La masse colossale tremble, se fissure et s'effondre
En attendant, nous jetterons l'encre ce lundi après midi face à l'imposant glacier Pìa.
Nous nous engageons dans un étroit chenal et apercevons une énorme masse blanche de plusieurs centaines de mètres de haut. Une fois débarqués, nous en contournons une partie par un sentier rocheux.
Le temps est au beau malgré les craquement sinistres qui ressemblent à s'y méprendre au grondement du tonnerre.
Lorsque ça craque, on peut voir parfois la masse colossale trembler et se fissurer à vue d'oeil avant de s'effondrer par strates dans l'eau. Spectaculaire !
Tout autour, des blocs de glace de petite taille surnagent. Ils fondent au fur et mesure de leur séjour dans l'eau, l'usure leur donnant toutes sortes de figure : tantôt d'élégants cygnes sculptés tantôt des formes fantomatiques dérivant au grè du courant.
Le beau temps est une notion toute relative sous ces latitudes. Les timides rayons de soleil disparaissent comme par enchantement, le vent se lève soudain, des bourrasques s'abattent et la mer se forme. Dans l'étroit chenal, le capitaine est obligé de manoeuvrer son navire pour garder les distances adéquates.
Pour l'instant pas question d' embarquer à bord des Zodiacs. Il faudra attendre quelques minutes pour retrouver de meilleures conditions météo. En attendant les fragiles coques de noix on pourra se consoler et se réchauffer avec un whisky chocolat, réparateur, spécialité des sorties du bord.
Une fois à bord, nous poursuivons notre itinéraire le long du bras Nord Est du canal Beagle. C'est ici que l'on peut admirer l'avenue des glaciers.
Confortablement installés au bar du 5e pont, nous voyons défiler des glaciers. Baptisés Romanche, Allemagne, France, Italie et Hollande, ils coulent entre les gorges de granit pour venir se déverser dans la mer, presque à nos pieds, tels des torrents de lave blanche...
Nous nous engageons dans un étroit chenal et apercevons une énorme masse blanche de plusieurs centaines de mètres de haut. Une fois débarqués, nous en contournons une partie par un sentier rocheux.
Le temps est au beau malgré les craquement sinistres qui ressemblent à s'y méprendre au grondement du tonnerre.
Lorsque ça craque, on peut voir parfois la masse colossale trembler et se fissurer à vue d'oeil avant de s'effondrer par strates dans l'eau. Spectaculaire !
Tout autour, des blocs de glace de petite taille surnagent. Ils fondent au fur et mesure de leur séjour dans l'eau, l'usure leur donnant toutes sortes de figure : tantôt d'élégants cygnes sculptés tantôt des formes fantomatiques dérivant au grè du courant.
Le beau temps est une notion toute relative sous ces latitudes. Les timides rayons de soleil disparaissent comme par enchantement, le vent se lève soudain, des bourrasques s'abattent et la mer se forme. Dans l'étroit chenal, le capitaine est obligé de manoeuvrer son navire pour garder les distances adéquates.
Pour l'instant pas question d' embarquer à bord des Zodiacs. Il faudra attendre quelques minutes pour retrouver de meilleures conditions météo. En attendant les fragiles coques de noix on pourra se consoler et se réchauffer avec un whisky chocolat, réparateur, spécialité des sorties du bord.
Une fois à bord, nous poursuivons notre itinéraire le long du bras Nord Est du canal Beagle. C'est ici que l'on peut admirer l'avenue des glaciers.
Confortablement installés au bar du 5e pont, nous voyons défiler des glaciers. Baptisés Romanche, Allemagne, France, Italie et Hollande, ils coulent entre les gorges de granit pour venir se déverser dans la mer, presque à nos pieds, tels des torrents de lave blanche...