Et ce d'autant plus que la jurisprudence est, en règle générale, plutôt favorable aux consommateurs.
La notion juridique de "force majeure", brandie telle un étendard par la profession, faiblit de plus en plus face aux coups de boutoir des "contractualistes".
Ce concept ressemble de plus en plus à une arme à double tranchant.
Et force est de constater que chacun a un peu raison dans cette querelle d'experts qui pointe et qui pourrait bien tourner rapidement au vinaigre.
Aussi, pour apaiser les esprits et éviter que les tribunaux ne tranchent, on s'achemine vers une sorte de paix armée, avec des reports de forfaits qui se rallongent au fur et à mesure dans le temps.
Est-ce la bonne solution ? L'avenir nous le dira même si la sagesse populaire juge qu'"il vaut mieux un mauvais arrangement qu'un bon procès..."
La notion juridique de "force majeure", brandie telle un étendard par la profession, faiblit de plus en plus face aux coups de boutoir des "contractualistes".
Ce concept ressemble de plus en plus à une arme à double tranchant.
Et force est de constater que chacun a un peu raison dans cette querelle d'experts qui pointe et qui pourrait bien tourner rapidement au vinaigre.
Aussi, pour apaiser les esprits et éviter que les tribunaux ne tranchent, on s'achemine vers une sorte de paix armée, avec des reports de forfaits qui se rallongent au fur et à mesure dans le temps.
Est-ce la bonne solution ? L'avenir nous le dira même si la sagesse populaire juge qu'"il vaut mieux un mauvais arrangement qu'un bon procès..."