Le nouveau président tiendra-t-il les promesses, par personne interposée, de nommer un “vrai” Ministre du Tourisme, disposant de la marge de manoeuvre (et des cordons de la bourse) nécessaire pour donner un nouvel élan à l’industrie du tourisme ? /photo dr
On ne peut pas dire que le secteur du Tourisme ait eu les honneurs des débats durant ces présidentielles.
Quelques déclarations par ci par là, quelques “positionnements” stratégiques de ceux qui s’y verraient bien et... ensuite plus rien.
Bref, le minimum syndical !
Or, nous sommes tous d’accord pour dire que le Tourisme n’est pas un secteur considéré à sa juste valeur.
On a dépensé des millions (Prime à la casse) pour aider les Français à acheter plus de voitures, alors que l’industrie touristique qui ne bénéficie pas du moindre subside surclasse ce secteur en valeur et en nombre d’emplois... Allez comprendre !
Notre dernier sondage le prouve de manière écrasante (+ de 62%) : vous voulez un ministre du Tourisme pour le prochain quinquennat.
La profession ne revendique pas (et pour cause) des aides. Elle veut juste un peu plus d’équité.
Quelques déclarations par ci par là, quelques “positionnements” stratégiques de ceux qui s’y verraient bien et... ensuite plus rien.
Bref, le minimum syndical !
Or, nous sommes tous d’accord pour dire que le Tourisme n’est pas un secteur considéré à sa juste valeur.
On a dépensé des millions (Prime à la casse) pour aider les Français à acheter plus de voitures, alors que l’industrie touristique qui ne bénéficie pas du moindre subside surclasse ce secteur en valeur et en nombre d’emplois... Allez comprendre !
Notre dernier sondage le prouve de manière écrasante (+ de 62%) : vous voulez un ministre du Tourisme pour le prochain quinquennat.
La profession ne revendique pas (et pour cause) des aides. Elle veut juste un peu plus d’équité.
Le ras-le-bol des professionnels n’est pas loin...
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Un peu plus de cohérence aussi dans les décisions de justice (Force majeure) qui dédouanent quasi systématiquement les consommateurs, quitte à faire des arrangements avec les textes.
Un peu moins d’hyper responsabilité et, en tout cas, pas davantage que la moyenne des pays de l’Union Européenne.
Car, hélàs, la future directive sur les Voyages à forfait qui est dans les starting blocks pourrait encore drainer son lot de contraintes supplémentaires.
Bousculée par les crises de toute nature des 5 dernières années, le ras-le-bol des professionnels n’est pas loin.
Les “demi-maroquins” (*) ne disposant d’aucun budget et contraints de faire la manche auprès d’une demi-douzaine d’autres ministères pour obtenir quelques maigre subsides, ils n’en veulent plus.
Il veulent un Ministre, un vrai, sentant bon (forcément) le sable chaud et pas un marchand de sable pour les endormir, une fois l’élection passée.
Le nouveau président tiendra-t-il les promesses, par personne interposée, de nommer un “vrai” Ministre du Tourisme, disposant de la marge de manoeuvre (et des cordons de la bourse) nécessaire pour donner un nouvel élan à l’industrie du tourisme ?
C’est ce que nous verrons. Mais une chose est sûre. “Moi, président de la République, je nommerai un ministre du Tourisme. Car quand on s’appelle “Hollande”... on n’a pas le droit de décevoir le tourisme à l’export !”
(*) Secrétaires d'Etat
Un peu moins d’hyper responsabilité et, en tout cas, pas davantage que la moyenne des pays de l’Union Européenne.
Car, hélàs, la future directive sur les Voyages à forfait qui est dans les starting blocks pourrait encore drainer son lot de contraintes supplémentaires.
Bousculée par les crises de toute nature des 5 dernières années, le ras-le-bol des professionnels n’est pas loin.
Les “demi-maroquins” (*) ne disposant d’aucun budget et contraints de faire la manche auprès d’une demi-douzaine d’autres ministères pour obtenir quelques maigre subsides, ils n’en veulent plus.
Il veulent un Ministre, un vrai, sentant bon (forcément) le sable chaud et pas un marchand de sable pour les endormir, une fois l’élection passée.
Le nouveau président tiendra-t-il les promesses, par personne interposée, de nommer un “vrai” Ministre du Tourisme, disposant de la marge de manoeuvre (et des cordons de la bourse) nécessaire pour donner un nouvel élan à l’industrie du tourisme ?
C’est ce que nous verrons. Mais une chose est sûre. “Moi, président de la République, je nommerai un ministre du Tourisme. Car quand on s’appelle “Hollande”... on n’a pas le droit de décevoir le tourisme à l’export !”
(*) Secrétaires d'Etat