M. de Vlieger, 44 ans, connu notamment pour sa tentative controversée de reprise de l'ex-deuxième compagnie aérienne française Air Lib, qui lui vaut une mise en examen, continuera toutefois à être l'actionnaire majoritaire d'Exel et un conseiller de l'entreprise.
Évoquant "les difficultés de ces derniers mois" qui l'ont affecté lui et sa famille, au point que ses enfants étaient victimes, à l'école, des informations de presse, il explique avoir "travaillé avec plaisir pendant 27 ans".
"J'ai un peu perdu ce plaisir ces derniers temps", dit-il dans un communiqué cité par ANP. "Je passe plus de temps à me défendre contre des critiques infondées".
Aux Pays-Bas, M. de Vlieger a fait cet automne les gros titres de la presse lorsque Air Holland, compagnie en faillite dont il a racheté la majorité, a été accusée par la justice néerlandaise d'avoir servi au blanchiment de l'argent de la drogue. Deux anciens membres de la direction ont été arrêtés.
En France, cet entrepreneur atypique passé du commerce des machines à coudre à l'immobilier, avant l'aérien, est mis en examen pour "recel et complicité d'abus de biens sociaux" dans le cadre de l'enquête sur les malversations financières présumées dans la gestion d'Air Lib.
Mais cela ne l'a pas empêché de voir la candidature d'Air Exel retenue pour effectuer des liaisons régionales avec... des subventions publiques !
Évoquant "les difficultés de ces derniers mois" qui l'ont affecté lui et sa famille, au point que ses enfants étaient victimes, à l'école, des informations de presse, il explique avoir "travaillé avec plaisir pendant 27 ans".
"J'ai un peu perdu ce plaisir ces derniers temps", dit-il dans un communiqué cité par ANP. "Je passe plus de temps à me défendre contre des critiques infondées".
Aux Pays-Bas, M. de Vlieger a fait cet automne les gros titres de la presse lorsque Air Holland, compagnie en faillite dont il a racheté la majorité, a été accusée par la justice néerlandaise d'avoir servi au blanchiment de l'argent de la drogue. Deux anciens membres de la direction ont été arrêtés.
En France, cet entrepreneur atypique passé du commerce des machines à coudre à l'immobilier, avant l'aérien, est mis en examen pour "recel et complicité d'abus de biens sociaux" dans le cadre de l'enquête sur les malversations financières présumées dans la gestion d'Air Lib.
Mais cela ne l'a pas empêché de voir la candidature d'Air Exel retenue pour effectuer des liaisons régionales avec... des subventions publiques !