On remet en route mais la tempête fait rage
Parka chaude, gros pull, bottes imperméables, gants, pantalon ciré sont le minimum requis. Par ailleurs, faute de lieu de stockage, on gardera sur soi le gilet de sauvetage.
La mer autour de la plage ressemble à une machine à laver au moment de l'essorage. Dernière étape : gravir les 160 marches qui séparent la grève du haut de l'île.
Un monument au Cap Horn, une chapelle minuscule, un phare avec une mini boutique où l'on peut acheter cartes postales et autres babioles, sont, grosso modo, ce qu'offre l'île, devenue, avec ses voisines le parc national du Cap Horn et Réserve mondiale de la Biosphère par l'Unesco.
A peine débarqués, le lieu fait honneur à sa réputation : des rafales se mettent à souffler brutalement à 90 km heures et les excursionnistes qui suivent les étroites passerelles en bois, ont beaucoup de mal à tenir debout.
Après le vent, une pluie glacée s'abat et les flocons de neige giflent et givrent les visages. La balade ne dure qu'une heure mais tous les participants en reviennent épuisés... mais fiers !
Au retour, le temps s'est aussi gâté côte maritime, rendant le travail des zodiacs singulièrement compliqué.
On remet en route mais la tempête fait rage. Malgré sa construction récente et son stabilisateur dernier cri, le Stella Australis se met a tanguer, les coursives se vident et les cabines se remplissent.
Tard dans la nuit nous arrivons à Ushuaïa. Notre aventure australe prend fin. Le lendemain, un vol de Lanchile nous déposera à Buenos Aires d'où nous regagnerons la France.
Enchantés et motivés pour franchir, peu-être un jour prochain, la dernière étape qui nous sépare du bout du monde : la croisière antarctique.
La mer autour de la plage ressemble à une machine à laver au moment de l'essorage. Dernière étape : gravir les 160 marches qui séparent la grève du haut de l'île.
Un monument au Cap Horn, une chapelle minuscule, un phare avec une mini boutique où l'on peut acheter cartes postales et autres babioles, sont, grosso modo, ce qu'offre l'île, devenue, avec ses voisines le parc national du Cap Horn et Réserve mondiale de la Biosphère par l'Unesco.
A peine débarqués, le lieu fait honneur à sa réputation : des rafales se mettent à souffler brutalement à 90 km heures et les excursionnistes qui suivent les étroites passerelles en bois, ont beaucoup de mal à tenir debout.
Après le vent, une pluie glacée s'abat et les flocons de neige giflent et givrent les visages. La balade ne dure qu'une heure mais tous les participants en reviennent épuisés... mais fiers !
Au retour, le temps s'est aussi gâté côte maritime, rendant le travail des zodiacs singulièrement compliqué.
On remet en route mais la tempête fait rage. Malgré sa construction récente et son stabilisateur dernier cri, le Stella Australis se met a tanguer, les coursives se vident et les cabines se remplissent.
Tard dans la nuit nous arrivons à Ushuaïa. Notre aventure australe prend fin. Le lendemain, un vol de Lanchile nous déposera à Buenos Aires d'où nous regagnerons la France.
Enchantés et motivés pour franchir, peu-être un jour prochain, la dernière étape qui nous sépare du bout du monde : la croisière antarctique.