le long des canaux baleiniers sur la côte sud de la Terre du feu, entourés de reliefs couronnés de la crête blanche des glaciers. La météo est maussade.
Une conférence sur la Terre du feu présente le programme et le lieu mythique avec lequel nous avons rendez-vous ce mardi : le cap Horn dans la mer de Drake.
Les conférences ont des thèmes intéressants (les oiseaux, la formation des glaciers...) mais ne sont malheureusement, qu'en anglais ou en espagnol. Renseignement pris, il faut un minimum de passagers français pour avoir droit à la version dans la langue de Molière.
Un peu plus loin on peut apercevoir une colonie d'éléphants de mer échoués sur la grève, masses grises informes, indifférentes.
Cet après-midi, pas de marche prévue mais une promenade en zodiac dans les ilots Tuckers, pour aller regarder presque dans le blanc des yeux une colonie de Manchots de Magellan, très curieux et bruyants.
Nous ne débarquons pas pour préserver la tranquillité des animaux. Nous faisons le tour de quelques ilots au milieu des "canards vapeur", un volatile qui ne vole pas (!), des cormorans, des goélands et d'autres espèces qui nidifient dans les anfractuosités de la roche.
A bord il n'y a qu'un seul service et les passagers n'ont pas de table attribuée. Pour ceux qui désirent dîner ensemble, un minimum d'organisation s'impose. Le bateau est neuf et le service à table, question rapidité, se rode.
Les cabines, d'une dizaine de mètres carrés sont, à peu de chose près, toutes identiques, quel que soit le pont.
L'équipement n'y est pas d'un luxe inouï mais l'essentiel est préservé, avec un grand lit, un excellent matelas ainsi qu'une grande fenêtre qui permet d'avoir une bonne visibilité sur l'extérieur.
Il vaut mieux prévoir une provision conséquente de livres et autres loisirs. La petite bibliothèque possède en tout et pour tout un livre (!) en français et il ne faut pas compter sur les animations, quasi inexistantes.
Lundi 20 décembre. Nous naviguons le long des canaux baleiniers sur la côte sud de la Terre du feu, entourés de reliefs couronnés de la crête blanche des glaciers. La météo est maussade.
Une conférence sur la Terre du feu présente le programme et le lieu mythique avec lequel nous avons rendez-vous ce mardi : le cap Horn dans la mer de Drake.
Les conférences ont des thèmes intéressants (les oiseaux, la formation des glaciers...) mais ne sont malheureusement, qu'en anglais ou en espagnol. Renseignement pris, il faut un minimum de passagers français pour avoir droit à la version dans la langue de Molière.