La CFTC lance un appel à une grève du 14 juillet au 17 juillet 2022 - DR
Mi-juin, Corsair annonçait la signature d'un accord de fin de conflit avec 4 syndicats "très largement majoritaires la CFE-CGC Corsair, le SNPNC-FO, Sud Aérien, et l’UNPNC-CFDT (80% des suffrages des PNC Corsair aux dernières élections)," expliquait la compagnie.
Trois semaines plus tard, la CFTC poursuit le mouvement et vient de lancer un appel à une grève de TOUS les PNC.
Les adhérent ayant voté à 88% à la poursuite de la grève.
Le syndicat demande aux membres des équipes de cesser de travailler du jeudi 14 juillet 00h01 au dimanche 17 juillet 23h59.
Trois semaines plus tard, la CFTC poursuit le mouvement et vient de lancer un appel à une grève de TOUS les PNC.
Les adhérent ayant voté à 88% à la poursuite de la grève.
Le syndicat demande aux membres des équipes de cesser de travailler du jeudi 14 juillet 00h01 au dimanche 17 juillet 23h59.
Corsair : la CFTC souhaite une hausse des salaires et pas que
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Lors du précédent épisode, les conséquences avaient été assez minimes sur les conditions de vol, grâce un nombre suffisant de PNC disponibles et en mesure de dépanner.
Alors que les salaires ont été négociés à la baisse lors du rachat de la compagnie et pour une durée indéterminée, le syndicat observe que pendant ce temps, les prix à la consommation ont globalement flambé.
"Nous ne pouvons plus accepter qu'un employé cumule 2 salaires. Je ne peux pas supporter que des collègues fassent des ménages après leur journée de travail," précise un salarié.
Après avoir demandé une hausse des salaires de 4%, puis une augmentation étalée, la direction s'est montrée inflexible, avant de proposer 2% en octobre 2023.
La CFTC dénonce aussi une composition des équipages qui respecte tout juste la loi, alors que des concurrents sont à +1 ou +3 PNC par avion, entrainant une charge de travail supplémentaire.
Alors que les salaires ont été négociés à la baisse lors du rachat de la compagnie et pour une durée indéterminée, le syndicat observe que pendant ce temps, les prix à la consommation ont globalement flambé.
"Nous ne pouvons plus accepter qu'un employé cumule 2 salaires. Je ne peux pas supporter que des collègues fassent des ménages après leur journée de travail," précise un salarié.
Après avoir demandé une hausse des salaires de 4%, puis une augmentation étalée, la direction s'est montrée inflexible, avant de proposer 2% en octobre 2023.
La CFTC dénonce aussi une composition des équipages qui respecte tout juste la loi, alors que des concurrents sont à +1 ou +3 PNC par avion, entrainant une charge de travail supplémentaire.