S’engager sur la route des phares ou sur les traces de Gauguin à Pont-Aven], assister aux processions des grands pardons - entre folklore et sacralité – de Sainte Anne d’Auray, de Quimperlé ou de Locronan, se perdre dans le ruelles de cités plus que centenaires de Dinan ou de Concarneau, s’engager sur la route des phares, marcher sur les pas d’Anne de Bretagne ou de Merlin l’Enchanteur, s’initier à la navigation dans l’archipel des Glénan… autant de sites, de cités, d’histoires et de légendes qui caractérisent une Bretagne multiple.
Pont-Aven célèbrée par Gauguin, connue pour ses galettes
Pont Aven, le long de la rivière de ses biefs et vannes qui irriguent les vestiges des moulins. Alexandre Lamoureux.CRT Bretagne.
Autres articles
Petite ville blottie dans l’estuaire de l’Aven Pont-Aven doit sa notoriété à l’école de peintres qui eut Gauguin pour maître. En quête d’économies et de sujets « exotiques », les peintres rejoignent Pont-Aven à partir de 1860. Gauguin prendra la tête du groupe fondateur de l’Ecole de Pont-Aven.
De la pension Gloanec où ils vivent, les peintres emmènent leur chevalet vers le Bois d’Amour. En flânant il est aisé d’imaginer les artistes fascinés par la poésie des paysages et la luminosité du petit port. Un agréable sentier permet de retrouver leurs lieux d’inspiration. Au centre-ville, entouré de galeries, le musée retrace cette époque créatrice.
Rivière capricieuse en amont l’Aven devient ici un paisible estuaire remonté par les marées et quelques bateaux de plaisance. Le cours d’eau qui rebondit entre de gros blocs arrondis fait tourner une ou deux roues de bois, témoignages préservés des 14 moulins en activité au 19e siècle. A faire : la promenade Xavier-Grall qui va d’une rive à l’autre par des passerelles, le long de lavoirs, de biefs et de vannes qui irriguent les vestiges des moulins.
Incontournables : les célèbres galettes et palets de Pont-Aven devenus l’un des symboles forts de la Bretagne ! Les ateliers de fabrication se visitent. L’origine de ces spécialités gourmandes remonte au 17e siècle. Leur succès prenait essor en 1890 date à laquelle Isidore Penven succède à son père dans la boulangerie familiale installée non loin du pont. Ces délices au beurre salé donnent à Pont-Aven la distinction de « Site Remarquable du Goût ».
De la pension Gloanec où ils vivent, les peintres emmènent leur chevalet vers le Bois d’Amour. En flânant il est aisé d’imaginer les artistes fascinés par la poésie des paysages et la luminosité du petit port. Un agréable sentier permet de retrouver leurs lieux d’inspiration. Au centre-ville, entouré de galeries, le musée retrace cette époque créatrice.
Rivière capricieuse en amont l’Aven devient ici un paisible estuaire remonté par les marées et quelques bateaux de plaisance. Le cours d’eau qui rebondit entre de gros blocs arrondis fait tourner une ou deux roues de bois, témoignages préservés des 14 moulins en activité au 19e siècle. A faire : la promenade Xavier-Grall qui va d’une rive à l’autre par des passerelles, le long de lavoirs, de biefs et de vannes qui irriguent les vestiges des moulins.
Incontournables : les célèbres galettes et palets de Pont-Aven devenus l’un des symboles forts de la Bretagne ! Les ateliers de fabrication se visitent. L’origine de ces spécialités gourmandes remonte au 17e siècle. Leur succès prenait essor en 1890 date à laquelle Isidore Penven succède à son père dans la boulangerie familiale installée non loin du pont. Ces délices au beurre salé donnent à Pont-Aven la distinction de « Site Remarquable du Goût ».
Les Abers et la route des phares
Sur la route des phares. Une pointe maritime qui possède la plus forte concentration de phares d’Europe. Emmanuel Berhier. CRT Bretagne.
Difficile de donner des préférences sur les paysages de la côte des Abers, appelée aussi côte des Légendes (Finistère nord). Ils sont tous impressionnants.
Chaque aber (site) se distingue. L’Aber Wrac’h est un lieu de contrastes où la Baie des Anges côtoie le Pont du Diable. Son embouchure, gardée par de multiples îlots, forme un cadre serein pour la randonnée ou la pratique de la planche à voile. Serpentant entre champs et rives boisées, l’Aber Benoît est réputé pour ses délicieuses huîtres. L’Aber Ildut, entre Atlantique et Manche, offre aux bateaux un abri naturel accessible à tout moment. Une route en corniche y suit un littoral mêlant roches, dunes et criques.
Cette pointe maritime du département possède la plus forte concentration de phares d’Europe. 392 marches mènent au sommet du phare de l’île Vierge, tour de granit de 84 m , habillée intérieurement d’opaline. Face à la station de Porspoder, l’imposant phare-donjon du Four semble émerger de l’écume. Adossée à la maison du gardien reconvertie en lieu d’expo, le phare de l’île Wrac’h veille sur l’entrée de l’aber. Le phare de Pontusval, chapeauté de noir, guide les marins au large de Brignogan-Plages.
A savoir : à Lanildut, de belles demeures d’armateurs, dites « maisons de corsaires » ou « maisons d’Anglais » dévoilent la prospérité du port aux 17e et 18e siècles. Il est maintenant le premier port goémonier d’Europe. Le village relance cette activité. De mai à octobre, des bateaux débarquent leur cargaison de laminaires, l’or noir des bretons.
Chaque aber (site) se distingue. L’Aber Wrac’h est un lieu de contrastes où la Baie des Anges côtoie le Pont du Diable. Son embouchure, gardée par de multiples îlots, forme un cadre serein pour la randonnée ou la pratique de la planche à voile. Serpentant entre champs et rives boisées, l’Aber Benoît est réputé pour ses délicieuses huîtres. L’Aber Ildut, entre Atlantique et Manche, offre aux bateaux un abri naturel accessible à tout moment. Une route en corniche y suit un littoral mêlant roches, dunes et criques.
Cette pointe maritime du département possède la plus forte concentration de phares d’Europe. 392 marches mènent au sommet du phare de l’île Vierge, tour de granit de 84 m , habillée intérieurement d’opaline. Face à la station de Porspoder, l’imposant phare-donjon du Four semble émerger de l’écume. Adossée à la maison du gardien reconvertie en lieu d’expo, le phare de l’île Wrac’h veille sur l’entrée de l’aber. Le phare de Pontusval, chapeauté de noir, guide les marins au large de Brignogan-Plages.
A savoir : à Lanildut, de belles demeures d’armateurs, dites « maisons de corsaires » ou « maisons d’Anglais » dévoilent la prospérité du port aux 17e et 18e siècles. Il est maintenant le premier port goémonier d’Europe. Le village relance cette activité. De mai à octobre, des bateaux débarquent leur cargaison de laminaires, l’or noir des bretons.
Carnac et ses mégalithes
Carnac recèle trois sites en un : les célébrissimes champs de mégalithes ; le bourg, où tout le monde se retrouve les jours de marché et Carnac-plage qui oscille entre villas cossues, pins maritimes et sable fin.
Et il y a aussi la météo. Avec plus de 2 000 heures d’ensoleillement par an, Carnac est l’une des côtes les plus ensoleillées de Bretagne. Associé à un littoral bordé de caps et d’anses douces, cet atout explique le succès de la station.
Erigés 5 000 à 3 000 ans avant J-C. 3 000 menhirs se dressent dans la lande, traçant des lignes d’environ 1 kilomètre de long. C’est l’une des plus extraordinaires concentrations de pierres levées existant dans le monde. Les alignements les plus impressionnants sont ceux du Menec, de Kerlescan et de Kermario. A leurs côtés, on trouve le tumulus de saint Michel et le géant du Manio, menhir de 6,50 m de haut. Leur fonction astronomique est souvent évoquée. Le musée de la Préhistoire permet d’en savoir plus.
Authentique et un brin mondaine à la fois, la station déroule 5 plages à l’orée de pinèdes dissimulant les résidences balnéaires. Sur la Grande Plage de 2 kilomètres, le yacht-club affirme le standing du lieu.
A voir dans le bourg : l’église Saint-Cornély du 17e siècle. Sur la grande porte, deux bœufs sculptés rappellent que saint Cornély protège les bêtes à cornes. A l’intérieur, la chaire est un chef-d’œuvre de ferronnerie. A l’extérieur les Salines, un site réputé pour les ornithologues.
A s’offrir : une parenthèse bio et bien-être au Thalazur de Carnace.
Et il y a aussi la météo. Avec plus de 2 000 heures d’ensoleillement par an, Carnac est l’une des côtes les plus ensoleillées de Bretagne. Associé à un littoral bordé de caps et d’anses douces, cet atout explique le succès de la station.
Erigés 5 000 à 3 000 ans avant J-C. 3 000 menhirs se dressent dans la lande, traçant des lignes d’environ 1 kilomètre de long. C’est l’une des plus extraordinaires concentrations de pierres levées existant dans le monde. Les alignements les plus impressionnants sont ceux du Menec, de Kerlescan et de Kermario. A leurs côtés, on trouve le tumulus de saint Michel et le géant du Manio, menhir de 6,50 m de haut. Leur fonction astronomique est souvent évoquée. Le musée de la Préhistoire permet d’en savoir plus.
Authentique et un brin mondaine à la fois, la station déroule 5 plages à l’orée de pinèdes dissimulant les résidences balnéaires. Sur la Grande Plage de 2 kilomètres, le yacht-club affirme le standing du lieu.
A voir dans le bourg : l’église Saint-Cornély du 17e siècle. Sur la grande porte, deux bœufs sculptés rappellent que saint Cornély protège les bêtes à cornes. A l’intérieur, la chaire est un chef-d’œuvre de ferronnerie. A l’extérieur les Salines, un site réputé pour les ornithologues.
A s’offrir : une parenthèse bio et bien-être au Thalazur de Carnace.
Auray ‑ Port de Saint‑Goustan, un haut lieu de pélerinage
Entre Vannes et Lorient un joli petit port attire l’œil. Lové dans le fond d’une ria, Auray-Saint-Goustan, cité d’art et d’histoire, a traversé les siècles en conservant ses ruelles pavées, son pont de pierre, ses maisons à pans de bois et ses quais animés.
La cité s’enorgueillit de deux quartiers anciens. La ville haute centrée autour de l’église Saint-Gildas et la ville basse sur les bords du Loch. Au Moyen-Age le port s’était enrichi en raison de sa position stratégique et aux droits de passage perçus sur les bateaux. Aux 16e et 17e siècles, le trafic du vin et des céréales en font le troisième port breton. Les souvenirs résonnent encore sur les dalles de granit, rappelant que l’Américain Benjamin Franklin a accosté ici en 1776 pour rencontrer Louis XVI.
Ville historique, la cité abrite aussi un haut lieu de pèlerinage en Bretagne. La ville sanctuaire Sainte-Anne d’Auray est le premier site de pèlerinage catholique en Bretagne et le troisière en France après Lourdes et Lisieux. .
Le sanctuaire dédié à Sainte-Anne est le plus important en France après Lourdes et Lisieux et les pèlerins ne s’y trompent pas. Depuis des siècles Auray est une ville étape du Tro Breiz et du chemin vers Saint-Jacques de Composte
La cité s’enorgueillit de deux quartiers anciens. La ville haute centrée autour de l’église Saint-Gildas et la ville basse sur les bords du Loch. Au Moyen-Age le port s’était enrichi en raison de sa position stratégique et aux droits de passage perçus sur les bateaux. Aux 16e et 17e siècles, le trafic du vin et des céréales en font le troisième port breton. Les souvenirs résonnent encore sur les dalles de granit, rappelant que l’Américain Benjamin Franklin a accosté ici en 1776 pour rencontrer Louis XVI.
Ville historique, la cité abrite aussi un haut lieu de pèlerinage en Bretagne. La ville sanctuaire Sainte-Anne d’Auray est le premier site de pèlerinage catholique en Bretagne et le troisière en France après Lourdes et Lisieux. .
Le sanctuaire dédié à Sainte-Anne est le plus important en France après Lourdes et Lisieux et les pèlerins ne s’y trompent pas. Depuis des siècles Auray est une ville étape du Tro Breiz et du chemin vers Saint-Jacques de Composte
Dinan la médiévale
Ceinturée de près de trois kilomètres de remparts, la ville de Dinan et son château du 14e siècle dominent la Rance. En contrebas, le petit port de plaisance constitue le point de départ de belles balades le long de l’estuaire tandis que là-haut, les maisons à encorbellement complètent la visite de cette ville au cachet médiéval.
Visiter Dinan est un voyage dans le temps, une leçon d’histoire dans une ambiance Moyen-Âge. Les maisons à pans de bois et à pignons pointus témoignent de la richesse passée de la ville. Du 14ème au 18ème siècle, elle grouillait de tisserands, de tanneurs… Aujourd’hui, elle se distingue par le nombre de ses ateliers-boutiques de souffleurs de verre ou doreurs sur bois qui s’y sont installés.
Parmi les enfants du pays citons Bertrand Du Guesclin et Anne de Bretagne. Le premier s’illustre pendant la guerre de Cent Ans Son cœur repose dans la basilique Saint-Sauveur. Quant à Anne de Bretagne, ce fut son choix. Elle s’y retire après la mort de son mari le roi Charles VIII.
Ne pas manquer les remparts (13ème siècle) avec ses 14 tours et 4 portes monumentales, les maisons en pans de bois (15ème – 17ème siècles), Le château de Dinan (14ème siècle), le couvent des Cordeliers (13ème s), la fameuse rue de Jerzual qui relie le port à la cité...
La ville propose des dispositifs de visites guidées, baladodiffuson, application mobile, visite spéciale enfants etc. Toutes infos : https://www.dinan-capfrehel
Visiter Dinan est un voyage dans le temps, une leçon d’histoire dans une ambiance Moyen-Âge. Les maisons à pans de bois et à pignons pointus témoignent de la richesse passée de la ville. Du 14ème au 18ème siècle, elle grouillait de tisserands, de tanneurs… Aujourd’hui, elle se distingue par le nombre de ses ateliers-boutiques de souffleurs de verre ou doreurs sur bois qui s’y sont installés.
Parmi les enfants du pays citons Bertrand Du Guesclin et Anne de Bretagne. Le premier s’illustre pendant la guerre de Cent Ans Son cœur repose dans la basilique Saint-Sauveur. Quant à Anne de Bretagne, ce fut son choix. Elle s’y retire après la mort de son mari le roi Charles VIII.
Ne pas manquer les remparts (13ème siècle) avec ses 14 tours et 4 portes monumentales, les maisons en pans de bois (15ème – 17ème siècles), Le château de Dinan (14ème siècle), le couvent des Cordeliers (13ème s), la fameuse rue de Jerzual qui relie le port à la cité...
La ville propose des dispositifs de visites guidées, baladodiffuson, application mobile, visite spéciale enfants etc. Toutes infos : https://www.dinan-capfrehel
Avec la fée Viviane et Merlin l’enchanteur en forêt de Brocéliande
C’est dans la magnifique forêt de Brocéliande, entre landes et étangs, que la légende du roi Arthur prend sa source. Une forêt où l’on pourrait aussi retrouver la fée Viviane, Merlin l’enchanteur ou le chevalier Lancelot. Un site magique à découvrir lors de belles randonnées.
Le château de Comper (9ème siècle) est indissociable d’une balade en forêt. Si la légende raconte qu’il fut la résidence de la fée Viviane, il abrite aujourd’hui le Centre de l’imaginaire arthurien, qui organise des expositions, spectacles et randonnées. Rendez-vous à la Porte des secrets, cap sur le Val-sans-retour où Viviane retenait prisonniers les maris infidèles…
Le circuit de randonnée des Landes de Gurwant de 11 kilomètres mène à plusieurs sites légendaires. Au fond des bois la fontaine de Barenton est l’un des sites de la forêt les plus chargé de légendes.
Au départ de Paimpont, sorties accompagnées par des guides-conteurs sont proposées ainsi que de nombreuses visies et animations. A tenter : une balade contée en vélo électrique.
En savoir plus : https://www.broceliande-vacances.com/
Le château de Comper (9ème siècle) est indissociable d’une balade en forêt. Si la légende raconte qu’il fut la résidence de la fée Viviane, il abrite aujourd’hui le Centre de l’imaginaire arthurien, qui organise des expositions, spectacles et randonnées. Rendez-vous à la Porte des secrets, cap sur le Val-sans-retour où Viviane retenait prisonniers les maris infidèles…
Le circuit de randonnée des Landes de Gurwant de 11 kilomètres mène à plusieurs sites légendaires. Au fond des bois la fontaine de Barenton est l’un des sites de la forêt les plus chargé de légendes.
Au départ de Paimpont, sorties accompagnées par des guides-conteurs sont proposées ainsi que de nombreuses visies et animations. A tenter : une balade contée en vélo électrique.
En savoir plus : https://www.broceliande-vacances.com/
Concarneau, une ville close, un port vivant et des plages de sable fin
Entièrement tournée vers la mer, nichée au fond de l’une des plus belles baies de Bretagne Concarneau se découvre sous différentes facettes. Ville-close enchâssée dans ses fortifications. Ville d’art et d’histoire dont le passé côtier et la vocation de place forte se racontent à l'intérieur de ses épais remparts du 14ème siècle.
Ville portuaire intense avec ses 200 bateaux de pêche, ses quais, sa criée. Il faut assister à ce moment fort : la débarque des poissons après 22 heures où à la criée dès 6 h30.
Le saviez-vous ? Concarneau est le premier port thonier d’Europe et le 3e de France pour le poisson frais. On l’appelle aussi la « ville bleue » en raison de la couleur bleue, utilisée pour teindre les filets de pêche
Le port de plaisance et les plages de sable fin accessibles à pied en longeant la corniche sont des lieux privilégiés pour les activités nautiques et balnéaires.
A ne pas manquer, hors les chemins de ronde et de les ruelles de la ville-close, - l’un des sites les plus visités de Bretagne -, les anciens viviers et le laboratoire de biologie marine, le musée de la Pêche, le château de Kériolet : des 15e e et 19ee siècles (style néo-gothique).
Ville portuaire intense avec ses 200 bateaux de pêche, ses quais, sa criée. Il faut assister à ce moment fort : la débarque des poissons après 22 heures où à la criée dès 6 h30.
Le saviez-vous ? Concarneau est le premier port thonier d’Europe et le 3e de France pour le poisson frais. On l’appelle aussi la « ville bleue » en raison de la couleur bleue, utilisée pour teindre les filets de pêche
Le port de plaisance et les plages de sable fin accessibles à pied en longeant la corniche sont des lieux privilégiés pour les activités nautiques et balnéaires.
A ne pas manquer, hors les chemins de ronde et de les ruelles de la ville-close, - l’un des sites les plus visités de Bretagne -, les anciens viviers et le laboratoire de biologie marine, le musée de la Pêche, le château de Kériolet : des 15e e et 19ee siècles (style néo-gothique).
Concarneau est l’un des embarcadères pour le mythique archipel des Glénan. Sept îlots dans une mer intérieure aux eaux transparentes, des plages de sable blanc que l'on compare volontiers à celles des Bahamas ou des Maldives pour la transparence de l'eau et la blancheur du sable. Les Glénan sont mondialement connus pour leur Centre international de plongée et leur Centre nautique.
A l’écart de la pollution, l’archipel est riche d’un écosystème varié. Lors d’une sortie plongée, il est possible d’approcher un de ces requins pèlerins qui peuvent atteindre jusqu’à 7 mètres de long. Pas de panique, il est totalement inoffensif car il n’aime que le plancton !
D’avril à septembre, des bateaux desservent Saint-Nicolas, l’île principale. Durant la haute saison les Glénan s’animent de restaurants
Possibilité de visite commentée ou d’une découverte du milieu sous-marin en bateau à fond transparent. Pour les randonneurs, un chemin en bois permet de faire le tour de l’île principale Saint-Nicolas sur un kilomètre. La vue sur la mer intérieure (appelée la Chambre) et l'ensemble de la côte est de toute beauté.
Savoir : l’archipel dispose seulement d’un gîte de mer et il est interdit d’y faire du camping.
Plus d’infos : www.tourisme-fouesnant.fr www.tourisme-fouesnant.fr
Et pour toutes infos à travers la Bretagne, hébergements, excursions, découvertes à pied, à cheval, en vélo, traversées, circuits, points d’intérêts etc. Rubriques pros, voyagistes et handicap : tourismebretagne.com
A l’écart de la pollution, l’archipel est riche d’un écosystème varié. Lors d’une sortie plongée, il est possible d’approcher un de ces requins pèlerins qui peuvent atteindre jusqu’à 7 mètres de long. Pas de panique, il est totalement inoffensif car il n’aime que le plancton !
D’avril à septembre, des bateaux desservent Saint-Nicolas, l’île principale. Durant la haute saison les Glénan s’animent de restaurants
Possibilité de visite commentée ou d’une découverte du milieu sous-marin en bateau à fond transparent. Pour les randonneurs, un chemin en bois permet de faire le tour de l’île principale Saint-Nicolas sur un kilomètre. La vue sur la mer intérieure (appelée la Chambre) et l'ensemble de la côte est de toute beauté.
Savoir : l’archipel dispose seulement d’un gîte de mer et il est interdit d’y faire du camping.
Plus d’infos : www.tourisme-fouesnant.fr www.tourisme-fouesnant.fr
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