Les journalistes reprennent du poil de la bête en 2020 face aux influenceurs - Crédit photo : depositphotos @garagestock
Le digital cannibalise tout, le temps de cerveau disponible, la concentration de nos enfants et aussi les dépenses publicitaires des marques, qu'elles soient petites ou grandes.
Alors que dans le monde, il y aura 1 million de nouveaux internautes par jour en 2020, encore faut-il bien savoir les rencontrer.
Avant, il était facile de communiquer avec son client, il se trouvait juste au-dessus de son agence de voyages, maintenant il peut aussi bien être à Paris, Annemasse ou encore Sydney.
Pour y voir plus clair de nombreuses études sont sorties en début d'année, pour connaître les intentions des marketeurs du monde entier. Et nous pouvons vous dire, qu'il y a quelques surprises.
Tout d'abord, petit retour en arrière, sur l'exercice écoulé, où les recettes de la publicité digitale en France ont atteint 5,86 milliards d'euros, une hausse de 12%.
Une croissance à deux chiffres à faire envier n'importe quel chef d'entreprise, mais qui profitent principalement au GAFA, à savoir Google et au groupe Facebook.
D'ailleurs, le search (publicité sur les moteurs de recherche) truste la 1ère place (42% de part de marché) mais avec une croissance moindre que le social en hausse de 21%, contre 9% pour le leader jusque-là incontesté.
Alors que dans le monde, il y aura 1 million de nouveaux internautes par jour en 2020, encore faut-il bien savoir les rencontrer.
Avant, il était facile de communiquer avec son client, il se trouvait juste au-dessus de son agence de voyages, maintenant il peut aussi bien être à Paris, Annemasse ou encore Sydney.
Pour y voir plus clair de nombreuses études sont sorties en début d'année, pour connaître les intentions des marketeurs du monde entier. Et nous pouvons vous dire, qu'il y a quelques surprises.
Tout d'abord, petit retour en arrière, sur l'exercice écoulé, où les recettes de la publicité digitale en France ont atteint 5,86 milliards d'euros, une hausse de 12%.
Une croissance à deux chiffres à faire envier n'importe quel chef d'entreprise, mais qui profitent principalement au GAFA, à savoir Google et au groupe Facebook.
D'ailleurs, le search (publicité sur les moteurs de recherche) truste la 1ère place (42% de part de marché) mais avec une croissance moindre que le social en hausse de 21%, contre 9% pour le leader jusque-là incontesté.
La télévision dépassée par le digital pour la première fois en France
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S'il ne fait pas de doute que la publicité en ligne va continuer son travail de sape, pour s'arroger une part toujours plus importante des dépenses en communication des entreprises, un nouveau cap a été franchi.
Pour la 1ère fois en 2019, et cela va s'accentuer en 2020, les dépenses publicitaires numériques ont dépassé celles de la télévision.
Il faut dire que les avantages sont nombreux : meilleur ciblage de l'audience, retombée plus précise et quantifiable plus facilement, etc. Et cette année le marché devrait dépasser les 6 milliards d'euros en France, contre plus de 210 milliards d'euros en 2019 dans le monde, et 235 milliards en 2021.
Autre indicateur démontrant, la chute du petit écran, étant que le téléphone représentera en 2021, 61% du trafic internet mondial.
D'après une étude, commandée par Cision et menée dans 7 pays, dont la France auprès des professionnels de la communication et du marketing, près de 57% des sondés ont fait par d'une certaine sinistrose.
En effet, selon eux ils devront faire face à un resserrement de leur budget, tout en privilégiant le Paid Media (35%) à savoir les dépenses prévues pour la promotion des contenus de la marque. Le Earned Media (34%) arrive en deuxième, dépassant largement le Paid Media (31%) regroupant des dépenses prévues pour la promotion des contenus de la marque.
Le Earned Media correspond aux expositions dont une marque peut bénéficier dans la presse, sur les blogs, les réseaux sociaux ou encore dans les commentaires et partages sans l’avoir demandé.
Pour la 1ère fois en 2019, et cela va s'accentuer en 2020, les dépenses publicitaires numériques ont dépassé celles de la télévision.
Il faut dire que les avantages sont nombreux : meilleur ciblage de l'audience, retombée plus précise et quantifiable plus facilement, etc. Et cette année le marché devrait dépasser les 6 milliards d'euros en France, contre plus de 210 milliards d'euros en 2019 dans le monde, et 235 milliards en 2021.
Autre indicateur démontrant, la chute du petit écran, étant que le téléphone représentera en 2021, 61% du trafic internet mondial.
D'après une étude, commandée par Cision et menée dans 7 pays, dont la France auprès des professionnels de la communication et du marketing, près de 57% des sondés ont fait par d'une certaine sinistrose.
En effet, selon eux ils devront faire face à un resserrement de leur budget, tout en privilégiant le Paid Media (35%) à savoir les dépenses prévues pour la promotion des contenus de la marque. Le Earned Media (34%) arrive en deuxième, dépassant largement le Paid Media (31%) regroupant des dépenses prévues pour la promotion des contenus de la marque.
Le Earned Media correspond aux expositions dont une marque peut bénéficier dans la presse, sur les blogs, les réseaux sociaux ou encore dans les commentaires et partages sans l’avoir demandé.
Le duel journaliste versus influenceurs pour 2020 ?
Si ce dernier post de dépense ne cesse de prendre de l'ampleur, il est grandement conditionné aux dépenses à la rémunération des influenceurs.
Toujours selon Cision, 58% des sondés ont déclaré que la part de budget consacré aux nouvelles égéries digitale est conséquente. Et d'ailleurs, les réseaux sociaux connaissent eux aussi une répartition des flux différente de trimestre en trimestre.
Et le grand gagnant, comme en 2019, sera de nouveau Instagram, dont la part de marché de ne cesse de grossir même si l'argent revient toujours au même groupe.
Alors que tout le monde considère comme acquis, la nécessité de construire une image de marque via les réseaux sociaux, cela n'est pas sans risque.
La peur n'évitant pas le danger, pour près de 92% des personnes interrogées par Keyrus, les entreprises considèrent le risque de réputation comme la catégorie de risque la plus difficile à gérer.
Pour éviter ce risque, et pour la première fois depuis quelques années, les marketeurs vont focaliser leurs efforts sur les relations avec les journalistes et les médias, au détriment des influenceurs.
Même mieux, les journalistes auraient plus d'influence que les consommateurs, blogueurs, célébrités... Dans le même temps, la vidéo va capter toujours plus l'attention des internautes, puisque 78% des personnes présentes en ligne regardent une vidéo au moins une fois par semaine.
Et en 2021, les vidéos devraient représenter 82% du trafic mondial, notamment en raison du poids du format et de la consommation frénétique des internautes.
Alors en 2020 vous allez investir sur TourMaG.com et dans le format vidéo ? Notre chef de la publicité n'attend plus que vos appels.
Toujours selon Cision, 58% des sondés ont déclaré que la part de budget consacré aux nouvelles égéries digitale est conséquente. Et d'ailleurs, les réseaux sociaux connaissent eux aussi une répartition des flux différente de trimestre en trimestre.
Et le grand gagnant, comme en 2019, sera de nouveau Instagram, dont la part de marché de ne cesse de grossir même si l'argent revient toujours au même groupe.
Alors que tout le monde considère comme acquis, la nécessité de construire une image de marque via les réseaux sociaux, cela n'est pas sans risque.
La peur n'évitant pas le danger, pour près de 92% des personnes interrogées par Keyrus, les entreprises considèrent le risque de réputation comme la catégorie de risque la plus difficile à gérer.
Pour éviter ce risque, et pour la première fois depuis quelques années, les marketeurs vont focaliser leurs efforts sur les relations avec les journalistes et les médias, au détriment des influenceurs.
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Et en 2021, les vidéos devraient représenter 82% du trafic mondial, notamment en raison du poids du format et de la consommation frénétique des internautes.
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